[19e journée de L1] Paris SG 3-1 SM Caen

Groupe SMC "Projet 2015/2020":

1. Vercoutre - 21. Guilbert, 5. Sankoh, 4. Diomandé, 28. Da Silva, 22. Mbengue -  6. Delaplace, 10. Aït Bennasser, 8. Peeters - 12. Rodelin, 26. Santini

Remplaçants : 30. Samba (g), 18. Avounou, 11. Bessat, 9. Repas, 13. Kouakou, 17. Nkololo, 20. Bazile

Entraîneur : Patrice Garande.


Groupe parisien:

Alphonse Areola (g), Kevin Trapp (g) - Thomas Meunier, Thiago Silva (cap), Marquinhos, Layvin Kurzawa, Yuri Berchiche - Thiago Motta, Adrien Rabiot (?), Christopher Nkunku, Giovani Lo Celso, Javier Pastore, Julian Draxler - Angel Di Maria, Edinson Cavani, Kylian Mbappé, Neymar, Lucas.

Entraîneur : Unai Emery.


Arbitre de la rencontre:  >> Karim Abed

PARIS SG - SM CAEN : LES GROUPES

• Le groupe caennais : Rémy Vercoutre (g), Brice Samba (g) - Frédéric Guilbert, Damien Da Silva, Ismaël Diomandé, Baïssama Sankoh, Adama Mbengue - Youssef Aït Bennasser, Jonathan Delaplace, Durel Avounou, Vincent Bessat, Stef Peeters, Jan Repas - Ronny Rodelin, Ivan Santini, Jordan Nkololo, Christian Kouakou, Hervé Bazile.
  
• Le groupe parisien (probable) : Alphonse Areola (g), Kevin Trapp (g) - Thomas Meunier, Thiago Silva (cap), Marquinhos, Layvin Kurzawa, Yuri Berchiche - Thiago Motta, Adrien Rabiot (?), Christopher Nkunku, Giovani Lo Celso, Javier Pastore, Julian Draxler - Angel Di Maria, Edinson Cavani, Kylian Mbappé, Neymar, Lucas.
  

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SM Caen : Diomandé apte, Bazile de retour à Paris
Modifié le 19/12/2017 à 14:57 | Publié le 19/12/2017 à 14:51


Hervé Bazile (à droite) est de retour dans le groupe du SM Caen. | Hélène Lompech

Guillaume LAINÉ.

Pour son dernier match de l'année ce mercredi (20 h 50) au Parc des Princes contre le PSG, le SM Caen pourra compter sur les retours de Diomandé et Bazile, remis de blessure. En revanche, Féret est forfait, Djiku suspendu. Quel plan de jeu le coach Patrice Garande adoptera-t-il ?
Sept mois après son match nul 1-1 au Parc, synonyme de maintien en L1, le SM Caen revient à Paris défier un PSG devenu effrayant avec sa MCN.
Caen est la dernière équipe à ne pas avoir perdu au Parc, où Paris a gagné tous ses matches depuis le début de saison. Les Normands s'avancent amoindris par le forfait de Féret (contracture aux ischios) et la suspension de Djiku.
En revanche, Patrice Garande a convoqué Diomandé, qui ressentait encore des douleurs au genou lundi. A priori, l'Ivoirien serait prêt à jouer.
Le coach a avoué lundi qu'avec toutes ses armes défensives à disposition, il aurait installé une défense à trois au Parc, comme en mai dernier. En 2015, lors du 2-2 obtenu à Paris, Caen avait également évolué avec une défense à trois.

4-3-3 ou 3-5-2 ?

Sans Djiku ni Genevois, mais avec Diomandé, Sankoh et Da Silva sous la main, va-t-il quand même tenter ce coup tactique, en espérant une animation bien plus au point que celle à Marseille début novembre (défaite 5-0) ?
C'est la question qui taraude Garande. Dans ce cas de figure, Avounou voire Peeters pourrait intégrer le milieu de terrain avec Delaplace et Aït Bennasser.
L'autre option la plus plausible est le retour à un 4-3-3, avec Sankoh en défense centrale. Avounou pourrait évoluer en sentinelle, comme il l'avait fait en tout début de saison.
L'absence de Féret devrait profiter à Delaplace. Rodelin pourrait être décalé sur un côté, alors que Bessat, Bazile et Kouakou postulent. Bazile, qui n'a plus joué en L1 depuis le 19 novembre à cause d'une blessure à la cuisse, serait-il en mesure de débuter ?

