[2020/2021]Revue de presse
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Je pense, comme beaucoup d'entre nous que cette décision est la meilleure pour pérenniser le club. Elle aurait dû être prise plus tôt 



rossi- CFA 2
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Re: [2020/2021]Revue de presse
2 Victoires en 19 matchs, même quand tu ne vises pas la montée c'est problématique, il aurait dû dégager bien plus tôt. A voir qui prendra la relève cet été. Des médias parlaient de Usai, quitte à choisir autant prendre Gallon ou alors chercher plus haut ( je rêve de Gourcuff ^^ , Montanier ...)
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Pour info, Gallon a annoncé hier son départ de Granville.
US Granville. L’entraîneur emblématique Johan Gallon annonce son départ du club
Johan Gallon quittera officiellement l’US Granville (Manche, N2) à la fin de son contrat, mercredi 30 juin 2021. Lui et le club manchois l’annoncent officiellement ce mercredi 24 mars 2021. En passe d’obtenir son Brevet d’entraîneur professionnel, le Normand espère désormais entraîner en Ligue 2 ou Ligue 1, avec le SM Caen dans un coin de la tête.
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C’était attendu, c’est maintenant officiel. Arrivé au club en 2013, Johan Gallon quitte l’US Granville (Manche, N2). Une nouvelle annoncée par le club dans un communiqué. « Sur ces trente dernières années, pas un entraîneur n’aura marqué autant son passage, victorieux, à l’USG », avance Dominique Gortari, président de l’USG.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 MjAyMTAzZjE5YzMzMjEwNTZiZmE3N2ZjNzhmNzFjMTZlYjU5ODk?width=630&focuspoint=50%2C50&cropresize=1&client_id=bpeditorial&sign=08f7dd148831f48296fb93a6fe45bd05b846d0065fcb9f7de2ab893cb144d408](https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/MjAyMTAzZjE5YzMzMjEwNTZiZmE3N2ZjNzhmNzFjMTZlYjU5ODk?width=630&focuspoint=50%2C50&cropresize=1&client_id=bpeditorial&sign=08f7dd148831f48296fb93a6fe45bd05b846d0065fcb9f7de2ab893cb144d408)
En huit saisons, Johan Gallon a notamment permis au club manchois de passer de Régional 1 (ex-DH) jusqu’en National 2 (ex-CFA). Sans oublier des épopées mythiques en Coupe de France, notamment contre l’Olympique de Marseille en 2016 en quart de finale, puis en 2020 en 16 es .
Pour marquer le coup, et remercier Johan Gallon pour son investissement, le club a réalisé une vidéo lui rendant hommage.
Johan Gallon devrait obtenir le Brevet d’entraîneur professionnel de football (BEPF) courant mai 2021. « Il est désormais temps pour Johan de s’orienter vers un nouveau projet avec en ligne de mire le football pro », continue le président granvillais.
« Je redoutais un peu ce moment »
« C’est beaucoup d’émotion et pour ne rien vous cacher, je redoutais un peu ce moment, confie le technicien. J’y pense depuis quelque temps et le jour J est arrivé. Les souvenirs remontent forcément. Cette aventure humaine extraordinaire est quelque chose de très fort pour moi. »
On se souvient aussi de ses déclarations récentes, appels du pied à l’adresse du SM Caen (Calvados, Ligue 2), « club de [sa] vie ».
Il avait également fait comprendre qu’une annonce serait imminente, dans nos colonnes, vendredi 19 mars 2021 : « Il faut d’abord que je parle de ces choses-là avec les personnes concernées, avant un effet d’annonce. Je veux faire les choses bien avec mon président, Monsieur Gortari. J’ai vécu trop de belles choses avec Granville pour annoncer des choses dans mon coin. »
Hasard du calendrier, l’officialisation du départ prochain de Johan Gallon intervient quelques heures après le limogeage de Pascal Dupraz du SM Caen, mal en point en Ligue 2.
Hasard ou Coïncidence ?
US Granville. L’entraîneur emblématique Johan Gallon annonce son départ du club
Johan Gallon quittera officiellement l’US Granville (Manche, N2) à la fin de son contrat, mercredi 30 juin 2021. Lui et le club manchois l’annoncent officiellement ce mercredi 24 mars 2021. En passe d’obtenir son Brevet d’entraîneur professionnel, le Normand espère désormais entraîner en Ligue 2 ou Ligue 1, avec le SM Caen dans un coin de la tête.
C’était attendu, c’est maintenant officiel. Arrivé au club en 2013, Johan Gallon quitte l’US Granville (Manche, N2). Une nouvelle annoncée par le club dans un communiqué. « Sur ces trente dernières années, pas un entraîneur n’aura marqué autant son passage, victorieux, à l’USG », avance Dominique Gortari, président de l’USG.
En huit saisons, Johan Gallon a notamment permis au club manchois de passer de Régional 1 (ex-DH) jusqu’en National 2 (ex-CFA). Sans oublier des épopées mythiques en Coupe de France, notamment contre l’Olympique de Marseille en 2016 en quart de finale, puis en 2020 en 16 es .
Pour marquer le coup, et remercier Johan Gallon pour son investissement, le club a réalisé une vidéo lui rendant hommage.
Johan Gallon devrait obtenir le Brevet d’entraîneur professionnel de football (BEPF) courant mai 2021. « Il est désormais temps pour Johan de s’orienter vers un nouveau projet avec en ligne de mire le football pro », continue le président granvillais.
« Je redoutais un peu ce moment »
« C’est beaucoup d’émotion et pour ne rien vous cacher, je redoutais un peu ce moment, confie le technicien. J’y pense depuis quelque temps et le jour J est arrivé. Les souvenirs remontent forcément. Cette aventure humaine extraordinaire est quelque chose de très fort pour moi. »
Le SM Caen, « club de [sa] vie »
On se souvient aussi de ses déclarations récentes, appels du pied à l’adresse du SM Caen (Calvados, Ligue 2), « club de [sa] vie ».
