[Débat] Les joueurs 2015/2016

Aie.
Mais Yahia est là et il tient la barraque.
Bon rétablissement à lui!

Sloan Privat : « On ne peut pas se permettre de ne penser qu’à soi »

Buteur au cours des deux dernières journées, Sloan Privat revient en forme au bon moment. Entretien avec un joueur qui retrouve le sourire.

28/01/2015 à 17:03 par nicolas claich

Buteur lors des deux derniers matches, Sloan Pivat apporte une nouvelle concurrence pour Mathieu Duhamel à la pointe de l’attaque caennaise. Comment expliquez-vous les deux victoires consécutives du SMC (contre Reims et à Rennes, 4-1 à chaque fois) ? Y a-t-il eu un déclic ?

Les vacances ont fait beaucoup de bien à tout le monde. Il y a eu une remise en question de tout le monde, y compris du coach. Il a fait son analyse personnelle et son auto-critique. A la reprise et durant le stage au Touquet, il y a eu du dialogue entre tout le monde, pas seulement entre les joueurs. Les cartes ont été redistribuées.

« Il a fallu être fort dans la tête »

Comment avez-vous accueilli l’intervention d’un préparateur mental ?

C’est un peu spécial, mais ça a fait du bien. On s’est dit des choses, des vérités. Cela a permis de libérer certaines choses. Mais déjà, depuis le match contre Bastia (1-1), on sentait que ça pouvait tourner.

Justement, vous avez su profiter de cette nouvelle donne en inscrivant deux buts consécutifs…

J’avais déjà bien fini l’année. Là, je montre qu’on peut compter sur moi. Le coach m’a donné ma chance. Je n’ai pas pu la saisir la première fois car je me suis blessé avec Alaeddine (sourire)… Mais il me l’a redonnée et j’ai marqué. En début de saison, ce n’était pas trop possible. Je devais revenir en forme pour postuler. C’est revenu à force de travail à l’entraînement. Aujourd’hui, je suis prêt pour le sprint final et l’objectif du maintien.

Comment avez-vous vécu cette première partie de saison, éloigné des terrains (NDLR : blessé aux adducteurs durant la préparation) ?

C’était très frustrant car j’étais là, mais je ne pouvais pas avoir de rôle. Il a fallu être fort dans la tête. Heureusement que j’étais bien entouré, par ma famille notamment. Mes coéquipiers aussi m’ont soutenu. Ils voyaient que je travaillais dur pour revenir le plus rapidement possible. De mon côté, j’encourageais les autres, je leur disais de ne rien lâcher. Je ne pouvais rien faire d’autre. C’est dur de voir ses coéquipiers dans la galère.

Comment appréhendez-vous la concurrence avec Mathieu Duhamel, titulaire du poste d’avant-centre jusque-là ?

Moi, je suis venu à Caen pour jouer, me relancer et aider le club à se maintenir. Je me donne à fond pour l’équipe et mes coéquipiers. Je fais tout pour le groupe.  Je travaille dur pour être performant. Après, c’est le coach qui fait ses choix et je les respecte. J’ai toujours fonctionné comme ça. On est tous compétiteur, on veut jouer et gagner.

Estimez-vous être revenu à 100% de vos moyens ?

Je peux encore faire plus mais ce n’est qu’en enchaînant les matches que ça viendra et que j’emmagasinerais de la confiance. J’ai encore besoin de repères et d’automatismes avec mes coéquipiers. Je n’ai pas joué beaucoup de matches avec eux, mine de rien. Je manque encore un peu de rythme, mais ça vient petit à petit.

« Mieux que le ventre mou! »

Vous êtes-vous fixé un objectif en terme de buts ?

Mon seul objectif, c’est le maintien. Un attaquant est jugé sur ses statistiques et ses buts, alors si je peux en marquer, tant mieux. Je veux marquer ou faire des passes décisives, être performant. Mais je veux surtout que ça serve à quelque chose. Si je parque mais qu’on perd, je ne serai pas content. De toute façon, on ne peut pas se permettre de ne penser qu’à soi. On n’est pas Messi ou Ronaldo, et on a besoin de tout le monde. Il faut penser à l’équipe car on est encore fragiles.  Aujourd’hui, on est dans une bonne spirale mais rien n’est fait, on est encore loin du compte. Il faut rester soudés et garder notre ligne directrice pour espérer. Si on se maintient, tout le monde sera récompensé et ce sera encore mieux que de terminer dans le ventre mou !