L'équipe probable : Vercoutre - Guilbert, Sankoh, Da Silva (cap), Mbengue - Avounou - Rodelin, Aït Bennasser, Delaplace, Bessat (ou Bazile) - Santini
Remplaçants : Samba (g), Diomandé, Peeters, Nkololo, Repas, Bazile (ou Bessat), Kouakou
Absents : Djiku (suspendu), Féret, Genevois, Voisin, Dabo (blessés), Dreyer, Leborgne, Louis, Deminguet, Armougom, Le Joncour (choix)

SM Caen. Vercoutre : « Troisième défense, ça veut dire quelque chose »
Publié le 19/12/2017 à 17:15


Rémy Vercoutre est l’un des éléments clés du bon début de saison caennais. | Stéphane Geufroi

Gaëtan BRIARD.

Avant le déplacement au Parc des Princes, mercredi (20 h 50), Rémy Vercoutre évoque le PSG cinq étoiles, les sifflets après le match nul face à Guingamp (0-0), le bilan à mi-saison ou encore les ressources offensives limitées de son équipe. Sans langue de bois, comme toujours.
Rémy, le fait d’avoir déjà réussi « l’impossible » au Parc des Princes, ça aide avant d’aller jouer ce PSG cinq étoiles ?
Non, parce qu’il faut un ensemble de paramètres qu’on ne maîtrise pas toujours pour réussir là-bas. Montpellier a fait 0-0 chez lui, sur une pelouse catastrophique et pas arrosée, ce qui a ralenti le jeu. Strasbourg, c’était un peu le même genre, sur un terrain compliqué, en étant très regroupés et dans des conditions auxquelles les Parisiens ne sont pas forcément habitués. Bravo à ces équipes. Mais nous, on sera à Paris, sur un très bon terrain. Il va surtout falloir entretenir notre état d’esprit et travailler durement pour obtenir quelque chose. On sait tous très bien que le pourcentage de réussite là-bas est très mince.
Troyes a été l’une des équipes qui a le mieux résisté au Parc des Princes cette saison…
(Il coupe.) Mais ils ont perdu, Troyes. Si on fait le même match, on aura perdu aussi. C’est tout de même une piste intéressante, un exemple à suivre. Paris a beaucoup de certitudes et de qualités. Je ne pense pas qu’ils fassent une grosse vidéo sur nous. Ils ne doivent d’ailleurs pas connaître beaucoup de noms dans notre équipe.

À Paris, « des matches qui font parfois très mal à la tête »

Ils sont très concentrés sur leur manière de faire et de jouer, à mon avis. Si Paris est à son niveau, on a un infime espoir de ramener quelque chose. Ce qui m’importe, c’est notre état d’esprit, la manière dont on va gérer ces 90 minutes.
Pour la plupart des équipes, les voyages à Paris sont compliqués…
Il y a une équipe qui avait fait un très bon début de saison, Saint-Etienne, et qui a perdu pied après le match face à Paris. Bordeaux en est aussi un exemple. Il faut s’inspirer de ces choses-là pour continuer notre bonhomme de chemin en Ligue 1 par la suite. Ce sont toujours des matches compliqués, qui font parfois très mal à la tête. Il faut aller là-bas avec beaucoup d’envie et d’agressivité. Et essayer de faire passer l’orage comme on peut pour espérer.

Rémy Vercoutre est à la tête de la troisième meilleure défense de Ligue 1 après 18 journées. | Stéphane Geufroi

À vos yeux, le match nul obtenu dans le temps additionnel de la dernière journée la saison passée au Parc a eu quel impact sur votre début de saison ?
Je pense qu’il n’a aucun impact. C’est une autre saison. Pour Paris, on sentait très bien que ce match-là n’était pas important. Ils étaient déjà dans leur finale de Coupe de France et ont joué ce match parce qu’il faut jouer 38 journées. Cela nous a beaucoup servis. On s’était surpassé, Paris n’avait pas joué à fond, c’est ce qui a fait que l’on a réussi à réduire le delta. Il ne faut pas s’attendre à la même partie.
Ce Paris-là a un style quelque peu différent cette saison. A-t-il des failles ?
Des failles, je n’en vois pas. Pour moi, ce n’est pas un style différent. Ils ont simplement une palette plus grande, avec une faculté de projection encore plus forte. Même sous pression ils arrivent à contrer les adversaires. C’est ce qui rend la tâche plus compliquée.
Malherbe a désormais cette capacité à prendre peu de buts. Forcément rassurant avant d’aller au Parc ?
Je préfère y aller dans ces conditions, plutôt que la saison dernière quand on avait 65 buts encaissés. Là, on a une équipe qui a le goût de bien défendre et de ne pas prendre de buts. La saison dernière, c’était un peu moins le cas.