Il avait également fait comprendre qu’une annonce serait imminente, dans nos colonnes, vendredi 19 mars 2021 : « Il faut d’abord que je parle de ces choses-là avec les personnes concernées, avant un effet d’annonce. Je veux faire les choses bien avec mon président, Monsieur Gortari. J’ai vécu trop de belles choses avec Granville pour annoncer des choses dans mon coin. »
Hasard du calendrier, l’officialisation du départ prochain de Johan Gallon intervient quelques heures après le limogeage de Pascal Dupraz du SM Caen, mal en point en Ligue 2.
Hasard ou Coïncidence ?
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Seube82- Modérateur
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Re: [2020/2021]Revue de presse
[size=30]Stéphane Moulin annonce son départ d'Angers à la fin de la saison[/size]
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 Ecd8b](https://medias.lequipe.fr/img-photo-jpg/stephane-moulin-a-permis-au-sco-de-retrouver-l-elite-en-2015-a-martin-l-equipe/1500000001467214/0:0,1998:1332-640-427-75/ecd8b.jpg)
Stéphane Moulin a permis au SCO de retrouver l'élite en 2015. (A. Martin/L'Équipe)
Coup de tonnerre à Angers. Ce vendredi midi, le club a organisé une conférence de presse pour annoncer le départ de son entraîneur emblématique, Stéphane Moulin (53 ans), à l'issue de cet exercice. « J'ai décidé d'arrêter en fin de saison, a déclaré le technicien. J'ai ressenti cette saison comme difficile et éprouvante. J'ai pris ma décision avant le match contre Metz (1-0 pour le SCO, le 3 mars). Cela fait quelque temps que je vis avec. Cela va permettre au club de préparer sereinement la saison prochaine. C'est ma décision » Les joueurs ont été prévenus seulement quelques minutes avant l'annonce officielle, après la séance matinale. Moulin a aussi échangé avec ses dirigeants pendant près de 2 30, jeudi.
Sous sa coupe, le SCO a retrouvé l'élite en 2015 avant de s'y maintenir chaque saison, obtenant même la 9e place de Ligue 1 en 2016. Le club de l'Anjou a également atteint la finale de la Coupe de France en 2017 (0-1 contre le PSG). Au total, jusqu'à présent, le technicien a dirigé 398 rencontres d'Angers, pour 149 succès, 106 nuls et 143 défaites, toutes compétitions confondues.
Cette décision intervient alors que l'actualité du SCO a été chargée depuis un an et demi, avec notamment la mise en examen du président Saïd Chabane pour « agressions sexuelles aggravées » (enquête en cours), l'éviction de l'ancien manager général Olivier Pickeu, l'arrivée de Sébastien Larcier au poste de directeur sportif, le passage éclair de l'ancien président délégué Fabrice Favetto Bon,ou encore, plus récemment, la baisse momentanée des salaires en raison de la crise économique qui touche notamment le secteur du football.
Angers, 10e de Ligue 1 et quasiment maintenu, accueillera Montpellier le 4 avril pour son prochain match.
Nommé le 22 juin 2011, Stéphane Moulin est l'entraîneur le plus longtemps en poste en Ligue 1 et dans le Big Five. Si Thierry Laurey, en fin de contrat cet été avec Strasbourg, prolonge, c'est lui qui occupera ce statut en France la saison prochaine. À l'Atlético de Madrid depuis décembre 2011, Diego Simeone risque bien de succéder à Moulin la saison prochaine en temps qu'entraîneur le plus longtemps en poste dans les cinq grands championnats.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 Ecd8b](https://medias.lequipe.fr/img-photo-jpg/stephane-moulin-a-permis-au-sco-de-retrouver-l-elite-en-2015-a-martin-l-equipe/1500000001467214/0:0,1998:1332-640-427-75/ecd8b.jpg)
Stéphane Moulin a permis au SCO de retrouver l'élite en 2015. (A. Martin/L'Équipe)
Entraîneur actuel de Ligue 1 à la plus grande longévité, Stéphane Moulin a annoncé ce vendredi son départ d'Angers, qu'il dirigeait depuis 2011. Il finira la saison avec le club de l'Anjou.
Thomas Doucet et Jocelyn Lermusieaux (avec H. De.)mis à jour le 26 mars 2021 à 12h49Coup de tonnerre à Angers. Ce vendredi midi, le club a organisé une conférence de presse pour annoncer le départ de son entraîneur emblématique, Stéphane Moulin (53 ans), à l'issue de cet exercice. « J'ai décidé d'arrêter en fin de saison, a déclaré le technicien. J'ai ressenti cette saison comme difficile et éprouvante. J'ai pris ma décision avant le match contre Metz (1-0 pour le SCO, le 3 mars). Cela fait quelque temps que je vis avec. Cela va permettre au club de préparer sereinement la saison prochaine. C'est ma décision » Les joueurs ont été prévenus seulement quelques minutes avant l'annonce officielle, après la séance matinale. Moulin a aussi échangé avec ses dirigeants pendant près de 2 30, jeudi.
Montée en Ligue 1 en 2015, finale de la Coupe de France en 2017
Après avoir été joueur du SCO (1984-1990) puis entraîneur de l'équipe réserve (2005-2011), Moulin s'était vu confier l'équipe première en 2011. Il était donc en place depuis près de dix ans, ce qui constituait un record parmi les entraîneurs en place au sein des cinq grands Championnats européens.Sous sa coupe, le SCO a retrouvé l'élite en 2015 avant de s'y maintenir chaque saison, obtenant même la 9e place de Ligue 1 en 2016. Le club de l'Anjou a également atteint la finale de la Coupe de France en 2017 (0-1 contre le PSG). Au total, jusqu'à présent, le technicien a dirigé 398 rencontres d'Angers, pour 149 succès, 106 nuls et 143 défaites, toutes compétitions confondues.
