Note: [2017/2018]Revue de presse

Une page effectivement se tourne !!!! moi pour ma part , suporter depuis

Tsigalko a écrit:Pareil que Zrami. J'dirai pas voler mon club, mais, j'ai peur de ne plus avoir la même connexion avec le club..
Après, je suis plus jeune et j'ai connu Malherbe avec Fortin comme Président et Rémy comme entraineur quand j'ai vraiment commencé à m'y intéresser très/trop fortement.
Du coup, le fait de le voir partir, comme ça, par la petite porte, bah, ça m'a foutu un peu le cafard, comme si une page se tournait, une partie de ma vie était terminée.

Je comprends...moi qui suis supporter depuis 1972....j'en ai vu des Présidents (même si au début j'avoue que j'y faisais pas trop attention  )

Oupssssss j'ai appuyé sur une mauvaise touche !!! donc je reprends : depuis 1983 j'en ai connu des changement , mais là je ne comprends pas . On avait une direction qui donnait des garantis (certe je n'ai pas toujours été d'accord avec certaine décisions) et là du jour au lendemain nous avons devant nous un grand chantier !!!

Pas tant que ça Rossi...Fortin a quand même bien travaillé..tout le monde le dit...alors pas de panique, il faut chercher un bon entraineur et former une belle équipe.

Avec la vente de Lemar, on peut avoir un beau recrutement et retrouver du beau jeu à d'Ornano....parce qu'honnêtement, on a perdu le Malherbe d'avant, celui qui enflammait Venoix, puis d'Ornano.

Il faut garder confiance !

Si l'entraîneur ne signe pas avant la fin du mois ou qu'il ne correspond pas aux critères énoncés par Sergent, ca commencera vraiment a faire flipper

Football – Ligue 1. Gilles Sergent : « On avance bien »

Publié le 29 Mai 18 à 19:05

Gilles Sergent ne manque pas Depuis son élection à la présidence du Stade Malherbe Caen le jeudi 17 mai, Gilles Sergent a vu son quotidien bouleversé. Le chef d'entreprise ne manque pas de travail...de pistes quant au futur entraîneur du Stade Malherbe Caen. La short-list n’est pas encore arrêtée. (Sport à Caen)

Les nuits sont courtes pour Gilles Sergent, et les semaines sont longues. « C’est du sept jours sur sept, sourit le président du SMC. Je passe du Stade Malherbe à Récréa (l’entreprise qu’il préside, ndlr) et de Récréa au Stade Malherbe. Je suis principalement entre Caen et Paris, en passant beaucoup de temps au téléphone ! »

Le successeur de Jean-François Fortin, élu le 17 mai, ne ménage pas ses efforts depuis sa prise de fonction. « Derrière moi, il y a surtout une équipe au directoire qui s’est mise au boulot », souligne-t-il. Ce mardi matin, Gilles Sergent était d’ailleurs accompagné de Jean-Marie Piranda, directeur général mandataire, à la DNCG (Direction nationale du contrôle de gestion). Le Stade Malherbe est passé sans souci devant l’organisme qui fait figure de gendarme du football français.
Ce soir, c’est au siège du club que Gilles Sergent avait rendez-vous, d’abord pour rencontrer un futur partenaire maillot, ensuite pour signer les premiers contrats professionnels d’Issa Marega et de Thomas Callens. Mais ce qui mobilise surtout le président malherbiste, c’est le sujet capital de son futur entraîneur.
« L’embarras du choix » pour le futur entraîneur
Après avoir essuyé les refus de Philippe Montanier, qui s’est engagé à Lens en Ligue 2, puis de Christophe Pélissier, d’abord bien parti pour rester à Amiens avant que Toulouse ne lui fasse les yeux doux, Caen a dû se résoudre à abandonner la piste Hubert Fournier. Joueur du Stade Malherbe de 1989 à 1993, le Directeur technique national n’a pas été libéré par la Fédération française de football.