Rémy Vercoutre, ici le 20 mai dernier lors du maintien arraché le 20 mai dernier au Parc des Princes. | Stéphane Geufroi
Dani Alves, Verratti, Kimpembé sont suspendus, d’autres joueurs comme Rabiot sont incertains…
(Il coupe.) Vous pouvez me donner le nom de leurs remplaçants ? C’est un faux argument. Lo Celso est international argentin, Pastore aussi, j’aimerais bien avoir des remplaçants de cette qualité.
Quand on joue ce PSG, avec Neymar et Mbappé, sur une pelouse parfaite, c’est le genre de moment à savourer pleinement pour un footballeur professionnel ?
Le savourer après, quand vous regardez les photos ou certaines images où vous avez réussi à faire des trucs sympas. Mais sur le moment, je peux vous assurer que vous ne savourez pas. Vous dégustez. Aller à Paris, c’est toujours intéressant. Il y a la magie du Parc, vous jouez contre des grands joueurs. Mais ça reste un job pour nous. Il va falloir aller sur le terrain en ayant beaucoup de concentration et d’agressivité. Vous dépendez quand même grandement de ce que le PSG met dans ses matches. On va passer un moment compliqué. Mais les matches contre le PSG, il faut croquer dedans à pleines dents. Et les faire durer pour espérer. On avait réussi à le faire la saison passée, mais ce sera tout autre chose.
En regardant dans le rétroviseur, que retenez-vous de cette année 2017 qui s’achève ?
Le maintien nous a permis de repartir sur des bases de travail et de réflexion différentes. On a plutôt réussi une bonne première partie de saison. Si on analyse bien, il nous manque peut-être quelques points par-ci par-là, car on a eu les opportunités sur certains matches. Mais on a une équipe cohérente. Il nous a été reproché cet été par nos suiveurs et les supporters un esprit combatif trop peu présent. Je pense qu’on l’a aujourd’hui. On est difficile à battre et à jouer. Tous nos adversaires le reconnaissent. Ça, c’est parce que l’on a un collectif huilé, rodé et qui travaille.

« Troisième défense du championnat, ça veut dire quelque chose »

Moi, je suis forcément porté sur la capacité à défendre nos buts. Et quand on est la troisième défense du championnat, ça veut dire quelque chose. On connaît nos axes de travail, mais une équipe qui lâche rien et qui bosse ensemble, c’est déjà une bonne base. Ce n’est pas toujours beau, mais c’est relativement efficace. Si on a plus de points à la trêve que l’an dernier, c’est aussi parce qu’on a su corriger certaines choses. Ce n’était pas gagné d’avance.

Rémy Vercoutre et le SM Caen comptent 24 points après 18 journées. | Stéphane Geufroi
Vous marquez le pas depuis début novembre (1 victoire sur les 7 derniers matches de Ligue 1), notamment sur le plan physique. Y a-t-il une forme de logique là-dedans à vos yeux ?
C’est relativement logique car on n’a pas un effectif aussi large que le PSG. Il y a les blessures qui ont frappé le groupe et on a accumulé les matches depuis fin novembre. On pêche un peu par manque de fraîcheur. La trêve arrive au bon moment pour reposer les organismes. On a un bon coup dans les carreaux, quand même. C’est aussi pour cela que j’ai été très surpris de la réaction du public samedi soir. Je suis loin d’être en colère par rapport aux sifflets. Je comprends la frustration des gens. Mais par rapport aux revendications faites il y a quelques mois, notre équipe n’est plus la même. Elle ressemble vraiment à ce que l’on nous a demandés en termes d’investissement et d’envie. On n’est pas toujours beau à voir, mais on y met du cœur. J’ai été assez surpris de voir que notre public n’avait pas compris cela.
Malherbe a une base bien plus solide, un potentiel bien plus important que la saison passée. Mais au bout de la chaîne, il y a très peu de buts…
Ce que le public ressent, on le ressent de la même manière à l’intérieur. On essaye de faire en sorte que ça change. Mais si vous regardez cette équipe de Guingamp, vous voyez le nombre d’armes offensives qu’ils peuvent avoir. On n’a pas cette même réserve. On n’a pas la capacité de mettre d’un match sur l’autre des joueurs frais. Ivan (Santini) joue tous les matches et 90 minutes à chaque fois, Ronny (Rodelin) c’est pareil. On pêche aussi parce qu’on n’a pas monstre de solutions. C’est certainement une piste à explorer pour comprendre les choses.