Cette décision intervient alors que l'actualité du SCO a été chargée depuis un an et demi, avec notamment la mise en examen du président Saïd Chabane pour « agressions sexuelles aggravées » (enquête en cours), l'éviction de l'ancien manager général Olivier Pickeu, l'arrivée de Sébastien Larcier au poste de directeur sportif, le passage éclair de l'ancien président délégué Fabrice Favetto Bon,ou encore, plus récemment, la baisse momentanée des salaires en raison de la crise économique qui touche notamment le secteur du football.
Angers, 10e de Ligue 1 et quasiment maintenu, accueillera Montpellier le 4 avril pour son prochain match.
Nommé le 22 juin 2011, Stéphane Moulin est l'entraîneur le plus longtemps en poste en Ligue 1 et dans le Big Five. Si Thierry Laurey, en fin de contrat cet été avec Strasbourg, prolonge, c'est lui qui occupera ce statut en France la saison prochaine. À l'Atlético de Madrid depuis décembre 2011, Diego Simeone risque bien de succéder à Moulin la saison prochaine en temps qu'entraîneur le plus longtemps en poste dans les cinq grands championnats.
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Oscar Wilde
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Narval'- Ligue Europa
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Suspect tout ça !
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Hè hé, on va pas s'enflammer mais ce qui me plaît, c'est la petite précision de la conf' de presse :Narval' a écrit:Suspect tout ça !
Le staff part aussi
Stéphane Moulin a pris cette décision après le succès à Metz (0-1) début mars. Et il ne quitte pas le club tout seul car ses deux adjoints Patrice Sauvaget et Serge le Dizet s’en vont aussi, comme le préparateur physique Benoit Pickeu. L’entraîneur des gardiens Arnauld Lucas est lui en pleine réflexion.
- Récap au SMCaen : Sont partis le coach Dupraz et ses adjoints ainsi que le préparateur physique; seul Eddy Costil est resté.
- Récap au SCO : Vont partir le coach Moulin et ses adjoints ainsi que le préparateur physique Benoît Pickeu frère du Président; seul Arnaud Lucas reste (encore) (entraineur des gardiens).
Pour rappel pour ceux qui ont raté ça, c'était au mois de décembre dernier :
OLIVIER PICKEU : "MON OBJECTIF, C'EST QUE MON FRÈRE ME REJOIGNE DANS CE PROJET"
Depuis l'annonce, fin novembre, de l'arrêt maladie de Benoît Pickeu, le préparateur physique du SCO, la rumeur de son arrivée au Stade Malherbe, où il retrouverait son frère aîné, désormais président, s'est répandue comme une traînée de poudre. Sur ce sujet, Olivier Pickeu se montre extrêmement transparent. "Mon objectif, c'est que Benoît me rejoigne dans ce projet. Dès mon premier jour à Caen, je voulais qu'il soit avec moi. Je pense que c'est facile à comprendre. On travaille ensemble depuis 14 ans. C'est comme s'il me manquait un bras", explique le patron du SMC pour qui son cadet est une référence dans son domaine de compétence. "A Angers, il a tout mis en place pour que le club termine chaque saison n°1 sur le plan athlétique".
BAPTISTE HAMID ET JEAN-MARC BRANGER EN FIN DE CONTRAT EN JUIN 2021
Toutefois, s'il manifeste de nouveau l'envie que son frère soit présent à ses côtés, Olivier Pickeu prévient : "Benoît ne va pas arriver demain". Avant de poursuivre : "Je veux qu'il vienne mais pas en faisant n'importe quoi. Si je n'entretiens plus de relations avec Saïd Chabanne* (le président du SCO), je suis respectueux du club pour lequel j'ai travaillé pendant 14 ans. Et je dois respecter le timing de mon frère. Je l'attends. Je lui ai dit : « Après autant d'années passées dans ce club, tu dois partir la tête haute, pas comme moi »".
Si une arrivée au Stade Malherbe en janvier de Benoît Pickeu, lié à Angers par un CDI, semble donc exclue, la question va se reposer en fin de saison, surtout que Baptiste Hamid et Jean-Marc Branger, les deux actuels préparateurs athlétiques du groupe professionnel, se trouvent en fin de contrat en juin 2021. "C'est un sujet que j'ai déjà abordé avec Pascal (Dupraz, le coach, lui-même en fin de contrat), avec les prépa physiques, avec Pierre-Antoine (Capton) et Vincent (Catherine, le directeur général des activités françaises d'Oaktree). Tout le monde est au courant". Reste à connaître l'issue.
*Le 10 mars, Olivier Pickeu a été mis à pied à titre conservatoire par la direction du SCO avant de se voir notifier un mois plus tard son licenciement pour « fautes caractérisées et répétées de nature à porter atteinte aux intérêts du club ». Un motif contesté fermement le président du Stade Malherbe. Après une audience de conciliation le 9 septembre qui ne leur a pas permis de trouver un terrain d'entente, les deux parties ont de nouveau rendez-vous devant les Prud'hommes le 7 avril.
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Seube82- Modérateur
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Pour ce qui est de l'arrivée de Gallon cet été qui résonne partout vu qu'il a dit qu'il partait de Granville pile dans le timing du licenciement de Dupraz je suis très dubitatif sur le sujet ...
Tout comme lu plus haut j'aimerais beaucoup un coach avec des références, une forte identité DE JEU et pas de blabla comme un Gourcuff, un Furlan, un Pelissier ayant déjà vécu plusieurs montés avec un vécu et cie.
Bon Moulin a de super résultats pour lui pour l'identité de jeu on repassera mais en vrai ça serait un logique que tout Angers qui a réussi sous Pickeu rejoigne Caen (après Eudeline, Pickeu, et bientôt le staff ?? ^^).
Pour ce qui est d'Eddy Costil il peut prendre la porte ça me dérange pas ...