Vous êtes prêté avec option d’achat. Pensez-vous déjà la suite ?

Mon cas personnel passe après l’objectif collectif. Si on se maintient et que je suis performant, ça viendra tout seul.



http://www.libertebonhomme.fr/2015/01/31/sloan-privat-%c2%ab-on-ne-peut-pas-se-permettre-de-ne-penser-qu%e2%80%99a-soi-%c2%bb/

Il confirme qu'il y a eu une discussion et surtout on sent bien que la place de MD a été remise en question...
Belle surprise d'apprendre qu'il est en POA !

Comment ça vous ne saviez pas ?

Goup-14 a écrit:Comment ça vous ne saviez pas ?

Tu fais des topics complets avec toutes les infos et c'est même pas lu... Pfff

Le lien: https://www.smcaen1913.com/t50p60-effectif-2014-2015-duree-des-contrats#44836 avec un article de l'arrivée de Sloan.

Dans "allô malherbe" Nicolas Seube envisage de prolonger sa carrière
Lundi 02 février 2015 à 21h35

Le milieu de terrain du Stade Malherbe de Caen Nicolas Seube était l'invité de l'émission "Allô Malherbe" ce lundi soir sur France Bleu Basse-Normandie. Elu joueur du mois de janvier par les internautes, le joueur emblématique du club a notamment annoncé contre toute attente qu'il souhaitait éventuellement prolonger sa carrière au delà de juin prochain, terme de sa dernière année de contrat.

Nicolas Seube ce dimanche lors de sa sortie de terrain pendant le match contre St-Etienne -  © Roland Le Meur smcaen.fr
Ecoutez à nouveau l'émission Allô Malherbe avec Nicolas Seube Jean-Pierre Blimo 



Vous avez été nombreux à dialoguer en direct avec Nicolas Seube ce lundi soir dans l'émission Allô Malherbe.
Durant cette émission, le milieu défensif du Stade Malherbe de Caen, qui a passé toute sa carrière dans le même club (depuis 2001) a indiqué, contre toute attente, qu'il envisageait de poursuivre sa carrière au delà de la fin de son dernier contrat qui expirera en juin prochain.

" il me reste quatre mois de contrat, ce qui est prévu c'est que j'arrête, maintenant je me dis pourquoi pas continuer par rapport à ce que j'ai l'impression d'apporter à l'équipe...
la balle est dans le camp des dirigeants, ils savent que je serai à même de poursuivre si on me le demande..
ils sont peut être étonnés de voir les prestations que je suis en train de réaliser, comme tout entraîneur on peut se poser des questions, pourquoi le laisser partir alors qu'il peut encore être utile.."
 
Q: peut t'on envisager de voir Nicolas Seube ailleurs qu'à Caen ?
" non "
Nicolas Seube

Ecoutez l'extrait de l'interview sur ce sujet   
 

http://www.francebleu.fr/infos/allo-malherbe-ce-soir-posez-vos-questions-en-direct-nicolas-seube-2115601

Vu son niveau actuel et son rendement, vu comment il a stabilisé l'équipe, on se dit que ça serait dommage de ne pas profiter de Capi encore un peu :-)

Oui...j'aime beaucoup ce joueur...il est exemplaire et symbolise bien le Stade Malherbe de Caen.

Aucun risque à le prolonger encore une année.

Nico Seube restera un joueur emblématique du Stade Malherbe. Ce mec est une légende.. Je le pensais cramé la saison dernière mais force est de constater qu'il est toujours là.. Bravo le vieux.

ranko14 a écrit:Nico Seube restera un joueur emblématique du Stade Malherbe. Ce mec est une légende.. Je le pensais cramé la saison dernière mais force est de constater qu'il est toujours là.. Bravo le vieux.