Sur les ressources offensives : « On n’est certainement pas à armes égales avec beaucoup d’équipes »

Quand on regarde les armadas offensives de beaucoup d’équipes, on se dit parfois que l’on n’est pas armé de la même manière. Regardez Toulouse, avec Toivonen, Delort, Jean, Gradel… C’est assez surprenant de voir que l’on ne boxe pas à armes égales. Quelques fois, je me dis : on est là au classement, mais on n’est certainement pas à armes égales avec beaucoup d’équipes.
À titre personnel, estimez-vous être dans une très belle période ?
Déjà, je m’amuse. Je prends du plaisir. Je suis derrière des joueurs qui sont à l’écoute, qui ont élevé leur niveau de jeu défensif. On a corrigé le tir. Si on est là aujourd’hui, c’est parce qu’on prend peu de buts. Ça a toujours été ma philosophie, pas toujours partagée. Ce sont souvent les équipes qui prennent peu de buts qui sont en haut, à l’image de Nantes et Montpellier. Il faut continuer dans ce sens-là. À titre personnel, je suis à la fin de la chaîne. Quand, devant, les mecs font le boulot, ça se passe en général bien pour le gardien.
OF

sur le but mbengue se fait manger mais se bat alors que Peeters laisse passer tranquille sans contact et Da silva au lieu d'intervenir se fait manger en vitesse ...

la compo est rageante et ce but aussi ...



delaplace c'est incroyable sa faiblesse technique ...

Ils sont pas mal les Caennais ce soir !

je suis pas tout a fait d'accord vidcoq on a deux joueurs qui illuminent notre jeu (rodelin et ben asser) mais hormis ça c'est pauvre peeters et delaplace n'ont pas le niveau l1 ...

j'aime bien le match de sankoh (le meilleur des 3 centraux de loin) et la mobilité de Mbengue !

je trouve vraiment pas le milieu du psg affolant ... faut arrêter on joue motta lo celso pastore pas verrati draxler ou rabiot ... et malgré cela on perd trop de ballon et on en récupère peu tellement peeters et Delaplace remportent 0 duels.
féret manque clairement au milieu et faut être de mauvaise fois pour pas le penser. Delaplace est surement le premier joueur de l1 ayant perdu un duel de l'épaule contre lo celso.

pratiquement tous nos joueurs font un bon match exepté Da Silva et ces deux derniers ...

santini aussi est assez invisible ayant peu de ballon et étant souvent devancé de vitesse par thiago silva tout comme Guilbert proposant clairement pas assez offensivement sur son coté ou étant maladroit

Stéphane guy c'est le plus gros suceur de parisien de France ! c'est incroyable comment un commentateur peut être aussi naze, partiale et idiot !

deuxième cadeau de notre part avec cette perte de balle stupide de ben asser, ce geste incompréhensible de diomandé et Da silva complétement perdu dans cette défense à 3



et garande doit attendre 3 ou 4 zéro pour faire des changements.

Attaquant quand tu nous manque !!!!on se lamente

La rentrée de Bessat est très intéressante

t'as Ronaldo, messi, pele, Maradona ou n'importe qui en pointe ce soir c'est pareil tellement nos milieux sont à l'ouest nos centraux relance tout dans l'axe sur les parisiens ou en touche et nos latéraux sont impuissants ...

le seul joueur capable de faire une passe intéressante joue au niveau des défenseurs centraux (ben asser) et rodelin en première mi temps ...




je vois clairement pas le même match rossi ! c'est pas la rentrée de bessat qui est intéressante car perds beaucoup de duels etc mais uniquement le changement de schéma qui nous fait plus jouer à 6 défenseurs et le fait que benasser soit plus haut avec la venue de sankoh au milieu  et pouvoir avoir la balle ailleurs que dans nos 30 m sans oublier que paris arrêtait de jouer...