Sauvons Peyterens de Mercadal et de Dunkerque ! ^^
Tout comme lu plus haut j'aimerais beaucoup un coach avec des références, une forte identité DE JEU et pas de blabla comme un Gourcuff, un Furlan, un Pelissier ayant déjà vécu plusieurs montés avec un vécu et cie.
Bon Moulin a de super résultats pour lui pour l'identité de jeu on repassera mais en vrai ça serait un logique que tout Angers qui a réussi sous Pickeu rejoigne Caen (après Eudeline, Pickeu, et bientôt le staff ?? ^^).
Pour ce qui est d'Eddy Costil il peut prendre la porte ça me dérange pas ...
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Dernière édition par Marneus-Macrage le Ven 26 Mar 2021 - 13:38, édité 2 fois
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Re: [2020/2021]Revue de presse
En tout cas, on pourrait penser à la re lecture de cet article que l'arrivée de Benoît Pickeu au SM Caen est hautement probable...pour les autres, on croise les doigts
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Seube82- Modérateur
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Ce serait viser haut pour le club
avec des moyens !!!! Faibles

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Re: [2020/2021]Revue de presse
c'est effectivement le problème : on peut aisément penser que le club n'a pas les moyens de s'offrir ce team de coachs.
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Seube82- Modérateur
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Re: [2020/2021]Revue de presse
On peut aussi penser que, puisqu’ils connaissent bien Pickeu, que cet ex-staff Angevins fasse un effort financier, du moins sur le très court terme.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Au-delà de la question financière, sincèrement j’y crois beaucoup à cette hypothèse... Y’a trop de facteurs favorables...
Pickeu avait dit à sa prise de poste que le but était que son frère le rejoigne, que c’était comme si il lui manquait un bras... il sera libre en juin.
Moulin avait dit qu’il avait été impacté par le départ de Pickeu (et tout sait qu’ils sont resté proche)... il sera libre en juin.
Le staff caennais hormis Eddy Costil est parti; c’est le staff complet de Moulin qui partira en juin...
Ça fait beaucoup de coïncidence quand même...
Pickeu avait dit à sa prise de poste que le but était que son frère le rejoigne, que c’était comme si il lui manquait un bras... il sera libre en juin.
Moulin avait dit qu’il avait été impacté par le départ de Pickeu (et tout sait qu’ils sont resté proche)... il sera libre en juin.
Le staff caennais hormis Eddy Costil est parti; c’est le staff complet de Moulin qui partira en juin...
Ça fait beaucoup de coïncidence quand même...
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Re: [2020/2021]Revue de presse
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Fabrice Vandeputte (Caen) : "Des joueurs seront définitivement écartés"
vendredi 26 mars 2021 à 15:58 -Article écrit par La Rédaction - Réagir à cet article
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Première sur le banc du SM Caen en tant qu'entraîneur principal pour Fabrice Vandeputte. Choisi pour succéder à Pascal Dupraz après l'éviction de ce dernier cette semaine, le technicien de 51 ans a assisté ce vendredi matin au match nul de son équipe contre l'équipe de France U18 à Michel d'Ornano (1-1). Le coach normand en a ainsi profité pour s'exprimer sur la suite de la saison du Stade Malherbe, actuellement 14e de Ligue 2. "Il y a des joueurs qui vont être écartés définitivement jusqu'à la fin de saison", a-t-il annoncé, dans des propos relayés ci-dessous par FOOT NORMAND. Parmi eux, l'entraîneur caennais a d'ores et déjà annoncé la mise à l'écart de Yacine Bammou. Des choix qui "seront fait lundi et mardi" pour les autres, a précisé Fabrice Vandeputte, avant d'ajouter : "C'est important qu'on puisse travailler dans un climat qui nous convient. On est obligés de faire des choix. On ne peut pas s'entraîner à 30 ou 35, on n'a pas le temps d'expliquer, etc ..." Le successeur de Dupraz souhaite ainsi ramener son groupe à 20-24 joueurs. Des mesures qui doivent permettre au SM Caen de relancer la machine en Ligue 2.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Caen – Yohan Eudeline revient sur la mise à l’écart de Pascal Dupraz
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 Pickeu-Eudeline-Caen](https://maligue2.fr/wp-content/uploads/2020/09/Pickeu-Eudeline-Caen.jpg)
Le SM Caen vit une crise de printemps. A l’aube du sprint final, le club a choisi de se séparer de son entraîneur Pascal Dupraz et se lance dans la mission maintien en Ligue 2 avec le coach de la réserve, Fabrice Vandeputte, sur le banc. Invité de France Bleu Normandie ce lundi, le directeur sportif Yohan Eudeline est revenu sur cette mise à l’écart et le besoin pour le groupe de retrouver de la fraîcheur et du plaisir à l’entraînement également.
« On était dans une spirale négative depuis quelques semaines, on voulait apporter de la fraîcheur au groupe. Le choix logique était de faire monter Fabrice (Vandeputte) car il était au quotidien près du groupe. Cela permet aussi de faire monter des jeunes dans les séances, et pourquoi pas en match.
L’objectif commun est de se sauver le plus rapidement possible. Les joueurs viennent à Caen pour jouer le haut de tableau, je suis responsable de tout cela. Ce sont des joueurs de qualité mais aujourd’hui c’est plus compliqué. Ce n’est pas une science exacte le foot.
Le groupe s’entend bien. Notre spirale sans victoire est incroyable, on n’a pas réussi à inverser la tendance. On s’est retrouvé en difficulté au classement. Maintenant, c’est objectif maintien, il ne faut pas avoir peur des mots.
On croit fort dans les joueurs quand on monte un projet. Cela met du temps pour X raisons…
Après on a rarement aligné la même équipe 2-3 matchs d’affilée et on a besoin de repères. Il faut se focaliser sur les 8 derniers matchs pour prendre des points rapidement. Cela passe par de la fraîcheur, et prendre du plaisir à l’entraînement également pour le reproduire en match. »
Yohan Eudeline était l'invité de 100% Stade Malherbe ce lundi soir. Changement de coach, match face à Pau, prolongation de contrats des jeunes pros... le directeur sportif du SM Caen a évoqué l'actualité du club de football normand.