+1000

maintenant, faut se rappeler qu'il a joué dimanche son 8ème/9ème match
c'est parfait de ramener un joueur "frais" en milieu d'hiver, mais ça reste une pige, mais une bonne pige

zigrit a écrit:

ranko14 a écrit:Nico Seube restera un joueur emblématique du Stade Malherbe. Ce mec est une légende.. Je le pensais cramé la saison dernière mais force est de constater qu'il est toujours là.. Bravo le vieux.

+1000

maintenant, faut se rappeler qu'il a joué dimanche son 8ème/9ème match
c'est parfait de ramener un joueur "frais" en milieu d'hiver, mais ça reste une pige, mais une bonne pige

il est là pour ça...et dans une équipe, un joueur comme lui est précieux..au moment ou l'équipe a un coup de mou !!

il mérite une année en plus !!

ranko14 a écrit:Nico Seube restera un joueur emblématique du Stade Malherbe. Ce mec est une légende.. Je le pensais cramé la saison dernière mais force est de constater qu'il est toujours là.. Bravo le vieux.

Tu as parfaitement résumé ma pensée !

Espérons garder Capitaine Courage encore 1 saison

Et après le numéro 2 mériterait d'être totalement retiré...
Comme Maldini au Milan! Oui c'est une légende et que son apport fait du bien!

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Vendredi 06 février 2015 22:00 Lenny Nangis, la phase de croissance ...

Buteur ici à Rennes, Lenny Nangis est devenu le meilleur réalisateur caennais (4 buts) à égalité avec Julien Féret, depuis le départ cette semaine de Mathieu Duhamel.

© Joël Le Gall 







Ligue 1. Caen - Toulouse, demain (20 h).

Désormais meilleur buteur en exercice du SM Caen, Lenny Nangis commence à répondre aux attentes placées en lui.




Au Stade Malherbe, Lenny Nangis alimente les discussions depuis tellement longtemps, qu'à la fin on en oublierait presque son âge.
Car le « Gwada » de Basse-Terre, débarqué à 15 ans au centre de formation du SM Caen, n'a que 20 piges. Et presque cette image de « jeune vieux pro ».
Comme pour Mbaye Niang, son ancien collègue de promo, les clés du grand monde ont été données très vite à cet attaquant précoce, devenu pro à 17 ans, apparu pour la 1^re fois en L1 à Auxerre le 17 septembre 2011, buteur deux mois plus tard à Ajaccio. La tête peut vite tourner, dans ces cas-là. Mais le foot de haut niveau exige du temps pour grandir, s'endurcir mentalement.
« Il a changé de mentalité »
On a failli s'impatienter, mais voilà 2015, et Lenny Nangis commence à exprimer avec plus d'a propos ses potentialités. Cette saison, il est avec Julien Féret le joueur le plus utilisé par Garande (23 matches, 18 titularisations). Depuis le début de l'année, son volume de jeu a augmenté, sa gestion des efforts semble meilleure, sa lucidité dans les choix aussi.
Le Guadeloupéen est-il en train de franchir un palier ? «C'est justement ce que je lui avais dit avant le match contre Saint-Etienne, répond Patrice Garande. J'avais pris comme exemple le match de Rennes, où en première mi-temps je l'avais trouvé à 50 % de ses possibilités, un peu timide. Mais malgré ça, il s'était dépouillé pour l'équipe, et ça lui avait permis ensuite de réussir des choses décisives. »
Nangis a été buteur à Rennes, presque passeur décisif pour Sala face aux Verts. Il est devenu le meilleur scoreur de Malherbe (4 réalisations, 1 passe) à égalité avec Féret, depuis lundi et le départ de Mathieu Duhamel (6 buts) pour Evian. « C'est pas mal, mais j'aurais pu en mettre plus, reconnaît-il. Je sens que je progresse, mais c'est le travail collectif qui me tire vers le haut. On a tous franchi un palier qui nous permet d'élever le niveau de l'équipe. Je parle pas mal avec le coach et son adjoint, pour essayer de régler les problèmes que je peux avoir, et j'espère que je vais franchir d'autres marches. A 20 ans, il faut encore que je progresse partout ! »
Garande, qui ne lui accorde sa confiance que depuis un an, sera heureux de l'entendre : « C'est un garçon qui a évolué, changé de mentalité. Il travaille beaucoup, est à l'écoute, même s'il parle beaucoup aussi, plaisante-t-il. Il faut qu'il continue. Pour devenir un vrai joueur de L1 et même plus, il faut se remettre en question chaque jour. »
La formule vaut pour tous ses coéquipiers, qui auront un gros coup à jouer demain contre Toulouse, ce concurrent direct. « On attendait de sortir de la zone rouge depuis un petit bout de temps, mais on l'a vu dans notre cas, ça peut aller vite dans les deux sens, rappelle Nangis. Le TFC, ce sera un match à 6 points, il faudra tout faire pour le gagner, et peu importe si ça passe par la porte ou la fenêtre ! »
 
