Les joueurs 2021-2022
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Les joueurs 2021-2022
SM Caen. Le Suédois Zeidane Inoussa rejoint la cohorte de néo-professionnels
Le Stade Malherbe Caen a annoncé ce mercredi 4 août 2021 la signature du premier contrat professionnel de Zeidane Inoussa. Le Suédois de 19 ans s'est engagé pour trois ans.
Par Aline Chatel
Publié le 4 Août 21 à 18:32
Sport à Caen
Un nouveau néo-pro au Stade Malherbe Caen !
Zeidane Inoussa, 19 ans, succède à Sullivan Péan, Andréas Hountondji et Brahim Traoré. Il a paraphé un contrat de trois ans en faveur d’un club qu’il a rejoint en 2019.
Arrivé de Suède
Zeidane Inoussa, né à Stockholm, a compté trois sélections en équipe de Suède U16. Il a d’abord évolué avec les U19 de Caen avant de monter en équipe réserve (six matchs, un but en National 2 la saison dernière, 22 minutes et un but en National 3 l’année d’avant). Promu par Pascal Dupraz avec le groupe A la saison dernière, il est apparu trois fois en Ligue 2.
Zeidane Inoussa était sur le banc lors des deux premières victoires caennaises de la saison, face à Rodez et Niort.
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Re: Les joueurs 2021-2022
SM Caen. Mehdi Chahiri, parcours tortueux et jambes de feu
Le Stade Malherbe Caen reçoit Pau, ce samedi (19 h), à d’Ornano. Arrivé lors du dernier jour du mercato, Mehdi Chahiri devrait connaître la première titularisation de la carrière en Ligue 2. Zoom sur l’ailier de 25 ans, prêté par Strasbourg (Ligue 1).
Ouest-France par Valentin PINEAU.
Publié le 09/09/2021 à 07h00

Mehdi Chahiri : « Je me sens très bien depuis mon arrivée, je reprends un peu de rythme. On m’a dit qu’il faisait froid ici mais ça va, il y a un peu de soleil (rires). » | SM CAEN
Son style virevoltant, saignant, et ses dribbles plaisent déjà aux fidèles du SM Caen présents aux entraînements. « Je veux apporter de la profondeur, de la percussion, des buts », souffle Mehdi Chahiri, arrivé il y a un peu plus d’une semaine, prêté sans option d’achat par Strasbourg (Ligue 1).
Le Franco-Marocain de 25 ans, qui devrait connaître sa première titularisation en Ligue 2 ce samedi, détonne par son imprévisibilité sur le rectangle vert. Certains pointent son parcours, pour expliquer cette qualité. Mehdi Chahiri n’a pas suivi la voie traditionnelle, et n’est donc pas « formaté ».
Né à Grande-Synthe (Hauts-de-France), l’ailier a presque fait toutes ses gammes dans le club local, excepté une pige en U16 à Boulogne-sur-Mer et une année à Lorient (avec les U19 puis la réserve en 2014-2015).
« Je me sentais mieux chez moi, dans ma famille, mon club, éclaire-t-il. J’ai eu la chance d’y jouer assez tôt en CFA2. » Quand il s’est finalement définitivement envolé, en 2016, il n’a pas été très loin, puisqu’il a rejoint le grand club de l’agglomération : l’USL Dunkerque, alors en National.
Là-bas, il a mis deux saisons à faire son trou, avant de percer à la suite de l’arrivée de Claude Robin. Mais c’est lors de l’exercice 2019-2020, tronqué par le Covid-19, qu’il a explosé. Dans un autre club historique : le Red Star. « Vincent Bordot (le coach) m’a fait confiance, il parlait beaucoup avec moi. C’est ce qui m’a mis dans de bonnes dispositions. J’ai marqué 14 buts en six mois (toutes compétitions confondues) », rappelle-t-il.