Yohan Eudeline est le directeur Sportif du SM Caen depuis 2019. Six jours après le changement de coach du club normand, il est venu participer à l'émission 100% Stade Malherbe ce lundi soir.
Le choix du club d'évincer Pascal Dupraz
"On était dans une spirale négative depuis quelques semaines malheureusement. On voulait apporter de la fraîcheur au groupe. Fabrice (Vandeputte) était le plus à même de reprendre l'équipe parce qu'il était au quotidien avec Pascal. C'était un choix logique. On est content qu'il soit avec nous. Ca apporte de la fraîcheur aussi avec des jeunes qui peuvent monter sur les séances et pourquoi pas en match.
On a un objectif commun qui est de se sauver le plus rapidement possible. On voulait apporter de la fraîcheur à tout cela et il fallait prendre une décision rapidement."
"C'est sûr que ça bloque un petit peu. Quand on se projette sur l'avenir, on est obligé d'évoquer le projet que l'on met en place. On met tout ça un petit peu en stand-by pour apporter l'énergie aux joueurs et au staff.
Voilà où est mon énergie aujourd'hui. C'est là où c'est le plus important qu'elle soit. Et sur le recrutement, cela attendra un petit peu. Après, c'est beaucoup d'échanges au quotidien et de réflexion pour prendre les bonnes décisions.
En tout cas, mon énergie est plus proche de l'équipe, des joueurs et du staff que du recrutement dans quelques semaines."
"La force du club, c'est qu'on a beaucoup de joueurs à fort potentiel qui sont protégés par des contrats. Aujourd'hui, on a aucun jeune joueur en fin de contrat en 2021.
Kelian (Nsona) sera effectivement en fin de contrat en 2022 mais à part Kelian, le reste est protégé donc on veut les faire progresser et travailler. La ligue 2 est un championnat très difficile. Ils se rendent compte aujourd'hui du travail qu'il reste à accomplir. On veut les accompagner tout simplement.
Maintenant nous allons devoir prendre des décisions sur beaucoup de jeunes joueurs et voir ce que l'on doit faire parce qu'ils ont un peu moins de temps de jeu. On va discuter tranquillement le moment venu et aujourd'hui on va se concentrer sur l'instant T qu'est l'effectif et le staff."
"On travaille évidemment avec Sullivan et son environnement depuis quelques semaines pour qu'il soit avec nous la saison prochaine. Il n'y a pas de raison que cela ne se fasse pas. C'est un peu plus long que prévu mais on compte énormément sur Sullivan."
"Je connais Stéphane parce que je l'ai eu comme entraîneur. Il a pris une décision très forte qui a surpris tout le monde, moi le premier.
Cela va avec le personnage. C'est quelqu'un de très humble mais qui est capable de prendre des décisions comme ça mais sans rien avoir derrière tout simplement parce qu'il sent qu'il doit être au bout du projet.
Cela m'a surpris. Vendredi, j'étais au match amical face à l'équipe de France U18 quand j'ai vu la conférence de presse. Cela a été une surprise mais voilà, c'est un choix de sa part.
Je savais que vous me poseriez la question. Après, c'est normal que les gens fasse le rapprochement. C'est tout à fait normal."
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 Pickeu-Eudeline-Caen](https://maligue2.fr/wp-content/uploads/2020/09/Pickeu-Eudeline-Caen.jpg)
Le SM Caen vit une crise de printemps. A l’aube du sprint final, le club a choisi de se séparer de son entraîneur Pascal Dupraz et se lance dans la mission maintien en Ligue 2 avec le coach de la réserve, Fabrice Vandeputte, sur le banc. Invité de France Bleu Normandie ce lundi, le directeur sportif Yohan Eudeline est revenu sur cette mise à l’écart et le besoin pour le groupe de retrouver de la fraîcheur et du plaisir à l’entraînement également.
« On était dans une spirale négative depuis quelques semaines, on voulait apporter de la fraîcheur au groupe. Le choix logique était de faire monter Fabrice (Vandeputte) car il était au quotidien près du groupe. Cela permet aussi de faire monter des jeunes dans les séances, et pourquoi pas en match.
L’objectif commun est de se sauver le plus rapidement possible. Les joueurs viennent à Caen pour jouer le haut de tableau, je suis responsable de tout cela. Ce sont des joueurs de qualité mais aujourd’hui c’est plus compliqué. Ce n’est pas une science exacte le foot.
Le groupe s’entend bien. Notre spirale sans victoire est incroyable, on n’a pas réussi à inverser la tendance. On s’est retrouvé en difficulté au classement. Maintenant, c’est objectif maintien, il ne faut pas avoir peur des mots.
On croit fort dans les joueurs quand on monte un projet. Cela met du temps pour X raisons…
Après on a rarement aligné la même équipe 2-3 matchs d’affilée et on a besoin de repères. Il faut se focaliser sur les 8 derniers matchs pour prendre des points rapidement. Cela passe par de la fraîcheur, et prendre du plaisir à l’entraînement également pour le reproduire en match. »
Yohan Eudeline était l'invité de 100% Stade Malherbe ce lundi soir. Changement de coach, match face à Pau, prolongation de contrats des jeunes pros... le directeur sportif du SM Caen a évoqué l'actualité du club de football normand.
Yohan Eudeline est le directeur Sportif du SM Caen depuis 2019. Six jours après le changement de coach du club normand, il est venu participer à l'émission 100% Stade Malherbe ce lundi soir.
Le choix du club d'évincer Pascal Dupraz
"On était dans une spirale négative depuis quelques semaines malheureusement. On voulait apporter de la fraîcheur au groupe. Fabrice (Vandeputte) était le plus à même de reprendre l'équipe parce qu'il était au quotidien avec Pascal. C'était un choix logique. On est content qu'il soit avec nous. Ca apporte de la fraîcheur aussi avec des jeunes qui peuvent monter sur les séances et pourquoi pas en match.