Bon on fini cette première demie saison avec 6 points sur le barragiste ;c'est quand même pas trop mal en espérant avoir un butteur au mercato !!

cette composition de garande me fou hors de moi, venir jouer au parc on montrant son cul pour prendre une fessé c'est logique qui nos la mettent malgré un psg clairement pas énorme ...

SM Caen. Da Silva : « Si j’ai un projet plus intéressant, j’irai »
Publié le 21/12/2017 à 09:46


Damien Da Silva privilégie un départ du SM Caen l’été prochain. | Stéphane Geufroi

Gaëtan BRIARD.


Après la défaite au Parc des Princes (3-1), mercredi, Damien Da Silva a évoqué la situation caennaise à mi-saison… et son avenir personnel. Sous contrat jusqu’en 2018, le défenseur central privilégie un départ l’été prochain, malgré une belle proposition de prolongation des dirigeants malherbistes il y a quelques semaines. Une condition n’est pas encore remplie : qu’un projet « plus intéressant » se présente à lui.

Damien Da Silva : « Le regret, c’est cette fin d’année »

Sur la défaite à Paris (3-1). « C’est toujours compliqué de juger une défaite. On ne peut pas en être content. Après, ça aurait pu être bien pire, on en est conscients. On a eu beaucoup d’actions très compliquées à défendre, face à des joueurs phénoménaux. Il y a des petits regrets sur la première mi-temps, parce qu’on a senti que l’on pouvait marquer ce but sur certaines situations. On ne l’a pas fait et la victoire de Paris est largement méritée sur l’ensemble du match. »
Sur la première moitié de saison. « Pour moi, 24 points, c’est positif. Le point négatif, c’est cette fin d’année où l’on est descendu au classement. Sur la globalité, par rapport au jeu que l’on produit, je suis confiant pour l’avenir. Sur les derniers matches, cela a été plus compliqué. Mais à Caen, vous savez, on a toujours des périodes plus compliquées. Dans ce moment difficile, on a réussi à faire quelques matches nuls. Je suis très confiant pour la deuxième partie de saison. »
Sur la lutte pour le maintien. « Avec deux ou trois résultats négatifs, on peut vite descendre au classement dans ce championnat très serré. L’inverse est vrai aussi. Il n’y a pas si longtemps, on était sixièmes. Cela va très vite. Dans nos têtes, on n’est pas à l’abri. Le regret, c’est cette fin d’année. Cinq points d’avance (sur le 18e), c’est toujours cela. À nous d’essayer d’augmenter cet écart dès le début de l’année 2018. Il y aura beaucoup de matches en janvier. L’important, c’est de bien récupérer. Il y a des matches super importants à jouer. »
Sur son avenir. « C’est toujours compliqué de parler maintenant. Je n’ai pas arrêté ma décision. Je réfléchis. Si j’ai un projet plus intéressant, j’irai. Je sais ce que je voudrais. Mais ce n’est pas moi le seul maître de la situation. Sur le terrain, à moi d’être bon pour que cela arrive. On s’est bien parlé avec le président. Il sait ce que je pense de la situation. C’est une personne que je respecte beaucoup. C’est la première fois que j’ai une telle relation avec un président. Ils savent ce que je veux pour mon avenir, je sais aussi ce qu’ils veulent pour le mien. Je ne peux pas dire que je serai encore là. Si j’ai un projet intéressant qui se présente, je le prendrai. »

Jonathan Delaplace : « On a eu beaucoup de déchet »

« Le coach est un peu déçu de l’utilisation que l’on a eue du ballon. On était bien en place, on a fait beaucoup d’efforts défensifs en première période et on a eu beaucoup de déchet. »

Baïssama Sankoh : « Revenir en 2018 avec de nouvelles intentions »

« Cela reste une défaite. On a fait quelques erreurs que l’on a payé cash. Ils ont été nettement au-dessus, mais ils sont au-dessus de toutes les équipes de Ligue 1. Ce n’est pas pour autant qu’il faut les regarder. On a essayé de rivaliser, c’était dur. Mais face à une équipe comme cela, on n’a pas le droit de négliger les détails. Il faut aller se reposer et revenir à la reprise de l’entraînement avec de nouvelles intentions. »

Défense à 3 c'était sur qu'on allait perdre ... et perso je trouve DDS beaucoup moins bien depuis quelques matchs et ça coïncide avec nos résultats