Cette fois, ses performances ne passent pas inaperçues. Plusieurs clubs de Ligue 1 cherchent à l’enrôler. Il choisit le Strasbourg de Thierry Laurey. « Devenir pro, ça a toujours été mon objectif. Je n’ai jamais lâché, je me suis toujours dit que je pouvais réussir, quitte à ce que ça prenne un peu de temps. Franchement, en dehors du foot, je ne vois vraiment pas ce que j’aurais pu faire. »
Ses débuts en Alsace sont plutôt prometteurs. Titularisé lors de la première journée, il marque son premier but chez les pros, sur la pelouse de Lorient, son ancien club. Quatre journées plus tard, il récidive à Monaco. Puis, plus rien, malgré un total de 9 titularisations et 23 apparitions en championnat.
« Je garde un souvenir mitigé de la saison dernière : j’aurais préféré jouer plus, avoir plus de stats, confie le Nordiste. J’ai eu la confiance de Thierry Laurey au début de saison, ensuite un peu moins. Il avait son équipe type, c’est difficile de changer ça. Parfois, je ne suis pas très bien entré en jeu aussi, ça ne m’a pas aidé. »
Cet été, l’arrivée de Julien Stéphan aurait pu changer les choses, mais Mehdi Chahiri, malgré une entrée en jeu à Angers lors de l’ouverture de la Ligue 1, n’était pas non plus dans les plans de l’ex-Rennais. Il a donc décidé de demander à partir en prêt, direction Malherbe : « Être en Ligue 1 pour être remplaçant, ça ne m’intéresse pas. Le SM Caen, c’est le club qui m’a le mieux vendu le projet. Pour moi, c’est celui qui me correspondait le mieux. »
Quand on lui demande ce qui serait pour lui une année réussie, il ne cache pas ses ambitions : « La montée en Ligue 1, pour retrouver le SM Caen la saison prochaine… »
Le Stade Malherbe Caen reçoit Pau, ce samedi (19 h), à d’Ornano. Arrivé lors du dernier jour du mercato, Mehdi Chahiri devrait connaître la première titularisation de la carrière en Ligue 2. Zoom sur l’ailier de 25 ans, prêté par Strasbourg (Ligue 1).
Ouest-France par Valentin PINEAU.
Publié le 09/09/2021 à 07h00
Mehdi Chahiri : « Je me sens très bien depuis mon arrivée, je reprends un peu de rythme. On m’a dit qu’il faisait froid ici mais ça va, il y a un peu de soleil (rires). » | SM CAEN
Son style virevoltant, saignant, et ses dribbles plaisent déjà aux fidèles du SM Caen présents aux entraînements. « Je veux apporter de la profondeur, de la percussion, des buts », souffle Mehdi Chahiri, arrivé il y a un peu plus d’une semaine, prêté sans option d’achat par Strasbourg (Ligue 1).
Le Franco-Marocain de 25 ans, qui devrait connaître sa première titularisation en Ligue 2 ce samedi, détonne par son imprévisibilité sur le rectangle vert. Certains pointent son parcours, pour expliquer cette qualité. Mehdi Chahiri n’a pas suivi la voie traditionnelle, et n’est donc pas « formaté ».
Né à Grande-Synthe (Hauts-de-France), l’ailier a presque fait toutes ses gammes dans le club local, excepté une pige en U16 à Boulogne-sur-Mer et une année à Lorient (avec les U19 puis la réserve en 2014-2015).
« Je me sentais mieux chez moi, dans ma famille, mon club »
« Je me sentais mieux chez moi, dans ma famille, mon club, éclaire-t-il. J’ai eu la chance d’y jouer assez tôt en CFA2. » Quand il s’est finalement définitivement envolé, en 2016, il n’a pas été très loin, puisqu’il a rejoint le grand club de l’agglomération : l’USL Dunkerque, alors en National.
Là-bas, il a mis deux saisons à faire son trou, avant de percer à la suite de l’arrivée de Claude Robin. Mais c’est lors de l’exercice 2019-2020, tronqué par le Covid-19, qu’il a explosé. Dans un autre club historique : le Red Star. « Vincent Bordot (le coach) m’a fait confiance, il parlait beaucoup avec moi. C’est ce qui m’a mis dans de bonnes dispositions. J’ai marqué 14 buts en six mois (toutes compétitions confondues) », rappelle-t-il.