On a un objectif commun qui est de se sauver le plus rapidement possible. On voulait apporter de la fraîcheur à tout cela et il fallait prendre une décision rapidement."
La situation actuelle complique-t-elle le travail pour la saison prochaine?
"C'est sûr que ça bloque un petit peu. Quand on se projette sur l'avenir, on est obligé d'évoquer le projet que l'on met en place. On met tout ça un petit peu en stand-by pour apporter l'énergie aux joueurs et au staff.
Voilà où est mon énergie aujourd'hui. C'est là où c'est le plus important qu'elle soit. Et sur le recrutement, cela attendra un petit peu. Après, c'est beaucoup d'échanges au quotidien et de réflexion pour prendre les bonnes décisions.
En tout cas, mon énergie est plus proche de l'équipe, des joueurs et du staff que du recrutement dans quelques semaines."
La prolongation des jeunes pros
"La force du club, c'est qu'on a beaucoup de joueurs à fort potentiel qui sont protégés par des contrats. Aujourd'hui, on a aucun jeune joueur en fin de contrat en 2021.
Kelian (Nsona) sera effectivement en fin de contrat en 2022 mais à part Kelian, le reste est protégé donc on veut les faire progresser et travailler. La ligue 2 est un championnat très difficile. Ils se rendent compte aujourd'hui du travail qu'il reste à accomplir. On veut les accompagner tout simplement.
Maintenant nous allons devoir prendre des décisions sur beaucoup de jeunes joueurs et voir ce que l'on doit faire parce qu'ils ont un peu moins de temps de jeu. On va discuter tranquillement le moment venu et aujourd'hui on va se concentrer sur l'instant T qu'est l'effectif et le staff."
Un contrat pour Sullivan Péan?
"On travaille évidemment avec Sullivan et son environnement depuis quelques semaines pour qu'il soit avec nous la saison prochaine. Il n'y a pas de raison que cela ne se fasse pas. C'est un peu plus long que prévu mais on compte énormément sur Sullivan."
Le départ de Stéphane Moulin d'Angers SCO
"Je connais Stéphane parce que je l'ai eu comme entraîneur. Il a pris une décision très forte qui a surpris tout le monde, moi le premier.
Cela va avec le personnage. C'est quelqu'un de très humble mais qui est capable de prendre des décisions comme ça mais sans rien avoir derrière tout simplement parce qu'il sent qu'il doit être au bout du projet.
Cela m'a surpris. Vendredi, j'étais au match amical face à l'équipe de France U18 quand j'ai vu la conférence de presse. Cela a été une surprise mais voilà, c'est un choix de sa part.
Je savais que vous me poseriez la question. Après, c'est normal que les gens fasse le rapprochement. C'est tout à fait normal."
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Pour revenir à Vandeputte, j’ai aimé sa prise de parole au lendemain de l’éviction de **. Son discours était sérieux, cohérent et offensif. Maintenant voyons ce que cela donne en match !
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Re: [2020/2021]Revue de presse
j'espère me tromper mais je ne suis pas très optimiste.
Selon les journalistes de France Bleu (cf. 100% Malherbe), ils se sont fait bouger par les U18 de l'EDF...
Rappelons qu'ils ont égalisé sur pénalty en fin de match.
Selon les journalistes de France Bleu (cf. 100% Malherbe), ils se sont fait bouger par les U18 de l'EDF...
Rappelons qu'ils ont égalisé sur pénalty en fin de match.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
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Re: [2020/2021]Revue de presse
En battant Pau et Dunkerque, Caen sera sauvé mais c'est loin d'être gagné...
Après, faudra voir le comportement de l'équipe face aux autres équipes restantes qui ds tous les cas feront le jeu. Il faudra alors mettre les plus rapides en place.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
https://www.youtube.com/watch?v=5h5PJZjR2X0
Petit reportage Bein sur les investissements étrangers en ligue 2 avec une partie consacré au SM Caen avec Pickeu.
Très intéressant !
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen - Yacine Bammou : "Je vais revenir plus fort"
Mardi 6 avril 2021 à 9:56 -
Par Olivier Duc, France Bleu Normandie (Calvados - Orne), France Bleu Cotentin
Meilleur buteur du SM Caen, Yacine Bammou a subi en février la plus grosse blessure de sa carrière. Opéré d'une lésion haute du tendon d’Achille, l'attaquant marocain met toute son énergie afin de revenir au plus vite : "Je ne vais pas vous dire que je rêve de foot mais plutôt que je n'en dors pas."
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 870x489_index](https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2021/04/c1da8d61-509a-4943-a25e-ca282fb6d9a1/870x489_index.jpg)
L'attaquant du Stade Malherbe Caen Yacine Bammou a hâte de pouvoir retrouver les terrains
Radio France - Olivier Duc
Cette semaine, Yacine Bammou est revenu du Maroc où il a passé sa convalescence et sa rééducation avec l'aide du kiné de la sélection marocaine. L'attaquant du SM Caen ne touche pas encore le ballon ou presque.
"Je m'y autorise assis, en jonglant avec le pied droit puisque c'est le pied gauche qui est lésé. Je jongle un peu et je mets des buts en face pour avoir quand même cette sensation de marquer."
Il se donne désormais sans relâche pour revenir sans empiéter sur la préparation de la saison prochaine.
"Je bosse comme un acharné pour revenir au meilleur niveau. J'ai deux séances par jour. Je prends le petit-déjeuner à la maison. J'arrive ensuite à l'entraînement pour tout de suite faire du vélo. Je poursuis par du renforcement du bas et du haut du corps. L'après-midi, je fais souvent de la musculation pour le haut et encore un peu de vélo.