Il pouvait être dans notre short-list. Il avait témoigné un intérêt évident pour le poste et pour le Stade Malherbe.

Gilles Sergent n’est « pas choqué » de la décision de Noël Le Graët retenant l’ancien coach de Reims et de l’Olympique Lyonnais. Il s’étonne, aussi, des remarques liées à la non-concrétisation des précédentes pistes. Pas suffisamment attractif, le SM Caen ? « Je ne sais pas pourquoi on dit ça. Je suis très heureux de voir la qualité des entraîneurs rencontrés, avec des profils différents les uns des autres. Nous avons l’embarras du choix, et j’en suis ravi ! »
« Entre cinq et dix coachs rencontrés »
La short-list sera arrêtée en fin de semaine, soit plus tard que le délai initialement évoqué. « On a bien avancé », assure toutefois Sergent. Sur le calendrier de la signature définitive, Caen reste en phase avec ses plans de départ, mais sans marge. Gilles Sergent avait avancé « le début du mois de juin » comme date souhaitée.

Il y a beaucoup de contacts, beaucoup de rencontres, c’est pour cela que ça prend un peu de temps. Il est important de choisir rapidement, mais ce choix est déterminant.

Le président caennais a d’ores et déjà rencontré « entre cinq et dix coachs ». Si les échanges téléphoniques sont nombreux, rien ne remplace le contact visuel. « C’est important de rencontrer les gens, d’échanger et de se sentir en totale empathie. Dans le recrutement, il y a bien sûr l’aspect tactique, technique, management de groupe, etc., mais il y a aussi le côté relationnel à prendre en compte. »
Une surprise envisageable ?
L’entraîneur caennais devra être « expérimenté, charismatique, fidèle aux valeurs du club » et capable de parler anglais de préférence, d’après le portrait robot établi lors de la conférence de presse du lundi 21 mai.
Aux côtés des nombreux noms français qui ressortent régulièrement – Tendance Ouest fait état de ceux de Jocelyn Gourvennec, néanmoins tout proche de s’engager avec Nantes, Jean-Louis Garcia, l’ancien coach de Troyes, Franck Passi, passé par Lille entre février et mai 2017, l’actuel Lillois Christophe Galtier – peut-il y avoir une surprise ? Gilles Sergent répond par une pirouette. « Ce qui compte, ce n’est pas de surprendre ou de ne pas surprendre. » Une seule chose est sûr : « le futur entraîneur sera évidemment d’expression française ».
Pour le reste, il faudra encore patienter avant d’y voir un peu plus clair. La décision finale débloquera sûrement bien d’autres dossiers concernant cette fois les joueurs.
Le nom du futur directeur du centre de formation devrait quant à lui être connu en fin de semaine.


Aline Chatel Sport à Caen

Galtier ce serait pas mal !

Pour la qualité de jeu tu repasseras alors !

Le SM Caen a offert un premier contrat professionnel à Issa Marega. Le jeune défenseur s’est engagé pour une saison, plus deux autres en option.
Issa Marega signe un an plus d’eux autres en option à Caen.

Issa Marega est passé professionnel au Stade Malherbe de Caen. Le club normand a officialisé sa signature ce mardi. L’arrière central de 20 ans a signé pour un an, mais garde deux autres en option.
« Issa possède un gros potentiel. Bien sûr, c'est un joueur encore perfectible, mais très intéressant », a commenté Alain Cavéglia, le directeur sportif du SM Caen.
Après Jean-Victor Makengo (OGC Nice), Yann Karamoh (Inter Milan) et Yoël Armougom, Issa Marega est le quatrième joueur de la génération 1998 à devenir professionnel. « Ça prouve la qualité de notre formation qui tient plus que jamais une place très importante dans notre club », a fait remarquer le dirigeant.
« Le plus dur commence maintenant », a souligné Marega qui avoue avoir été forgé mentalement grâce à son expérience à l’étranger notamment au FC Porto où il évolué très jeune. « Je suis parti à 16 ans au FC Porto. J'y suis resté une saison et demie. Ça m'a fait grandir, mûrir. Ça m'a rendu encore plus fort », a-t-il raconté.
Pilier défensif de l'équipe réserve caennaise en National 3, l’impressionnant (1,96 m pour 93 kg) et polyvalent (il évolue également en milieu défensif) joueur sera à la reprise du groupe professionnel fixée au 5 juillet.
Issa Marega a déposé ses valises en Normandie en 2015, après évidemment son expérience au Portugal.