Cette fois, ses performances ne passent pas inaperçues. Plusieurs clubs de Ligue 1 cherchent à l’enrôler. Il choisit le Strasbourg de Thierry Laurey. « Devenir pro, ça a toujours été mon objectif. Je n’ai jamais lâché, je me suis toujours dit que je pouvais réussir, quitte à ce que ça prenne un peu de temps. Franchement, en dehors du foot, je ne vois vraiment pas ce que j’aurais pu faire. »
Ses débuts en Alsace sont plutôt prometteurs. Titularisé lors de la première journée, il marque son premier but chez les pros, sur la pelouse de Lorient, son ancien club. Quatre journées plus tard, il récidive à Monaco. Puis, plus rien, malgré un total de 9 titularisations et 23 apparitions en championnat.
« Une saison réussie ? La montée en Ligue 1 »
« Je garde un souvenir mitigé de la saison dernière : j’aurais préféré jouer plus, avoir plus de stats, confie le Nordiste. J’ai eu la confiance de Thierry Laurey au début de saison, ensuite un peu moins. Il avait son équipe type, c’est difficile de changer ça. Parfois, je ne suis pas très bien entré en jeu aussi, ça ne m’a pas aidé. »
Cet été, l’arrivée de Julien Stéphan aurait pu changer les choses, mais Mehdi Chahiri, malgré une entrée en jeu à Angers lors de l’ouverture de la Ligue 1, n’était pas non plus dans les plans de l’ex-Rennais. Il a donc décidé de demander à partir en prêt, direction Malherbe : « Être en Ligue 1 pour être remplaçant, ça ne m’intéresse pas. Le SM Caen, c’est le club qui m’a le mieux vendu le projet. Pour moi, c’est celui qui me correspondait le mieux. »
Quand on lui demande ce qui serait pour lui une année réussie, il ne cache pas ses ambitions : « La montée en Ligue 1, pour retrouver le SM Caen la saison prochaine… »
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Re: Les joueurs 2021-2022
Bientôt opéré, Yoann Court ne devrait pas rejouer avant 2022
Gros coup dur pour le SM Caen et Yoann Court ! L'ailier va se faire opérer mardi 14 septembre 2021 des adducteurs. Son année civile risque d'être d'ores et déjà terminée
Actu.fr par Par Aline Chatel
Publié le 10 Sep 21 à 14:51
Yoann Court ne devrait pas rejouer en 2021. (:copyright:AC / Sport à Caen)
C’est un vrai coup dur pour le Stade Malherbe Caen. Yoann Court, titulaire incontesté en pleine possession de ses moyens, devrait être absent jusqu’à la fin de l’année civile. L’ailier, blessé depuis la réception de Sochaux le 7 août 2021, va se faire opérer. Il souffre des adducteurs. Plus d’un mois après sa blessure initiale, « c’était susceptible de péter à nouveau », d’après le coach malherbiste. Yoann Court n’avait pas réintégré le groupe professionnel pendant la trêve internationale, comme initialement prévu.
Il faudra donc faire sans le gaucher pendant probablement trois mois de plus, jusqu’à la trêve hivernale. Le natif de Carpentras n’est décidément pas épargné depuis son arrivée tardive à Caen, en septembre 2020. Après des bons débuts, son rendement avait faibli et l’ex-Brestois avait été touché par quelques pépins physiques.
Gros coup dur pour le SM Caen et Yoann Court ! L'ailier va se faire opérer mardi 14 septembre 2021 des adducteurs. Son année civile risque d'être d'ores et déjà terminée
Actu.fr par Par Aline Chatel
Publié le 10 Sep 21 à 14:51

Yoann Court ne devrait pas rejouer en 2021. (:copyright:AC / Sport à Caen)
C’est un vrai coup dur pour le Stade Malherbe Caen. Yoann Court, titulaire incontesté en pleine possession de ses moyens, devrait être absent jusqu’à la fin de l’année civile. L’ailier, blessé depuis la réception de Sochaux le 7 août 2021, va se faire opérer. Il souffre des adducteurs. Plus d’un mois après sa blessure initiale, « c’était susceptible de péter à nouveau », d’après le coach malherbiste. Yoann Court n’avait pas réintégré le groupe professionnel pendant la trêve internationale, comme initialement prévu.