On va aussi introduire la piscine pour accélérer ma rééducation. Je fais ce programme deux fois par jour toute la semaine avec un jour de repos le dimanche.
C'est dans cette période qu'il faut être vraiment investi et consacrer le maximum de son travail et de son temps à son corps pour pouvoir revenir à son top.
Si le mental n'y est pas, c'est très dur de revenir comme on était."
Sa blessure au tendon est intervenue lors de ce qui s'apparentait à sa meilleure saison (six buts dont quatre penalties et une passe décisive en dix-sept matchs). Le SM Caen a d'ailleurs marqué deux fois plus de points quand son meilleur buteur était présent (26 points en 17 journées soit 1,52 point ) que lorsqu'il était absent (10 point en 14 journées soit 0,71 point par rencontre).
"J'avais commencé fort. Mes performances étaient bonnes. Que je marque ou non, je me sentais bien sur le terrain. Je pouvais donner le maximum de moi-même.
Malheureusement il y a eu cette blessure à la cuisse en décembre (à Pau) qui m'a ralenti et fait rater une dizaine de matchs (7). Je reviens. Je retrouve ma forme et le chemin des filets et malheureusement je me blesse à nouveau.
On va dire que c'est de la malchance. C'est comme ça, il faut faire avec. Je suis déçu de ne pas pouvoir aider le club cette année mais je vais me préparer encore plus fort pour revenir la saison prochaine."
Yacine Bammou ne marquera plus cette saison et devra se contenter de ses six réalisations.
"Je pense que j'aurais pu en marquer plein d'autres. Je l'ai en travers de la gorge parce que j'aimerais bien revenir en arrière, ne pas être blessé et enchaîner tous ses matchs. Je suis sûr que j'aurais pu apporter un plus.
Je ne dis pas que je changerais l'équipe. Sans l'équipe, on est rien seul mais j'avais l'objectif de dépasser la barre des dix buts. Je pense que cela aurait pu se faire. C'était la bonne saison mais voilà on ne contrôle pas les blessures. On ne peut pas prévoir quand ça vient."
Le 13 février, Yacine Bammou porte le brassard de capitaine pour la dernière victoire en date du SM Caen face à Niort (1-0). C'est lors d'un entraînement, trois jours après la rencontre, que son corps va le lâcher pour la deuxième fois de la saison mais de façon bien plus lourde que sa première blessure.
"En tant que sportif de haut niveau, on a toujours des petits pépins physiques, des blessures. Ce n'est pas la première mais on va dire que c'est la première grosse blessure. Même quand on est en forme, que l'on est apte à jouer, on a des petites douleurs.
Je pense que le corps humain n'est pas prêt à courir autant que l'on court, à prendre des chocs comme ça. C'est normal que l'on ait des douleurs et des blessures. C'est le métier qui veut ça. C'est le football. l faut assumer et tout prendre positivement pour pouvoir revenir au meilleur niveau."
Le huis-clos des stades fait d'ailleurs ressortir de façon bien plus sonore la violence des coups et des efforts physiques des joueurs.
"Sans le bruit des supporters, on entend plus les chocs et les hurlements. C'est un peu normal. Quand on prend des coups de crampons sur les chevilles et les tibias, même si on a l'habitude d'en prendre ça fait mal. Chacun le voit comme il veut mais nous, nous sommes sur le terrain et on prend les coups. On voit bien les traces à la fin du match."
Yacine Bammou devra se contenter de dix-sept matchs cette saison. Son objectif est désormais de pouvoir reprendre au plus près de la fin du championnat afin de ne pas empiéter sur la suivante. A défaut de pouvoir le toucher, le ballon occupe toutes ses pensées.
"Je ne vais pas vous dire que je rêve de foot mais plutôt que je n'en dors pas. C'est plus dur de trouver le sommeil. Là, ils préparent le match de samedi (contre Pau). Quand je pense au stade, la petite chaleur avant de rentrer, cela me fait du mal de ne pas pouvoir jouer. C'est très dur. Ma famille est là autour pour m'aider à me convaincre que ça va passer et que cela va aller vite, de me redonner la confiance.
Mentalement, ce n'est pas facile de ne pas pouvoir rentrer sur le terrain, de ne pas aller à l'entraînement, de ne pas transpirer comme il faut. C'est énervant mais il faut dire que derrière chaque mal se cache du bien. Je prends cela donc positivement. Ce n'est pas grave. Je vais revenir plus fort. Ça, c'est vraiment une chose sûre. Vous pouvez être certain que je vais revenir déterminé."
Yacine Bammou est sous contrat jusqu'en juin 2022. Prêté la saison passée en Turquie, l'attaquant marocain a joué trente-quatre matchs de championnat sous le maillot caennais.
Proche d'un départ l'été dernier, Yacine Bammou ne cache pas son attachement pour un club et ses supporters qu'ils respectent même si rien n'est arrêté pour la saison prochaine.
"Je n'en ai pas encore discuté, ni avec mon entourage ni avec mon club. Je pense qu'on va se réunir très prochainement pour voir. Mais je suis dans l'optique de rester à Caen et de bosser pour retrouver mon niveau et de cartonner en préparation pour être au top à la reprise du championnat.
Et pour ce qui est contrat, je laisse cela pour l'instant. Je laisse mon entourage et le club s'en occuper."
Olivier Duc
France Bleu Normandie (Calvados - Orne)
Mardi 6 avril 2021 à 9:56 -
Par Olivier Duc, France Bleu Normandie (Calvados - Orne), France Bleu Cotentin
Meilleur buteur du SM Caen, Yacine Bammou a subi en février la plus grosse blessure de sa carrière. Opéré d'une lésion haute du tendon d’Achille, l'attaquant marocain met toute son énergie afin de revenir au plus vite : "Je ne vais pas vous dire que je rêve de foot mais plutôt que je n'en dors pas."