Lire la suite sur : https://www.foot-sur7.fr/394835-caen-mercato-marega-premier-contrat-pro

Aucun contact concret pour Jeff Louis Revenu d'un prêt à Quevilly-Rouen, Jeff Louis est encore sous contrat jusqu'en juin 2019 avec le Stade Malherbe de Caen. Le milieu offensif haïtien pourrait quitter la Normandie durant le mercato estival. La situation du footballeur de 25 ans est pour le moment au point mort. Selon nos informations, aucun club n'est à ce jour entré en contact avec l'ancien joueur de l'AS Nancy-Lorraine. Avec QRM, relégué en National 1, Jeff Louis a marqué 2 buts en 11 rencontres de Ligue 2 lors de la seconde partie de saison.

Il peut partir, sans regret.

Football. Stéphane Nado à la tête du centre de formation de Caen ?
D’après nos informations, le nouveau directeur du centre de formation du Stade Malherbe Caen devrait être Stéphane Nado. Ce Breton est notamment passé par Brest et Marseille.
Publié le 11 Juin 18 à 20:00

Stéphane Nado devrait être le nouvel entraîneur du centre de formation de Caen. (Frédéric Rostain – OM)
Le successeur de Francis De Taddeo à la tête du centre de formation malherbiste devrait être Stéphane Nado. Ce Breton de 46 ans s’est notamment distingué à Brest, où il a travaillé pendant neuf ans, puis Marseille, avant de connaître une expérience plus délicate avec la sélection mauritanienne.
Stéphane Nado était directeur du centre de formation de Brest et entraîneur de l’équipe réserve (CFA 2) quand les dirigeants bretons ont décidé de ne pas renouveler son contrat. Son travail de qualité, dans une structure aux faibles moyens, avait alors attiré l’attention de l’Olympique de Marseille. Le club phocéen lui avait confié les rênes de son équipe U19 fraîchement remontée en championnat de France.
Deux ans après son arrivée en 2014, Stéphane Nado était pressenti pour prendre la direction du centre de formation de l’OM suite au départ de Thomas Fernandez. C’est finalement Jean-Luc Cassini qui avait été choisi. Stéphane Nado s’en était quant à lui allé.

Devenu entraîneur adjoint de la sélection mauritanienne, Stéphane Nado a été limogé de son poste en janvier 2018. Il n’a pas de club depuis.
À Caen, Stéphane Nado pourrait être accompagné d’un autre Breton, Hervé Guégan. Ce technicien de 54 ans, ancien adjoint de Christian Gourcuff à Lorient, coachait cette saison les U19 du Paris SG. Il était auparavant directeur du centre de formation de Guingamp, après être passé par le Stade Brestois quand Stéphane Nado y était encore.


Aline Chatel Sport à Caen

ok très bien, on prend des personnes d'expérience visiblement. Perso j'aurais préféré voir Christophe Point à ce poste. On est en train de perdre petit à petit l'identité du club avec ce nouveau recrutement extérieur. A croire que la Bretagne est devenue une référence pour nos chers dirigeant, il est vrai qu'ils ont plus de club en L1 que nous mais ce n'est pas de notre faute si les autres équipes de Normandie sont nulles, en plus ils nous ont collé Le Havre dans notre région donc ca n'aide pas