Il faudra donc faire sans le gaucher pendant probablement trois mois de plus, jusqu’à la trêve hivernale. Le natif de Carpentras n’est décidément pas épargné depuis son arrivée tardive à Caen, en septembre 2020. Après des bons débuts, son rendement avait faibli et l’ex-Brestois avait été touché par quelques pépins physiques.
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Re: Les joueurs 2021-2022
Finalement, Caen aura une nouvelle équipe après la trêve hivernale...
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Re: Les joueurs 2021-2022
SM Caen. Court a la catastrophe
Énorme coup dur pour le Stade Malherbe Caen! Yoann Court, milieu de terrain, maître à jouer et meilleur passeur de l'équipe, va se faire opérer d'une blessure à l'adducteur. Il ne devrait pas revenir avant le mois de janvier 2022.
France Bleu Normandie (Calvados - Orne) par Boris Letondeur,
Vendredi 10 septembre 2021 à 15:46

L'histoire de Yoann Court au SM Caen est décidemment parsemée d'embuches. Après une première saison en Normandie cisaillée par les pépins physiques, le milieu de terrain malherbiste semble repartir sur des bases identiques. Son entame prometteuse - 2 passes décisives en 2 matchs - a vite été stoppé par une lésion à l'adducteur lors de la réception de Sochaux (3ème journée).
Sorti à la demi-heure de jeu, il devait au départ en être quitte pour quinze jours à l'infirmerie. Quinze jours transformés en un mois, puis en six semaines... et désormais en cinq mois minimum. Car son mal s'est révélé plus profond que prévu. Dans l'incapacité de reprendre son activité correctement, Yoann Court n'a d'autre choix que de subir une opération.
Elle aura lieu mardi 14 septembre. Blasé, dépité, son entraîneur Stéphane Moulin ne le voit pas revenir sur un terrain pour un match officiel de Ligue 2 "avant la fin de la trêve hivernale", soit en janvier 2022 ! La saison à peine commencé, c'est un terrible coup dur pour le Stade Malherbe Caen, qui perd l'un de ses meneurs de jeu titulaire, mais aussi un maître-artificier en matière de coup de pieds arrêtés. Il avait d'ailleurs délivré deux passes décisives pour Alexandre Mendy, sur corner, face à Rodez (4-0), et Niort (1-0). Un autre corner avait même amené un pénalty contre les Ruthénois.
Pour le remplacer sur la pelouse lors du prochain match face à Pau, le technicien caennais pourra compter sur l'une de ses dernières recrues Medhi Chahiri, ou sur Andreas Hountondji, de retour de blessure, mais pas sur Jessy Deminguet. Touché aux abdominaux, le Lexovien est forfait pour la réception de l'équipe béarnaise.
Le SM Caen reçoit le Pau FC pour le compte de la 7ème journée de Ligue 2. Le match est à suivre en direct et en intégralité sur France Bleu ce samedi 11 septembre avec les commentaires de Boris Letondeur et Jean-Baptiste Marie.
Énorme coup dur pour le Stade Malherbe Caen! Yoann Court, milieu de terrain, maître à jouer et meilleur passeur de l'équipe, va se faire opérer d'une blessure à l'adducteur. Il ne devrait pas revenir avant le mois de janvier 2022.
France Bleu Normandie (Calvados - Orne) par Boris Letondeur,
Vendredi 10 septembre 2021 à 15:46

Yoann Court ne reverra plus le ballon en 2021. Le milieu de terrain du SM Caen va se faire opérer de l'adducteur et ne rejouera pas avant la trêve hivernale.
:copyright: Maxppp - Marc Ollivier
L'histoire de Yoann Court au SM Caen est décidemment parsemée d'embuches. Après une première saison en Normandie cisaillée par les pépins physiques, le milieu de terrain malherbiste semble repartir sur des bases identiques. Son entame prometteuse - 2 passes décisives en 2 matchs - a vite été stoppé par une lésion à l'adducteur lors de la réception de Sochaux (3ème journée).
Sorti à la demi-heure de jeu, il devait au départ en être quitte pour quinze jours à l'infirmerie. Quinze jours transformés en un mois, puis en six semaines... et désormais en cinq mois minimum. Car son mal s'est révélé plus profond que prévu. Dans l'incapacité de reprendre son activité correctement, Yoann Court n'a d'autre choix que de subir une opération.