 
Suspendu à Paris. Nangis manquera le déplacement à Paris le samedi 14 février (16 h), suite à trois cartons jaunes (deux en L1, un en Coupe) reçus en moins de dix matches.


Guillaume LAINÉ.

   Ouest-France

Je vous propose cette sympathique vidéo sur Felipe Saad:
http://www.canalplus.fr/c-sport/c-football/c-ligue-1/pid6606-j-1.html?vid=1209481

Jeudi 12 février 2015 22:00 Koïta : « On ne peut pas jouer petit bras » ...

 

J'aime beaucoup ce joueur, il a une bonne mentalité et sur le terrain par son explosivité, son physique et sa vitesse , il pèse beaucoup sur les défenses adverses. Dommage que devant le but il ne soit pas plus efficace.

Da Silva - Kanté - Nangis, les indispensables novices du SM Caen

         
On a beaucoup parlé, à juste titre, du rôle déterminant de Julien Féret dans le réveil caennais ces dernières semaines. Si le promu normand s'est refait une santé en 2015, il le doit aussi à trois joueurs qui découvrent (ou presque) la Ligue 1 cette saison et forment la colonne vertébrale de l'équipe de Patrice Garande : Damien Da Silva, N'Golo Kanté et Lenny Nangis.
 
 

 

Au classement des étoiles de France Football, ils sont les trois joueurs de champ caennais les mieux notés. Pourtant, avant le coup d'envoi de la saison, Damien Da Silva (5,63*), N'Golo Kanté (5,35*) et Lenny Nangis (5,32*) ne comptaient à eux trois que 570 minutes de jeu en Ligue 1, toutes jouées par le dernier nommé en 2011-2012 lors de ses premiers pas en pro. Trois tauliers, trois postes distincts et surtout trois profils différents : l'enfant du club dont l'éclosion était attendue (Nangis), le phénomène à l'ascension fulgurante (Kanté) et le roc passé par de nombreuses galères avant de côtoyer l'élite (Da Silva).
Nangis : «Je suis passé par des phases d'apprentissage. J'en avais besoin»
«Mes performances sont à la hauteur de ce qu’attendent mes coéquipiers, se félicite Lenny Nangis (20 ans). S’entraîner avec des joueurs comme Julien Féret, qui m’apportent leur expérience au quotidien, ça favorise la progression…» Après avoir éclos à 17 ans, le Guadeloupéen a mis du temps à confirmer, pas aidé par des blessures à répétition. Mais depuis la saison passée, il a su mettre à profit la confiance de Patrice Garande : «Je suis passé par des phases d’apprentissage. J’en avais besoin. Et puis c’est plus simple de jouer sans arrière-pensées. Je suis quelque un qui réfléchit énormément et la confiance me libère. Je joue avec un poids en moins, je me concentre sur ce que je dois faire et pas sur ce qu’il y a autour et ce que les gens peuvent penser de moi.»