Le SM Caen à la reconquête de son identité régionale


Gilles Sergent, le nouveau président du SM Caen, a invité, hier midi au stade d’Ornano, une vingtaine de partenaires à suivre le premier match des Bleus. | Ouest-France

Guillaume BALLARD.
Modifié le 16/06/2018  à 17h29
Publié le 16/06/2018  à 17h21

Gilles Sergent, le nouveau président, souhaite que le SM Caen retrouve sa place de club leader en Normandie. Une identité perdue de vue, ces deux dernières années, par la précédente équipe dirigeante. L’opération reconquête a débuté hier midi, avec des partenaires invités au stade d’Ornano à voir le premier match des Bleus à la Coupe du monde.

Nul doute que Didier Deschamps a secoué ses joueurs, hier midi, à la mi-temps du match des Bleus face à l’Australie pour leur entrée dans la Coupe du monde. Ambiance beaucoup plus détendue et conviviale, au même moment, dans l’un des salons du stade Michel d’Ornano.

Gilles Sergent, le nouveau président du SM Caen, entouré par une équipe largement remaniée, y a convié une vingtaine de partenaires issus de collectivités ou d’entreprises. Chacun vibre ou s’agace devant les écrans TV, à côté du buffet campagnard.

Au final, une victoire des Français acquise dans la douleur. Le parallèle est tentant avec la prise de pouvoir de certains actionnaires du club, voilà tout juste un mois, en désaccord avec l’ancien président Jean-François Fortin et son directeur général, Xavier Gravelaine.

Si Gilles Sergent assume la rupture, il préfère mettre en avant le travail collectif avec les autres membres du directoire (Jean-Marie Piranda, directeur délégué, Fabrice Clément, Jacky Rihouet et Jean-Yves Mercier). Ces chefs d’entreprise n’ont pas chômé pour reprendre la barre d’un club qui compte 170 salariés. « Il y a eu un temps de découverte. On a fait un audit. Des choses fonctionnaient bien. Mais on avait besoin de plus de coordination, de management et d’animation. Même si on est arrivé tardivement, on a créé une vraie dynamique. »

Nouveau sponsor maillot

En plus du dossier sportif, en haut de la pile des priorités, figurait celui du sponsoring. Les trois partenaires maillots du club sont en effet partis avec Jean-François Fortin : Campagne de France, marque de la coopérative des Maîtres laitiers du Cotentin dont l’ancien président est le directeur général ; Idec, opérateur immobilier venu dans les bagages de la société manchoise ; enfin Maison France Confort, le constructeur alençonnais qui a décidé de « faire une pause » cette année.

Le nom du nouveau sponsor majeur devrait être dévoilé au cours de la semaine. Il répondra à l’objectif rappelé par Gilles Sergent, hier, en accueillant ses invités : « Nous avons besoin de réaffirmer l’identité régionale du club. Nous n’y arriverons que tous ensemble, avec toutes les composantes : collectivités, clubs de foot amateur, partenaires privés, supporteurs et grand public. »


Les liens avec le terreau régional s’étaient effectivement distendus ces deux dernières années. Par exemple, de très petites entreprises, pourtant fidèles, avaient été contraintes de quitter le club des partenaires. « On veut toucher toutes les entreprises, de toute taille, et faire sauter les barrières, y compris dans les salons », annonce Gilles Sergent.

Le club espère repasser la barre des 400 partenaires, contre 320 environ la saison dernière. Ce qui s’appelle « muscler son jeu » , comme le disait Aimé Jacquet en 1998. Avec le résultat qu’on connaît…
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Les liens avec le terreau régional s’étaient effectivement distendus ces deux dernières années. Par exemple, de très petites entreprises, pourtant fidèles, avaient été contraintes de quitter le club des partenaires

    

Oui je suis aussi surpris par cet article... ca me laisse songeur et explique la division des gens.
Et aussi ca semble écarter ma théorie du "baroud d'honneur", on dirait que Fortin préparais son coup de poker depuis un moment.