Pas de retour avant janvier 2022
Elle aura lieu mardi 14 septembre. Blasé, dépité, son entraîneur Stéphane Moulin ne le voit pas revenir sur un terrain pour un match officiel de Ligue 2 "avant la fin de la trêve hivernale", soit en janvier 2022 ! La saison à peine commencé, c'est un terrible coup dur pour le Stade Malherbe Caen, qui perd l'un de ses meneurs de jeu titulaire, mais aussi un maître-artificier en matière de coup de pieds arrêtés. Il avait d'ailleurs délivré deux passes décisives pour Alexandre Mendy, sur corner, face à Rodez (4-0), et Niort (1-0). Un autre corner avait même amené un pénalty contre les Ruthénois.
Stéphane Moulin « Il y a pas mal d’absents pour demain avec six blessés et deux suspendus. Yoann Court devrait être absent jusqu’à la trêve hivernale. »
#SMCaen#SMCPAUFCpic.twitter.com/ivnv0svutx— Stade Malherbe Caen (@SMCaen) September 10, 2021
Pour le remplacer sur la pelouse lors du prochain match face à Pau, le technicien caennais pourra compter sur l'une de ses dernières recrues Medhi Chahiri, ou sur Andreas Hountondji, de retour de blessure, mais pas sur Jessy Deminguet. Touché aux abdominaux, le Lexovien est forfait pour la réception de l'équipe béarnaise.
Suivez Caen - Pau en direct sur France Bleu
Le SM Caen reçoit le Pau FC pour le compte de la 7ème journée de Ligue 2. Le match est à suivre en direct et en intégralité sur France Bleu ce samedi 11 septembre avec les commentaires de Boris Letondeur et Jean-Baptiste Marie.
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Re: Les joueurs 2021-2022
Ibrahim Cissé : « C’était le moment pour moi de franchir un palier »
Alors qu’il devrait faire sa première apparition dans le groupe de Stéphane Moulin lors de la réception de Pau, ce samedi (19 h), Ibrahim Cissé, la dernière recrue caennaise, s’est présenté en conférence de presse d’avant-match. Il est revenu sur son choix de quitter Dunkerque pour Malherbe, et a évoqué ses ambitions.
Ouest-France par Recueilli par Gaëtan BRIARD et Valentin PINEAU.
Publié le 10/09/2021 à 16h13

Ibrahim Cissé, dernière recrue du SM Caen. | SM CAEN
Ibrahim Cissé, comment avez-vous vécu votre arrivée à Caen ?
Je suis arrivé sur le tard, parce qu’il y avait une négociation avec Dunkerque. Il y a eu un petit imprévu dans le timing (le logiciel de la Ligue a connu un bug lors de la dernière heure du mercato d’été) mais ça s’est réglé. J’avais confiance en Yo (Eudeline) et le président Pickeu, que je connaissais déjà. Ça s’est fait et je suis heureux d’être là.
Vous vouliez absolument rejoindre ce club ?
Oui, tout le monde le savait et je suis soulagé que ce se soit fait. C’est une étape importante dans ma carrière, un gros club qui me fait plus penser à la Ligue 1 qu’à la Ligue 2. J’ai 25 ans, j’ai fait une bonne saison à Dunkerque. C’était le moment pour moi de franchir un palier.
N’avez-vous pas stressé, quand le mercato s’est clôturé alors que vous étiez encore dunkerquois ?
Du tout. J’ai connu plusieurs transferts donc je savais que tant que ce n’était pas officiel, tout pouvait arriver. Dans ma tête, c’était comme si je n’avais pas signé. Pour être honnête, si cela ne s’était pas fait, je serai vite passé à autre chose. Dans le foot, on n’a pas le temps de douter ou d’être déçu. Je l’ai déjà vécu auparavant avec Tours.
Le fait d’avoir connu Stéphane Moulin à Angers, ça a pesé lourd dans la balance ?