Nangis l'insouciant, Kanté le phénomène

«Il a une insouciance incroyable, dit de lui son coéquipier Manu Imorou. Il est très souvent titulaire et il joue comme s’il était avec ses potes, pour s’amuser. Ce qu'il fait à son âge c'est déjà très bien, et il a encore une grosse marge de progression. Il doit s’étoffer physiquement et il peut être encore plus décisif.» Décisif, le milieu de terrain de 23 ans N'Golo Kanté l'a été dès ses premiers pas parmi l'élite, avec deux buts en trois journées. S'il n'a plus trouvé le chemin des filets depuis et si ses performances ont moins attiré l'oeil au coeur de l'automne, l'ancien Boulonnais est décrit comme «un phénomène au sens pur» par Imorou : «On sent le mec qui a quelque chose en plus que les autres. Et en plus c'est un mec hyper humble, simple, timide. Ça le rend encore meilleur parce que ça lui permet de s’isoler de ce qu’il y a autour. Et sur le terrain, il est au-dessus…»
Quand les trentenaires aussi sont indispensables...
Suivi de très près par de nombreux clubs de standing supérieur, Kanté ne devrait pas s'éterniser à Malherbe, mais apprend encore, lui aussi. Et ce n'est pas forcément un hasard s'il a retrouvé de l'allant en même temps que les trentenaires Nicolas Seube et Julien Féret ont retrouvé le onze de départ à ses côtés. «Ce sont des exemples à tous les niveaux, confirme Nangis. Ils connaissent la L1, le métier, le foot… des joueurs comme ça, on en a toujours besoin. Ils ont toujours été là pour nous, et ils continuent à nous tirer vers le haut, comme Rémy Vercoutre d’ailleurs.»

Da Silva : «20 bons matches, ce n'est pas suffisant»

Au buzz Kanté l'été dernier a succédé le buzz Da Silva cet hiver. La raison ? Non content d'enchaîner les prestations de très bon niveau malgré les difficultés de son équipe, le défenseur central de 26 ans s'est signalé au grand public avec un but magnifique à Rennes, le 25 janvier (4-1), enchaînant contrôle aérien du droit et sublime reprise du gauche. «Je ne suis pas habitué à marquer, alors un but comme ça encore moins ! Même moi j’ai du mal à l’expliquer», admet-il. Un moment d'extase qui lui a évidemment «donner envie de marquer d’autres buts, même des plus simples.» «La semaine qui a suivi, à chaque entraînement il frappait au but ! Vu tout ce qu’il a raté, il est très vite revenu sur terre, raconte Nangis dans un éclat de rire. Toute façon il préfère les duels, les tacles…»

«Défensivement, si tu vas au duel de la tête avec lui, tu sais que tu n’auras pas le ballon», appuie Manu Imorou. Et c'est vrai que Damien Da Silva s'était jusque-là régulièrement illustré par sa robustesse et sa sobriété. «Je me suis vite senti à l’aise, explique celui qui n'avait pas été conservé par Bordeaux à 16 ans et a dû passer par Niort, Châteauroux, Rouen et Clermont avant d'atterrir à Caen et en Ligue 1. Je ne me sens pas forcément comme un patron, mais je suis le joueur qui a le plus joué derrière, donc je suis conscient d’avoir pris de l’importance. Après, je suis toujours dans la découverte, et je ne prétends pas encore avoir le niveau Ligue 1. Faire 20 bons matches, ce n’est pas suffisant.» Mais ce sont déjà autant de belles promesses. Multipliées par trois.

Cédric CHAPUIS (@cedchapuis)


France Football

L. NANGIS : "UN SUCCÈS RESTERAIT GRAVÉ DANS NOS MÉMOIRES"

Montant en puissance depuis le début de l'année 2015 comme en témoigne son implication dans les trois premiers buts caennais contre les "Sang et Or", Lenny Nangis qui se fait une joie de découvrir le Vélodrome croit aux chances des "Bleu et Rouge" de réaliser un exploit face à l'Olympique de Marseille

LENNY NANGIS

Saison 2014-2015 :
1 909' de temps de jeu.
28 matches dont 22 comme titulaires (20 en Ligue 1).
4 buts, 1 passe décisive.
2 avertissements.

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