Oui et non. Je dirais que ça a facilité les choses. Mais Caen reste Caen. C’est un gros club. Quoi qu’il arrive, j’aurais choisi ce club. Après, l’adaptation se fait plus rapidement car je connais la méthode de travail, et quelques joueurs : Abdi, Mendy, Chahiri, Shamal, Oniangué.
Il y a clairement un palier entre Caen et Dunkerque ?
Oui. Après, c’est Dunkerque qui m’a relancé. Je sortais pratiquement de deux ans sans jouer. Je ne renierai jamais ce club, il m’a donné du temps de jeu, et surtout de la confiance. Dunkerque restera une étape importante de ma carrière.
Qu’attendez-vous de cette nouvelle étape caennaise ?
D’abord, il faut que je me remette dans le rythme, bien physiquement. J’ai raté plusieurs semaines de compétition. Je veux bien travailler car avec ça, tout suivra logiquement.
Vous restez sur une belle saison. Quel a été le déclic ?
Individuellement, j’ai joué quasiment tous les matches. Collectivement, on s’est maintenu, c’était l’objectif du club. Comme je l’ai dit, ça m’a permis de me relancer, mais aussi de m’affirmer à ce poste de défenseur central. J’étais allé là-bas pour ça. On me voyait comme un joueur polyvalent, mais j’ai 25 ans et maintenant j’ai choisi un poste définitivement. Ça a été enrichissant dans ce sens-là. Le coach et mes coéquipiers m’ont permis de progresser aussi.
Stéphane Moulin a tout de même indiqué que vous pourriez dépanner au poste de latéral.
C’est normal, c’est le collectif. N’importe qui est là pour dépanner quand il manque des joueurs. Mais il a aussi dit qu’il m’a pris pour jouer dans l’axe. Mais s’il y a des besoins sur les côtés, j’irai sans problème.
Collectivement, qu’attendez-vous ?
C’est un nouveau cycle, avec un nouveau coach. Il faut d’abord bien travailler et les résultats viendront sur le long terme. J’attends de cette saison que l’on réussisse du mieux possible, et que l’on progresse.
Physiquement, vous êtes prêt à enchaîner les matches dès ce week-end ?
Je ne pense pas. J’ai raté cinq matches, c’est beaucoup. Je travaille pour revenir à mon meilleur niveau, et le coach décidera.
Comment se passent vos premiers jours avec vos nouveaux coéquipiers, notamment vos compères de l’axe central ?
Je m’intègre toujours vite dans un effectif. Cela s’est fait naturellement avec Jonathan et Prince, mais aussi avec les jeunes et les gardiens. Ce sont des bons gars. Concernant Prince et Jonathan, leur carrière parle pour eux. Ils continuent d’être performants. Pour moi, ce sont des anciens par rapport à leur carrière mais sur le terrain, ce ne sont pas des anciens.
Craignez-vous leur concurrence ?
Je ne réfléchis pas comme ça. Je travaille et je me dis que mon tour arrivera. Le plus important, c’est le collectif. S’il va bien, les individualités ressortiront ensuite.
Alors qu’il devrait faire sa première apparition dans le groupe de Stéphane Moulin lors de la réception de Pau, ce samedi (19 h), Ibrahim Cissé, la dernière recrue caennaise, s’est présenté en conférence de presse d’avant-match. Il est revenu sur son choix de quitter Dunkerque pour Malherbe, et a évoqué ses ambitions.
Ouest-France par Recueilli par Gaëtan BRIARD et Valentin PINEAU.
Publié le 10/09/2021 à 16h13
Ibrahim Cissé, dernière recrue du SM Caen. | SM CAEN
Ibrahim Cissé, comment avez-vous vécu votre arrivée à Caen ?
Je suis arrivé sur le tard, parce qu’il y avait une négociation avec Dunkerque. Il y a eu un petit imprévu dans le timing (le logiciel de la Ligue a connu un bug lors de la dernière heure du mercato d’été) mais ça s’est réglé. J’avais confiance en Yo (Eudeline) et le président Pickeu, que je connaissais déjà. Ça s’est fait et je suis heureux d’être là.
Vous vouliez absolument rejoindre ce club ?
Oui, tout le monde le savait et je suis soulagé que ce se soit fait. C’est une étape importante dans ma carrière, un gros club qui me fait plus penser à la Ligue 1 qu’à la Ligue 2. J’ai 25 ans, j’ai fait une bonne saison à Dunkerque. C’était le moment pour moi de franchir un palier.
N’avez-vous pas stressé, quand le mercato s’est clôturé alors que vous étiez encore dunkerquois ?
Du tout. J’ai connu plusieurs transferts donc je savais que tant que ce n’était pas officiel, tout pouvait arriver. Dans ma tête, c’était comme si je n’avais pas signé. Pour être honnête, si cela ne s’était pas fait, je serai vite passé à autre chose. Dans le foot, on n’a pas le temps de douter ou d’être déçu. Je l’ai déjà vécu auparavant avec Tours.
Le fait d’avoir connu Stéphane Moulin à Angers, ça a pesé lourd dans la balance ?
Oui et non. Je dirais que ça a facilité les choses. Mais Caen reste Caen. C’est un gros club. Quoi qu’il arrive, j’aurais choisi ce club. Après, l’adaptation se fait plus rapidement car je connais la méthode de travail, et quelques joueurs : Abdi, Mendy, Chahiri, Shamal, Oniangué.
« Dunkerque restera une étape importante de ma carrière »
Il y a clairement un palier entre Caen et Dunkerque ?
Oui. Après, c’est Dunkerque qui m’a relancé. Je sortais pratiquement de deux ans sans jouer. Je ne renierai jamais ce club, il m’a donné du temps de jeu, et surtout de la confiance. Dunkerque restera une étape importante de ma carrière.
Qu’attendez-vous de cette nouvelle étape caennaise ?
D’abord, il faut que je me remette dans le rythme, bien physiquement. J’ai raté plusieurs semaines de compétition. Je veux bien travailler car avec ça, tout suivra logiquement.
Vous restez sur une belle saison. Quel a été le déclic ?
Individuellement, j’ai joué quasiment tous les matches. Collectivement, on s’est maintenu, c’était l’objectif du club. Comme je l’ai dit, ça m’a permis de me relancer, mais aussi de m’affirmer à ce poste de défenseur central. J’étais allé là-bas pour ça. On me voyait comme un joueur polyvalent, mais j’ai 25 ans et maintenant j’ai choisi un poste définitivement. Ça a été enrichissant dans ce sens-là. Le coach et mes coéquipiers m’ont permis de progresser aussi.
Stéphane Moulin a tout de même indiqué que vous pourriez dépanner au poste de latéral.
C’est normal, c’est le collectif. N’importe qui est là pour dépanner quand il manque des joueurs. Mais il a aussi dit qu’il m’a pris pour jouer dans l’axe. Mais s’il y a des besoins sur les côtés, j’irai sans problème.
« Je m’intègre toujours vite dans un effectif »
Collectivement, qu’attendez-vous ?
C’est un nouveau cycle, avec un nouveau coach. Il faut d’abord bien travailler et les résultats viendront sur le long terme. J’attends de cette saison que l’on réussisse du mieux possible, et que l’on progresse.
Physiquement, vous êtes prêt à enchaîner les matches dès ce week-end ?
Je ne pense pas. J’ai raté cinq matches, c’est beaucoup. Je travaille pour revenir à mon meilleur niveau, et le coach décidera.
Comment se passent vos premiers jours avec vos nouveaux coéquipiers, notamment vos compères de l’axe central ?
Je m’intègre toujours vite dans un effectif. Cela s’est fait naturellement avec Jonathan et Prince, mais aussi avec les jeunes et les gardiens. Ce sont des bons gars. Concernant Prince et Jonathan, leur carrière parle pour eux. Ils continuent d’être performants. Pour moi, ce sont des anciens par rapport à leur carrière mais sur le terrain, ce ne sont pas des anciens.
Craignez-vous leur concurrence ?
Je ne réfléchis pas comme ça. Je travaille et je me dis que mon tour arrivera. Le plus important, c’est le collectif. S’il va bien, les individualités ressortiront ensuite.
Dernière édition par Seube82 le Ven 10 Sep 2021 - 16:51, édité 1 fois
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Re: Les joueurs 2021-2022
Quel bel état d’esprit ce Cissé !! 

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