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 870x489_index](https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2021/04/c1da8d61-509a-4943-a25e-ca282fb6d9a1/870x489_index.jpg)
L'attaquant du Stade Malherbe Caen Yacine Bammou a hâte de pouvoir retrouver les terrains

Cette semaine, Yacine Bammou est revenu du Maroc où il a passé sa convalescence et sa rééducation avec l'aide du kiné de la sélection marocaine. L'attaquant du SM Caen ne touche pas encore le ballon ou presque.
"Je m'y autorise assis, en jonglant avec le pied droit puisque c'est le pied gauche qui est lésé. Je jongle un peu et je mets des buts en face pour avoir quand même cette sensation de marquer."
Il se donne désormais sans relâche pour revenir sans empiéter sur la préparation de la saison prochaine.
"Je bosse comme un acharné pour revenir au meilleur niveau. J'ai deux séances par jour. Je prends le petit-déjeuner à la maison. J'arrive ensuite à l'entraînement pour tout de suite faire du vélo. Je poursuis par du renforcement du bas et du haut du corps. L'après-midi, je fais souvent de la musculation pour le haut et encore un peu de vélo.
On va aussi introduire la piscine pour accélérer ma rééducation. Je fais ce programme deux fois par jour toute la semaine avec un jour de repos le dimanche.
C'est dans cette période qu'il faut être vraiment investi et consacrer le maximum de son travail et de son temps à son corps pour pouvoir revenir à son top.
Si le mental n'y est pas, c'est très dur de revenir comme on était."
Sa blessure au tendon est intervenue lors de ce qui s'apparentait à sa meilleure saison (six buts dont quatre penalties et une passe décisive en dix-sept matchs). Le SM Caen a d'ailleurs marqué deux fois plus de points quand son meilleur buteur était présent (26 points en 17 journées soit 1,52 point ) que lorsqu'il était absent (10 point en 14 journées soit 0,71 point par rencontre).
"J'avais commencé fort. Mes performances étaient bonnes. Que je marque ou non, je me sentais bien sur le terrain. Je pouvais donner le maximum de moi-même.
Malheureusement il y a eu cette blessure à la cuisse en décembre (à Pau) qui m'a ralenti et fait rater une dizaine de matchs (7). Je reviens. Je retrouve ma forme et le chemin des filets et malheureusement je me blesse à nouveau.
On va dire que c'est de la malchance. C'est comme ça, il faut faire avec. Je suis déçu de ne pas pouvoir aider le club cette année mais je vais me préparer encore plus fort pour revenir la saison prochaine."
Yacine Bammou ne marquera plus cette saison et devra se contenter de ses six réalisations.
"Je pense que j'aurais pu en marquer plein d'autres. Je l'ai en travers de la gorge parce que j'aimerais bien revenir en arrière, ne pas être blessé et enchaîner tous ses matchs. Je suis sûr que j'aurais pu apporter un plus.
Je ne dis pas que je changerais l'équipe. Sans l'équipe, on est rien seul mais j'avais l'objectif de dépasser la barre des dix buts. Je pense que cela aurait pu se faire. C'était la bonne saison mais voilà on ne contrôle pas les blessures. On ne peut pas prévoir quand ça vient."
Le 13 février, Yacine Bammou porte le brassard de capitaine pour la dernière victoire en date du SM Caen face à Niort (1-0). C'est lors d'un entraînement, trois jours après la rencontre, que son corps va le lâcher pour la deuxième fois de la saison mais de façon bien plus lourde que sa première blessure.
"En tant que sportif de haut niveau, on a toujours des petits pépins physiques, des blessures. Ce n'est pas la première mais on va dire que c'est la première grosse blessure. Même quand on est en forme, que l'on est apte à jouer, on a des petites douleurs.
Je pense que le corps humain n'est pas prêt à courir autant que l'on court, à prendre des chocs comme ça. C'est normal que l'on ait des douleurs et des blessures. C'est le métier qui veut ça. C'est le football. l faut assumer et tout prendre positivement pour pouvoir revenir au meilleur niveau."
Le huis-clos des stades fait d'ailleurs ressortir de façon bien plus sonore la violence des coups et des efforts physiques des joueurs.
"Sans le bruit des supporters, on entend plus les chocs et les hurlements. C'est un peu normal. Quand on prend des coups de crampons sur les chevilles et les tibias, même si on a l'habitude d'en prendre ça fait mal. Chacun le voit comme il veut mais nous, nous sommes sur le terrain et on prend les coups. On voit bien les traces à la fin du match."
Yacine Bammou devra se contenter de dix-sept matchs cette saison. Son objectif est désormais de pouvoir reprendre au plus près de la fin du championnat afin de ne pas empiéter sur la suivante. A défaut de pouvoir le toucher, le ballon occupe toutes ses pensées.
"Je ne vais pas vous dire que je rêve de foot mais plutôt que je n'en dors pas. C'est plus dur de trouver le sommeil. Là, ils préparent le match de samedi (contre Pau). Quand je pense au stade, la petite chaleur avant de rentrer, cela me fait du mal de ne pas pouvoir jouer. C'est très dur. Ma famille est là autour pour m'aider à me convaincre que ça va passer et que cela va aller vite, de me redonner la confiance.
Mentalement, ce n'est pas facile de ne pas pouvoir rentrer sur le terrain, de ne pas aller à l'entraînement, de ne pas transpirer comme il faut. C'est énervant mais il faut dire que derrière chaque mal se cache du bien. Je prends cela donc positivement. Ce n'est pas grave. Je vais revenir plus fort. Ça, c'est vraiment une chose sûre. Vous pouvez être certain que je vais revenir déterminé."
Yacine Bammou est sous contrat jusqu'en juin 2022. Prêté la saison passée en Turquie, l'attaquant marocain a joué trente-quatre matchs de championnat sous le maillot caennais.
Proche d'un départ l'été dernier, Yacine Bammou ne cache pas son attachement pour un club et ses supporters qu'ils respectent même si rien n'est arrêté pour la saison prochaine.
"Je n'en ai pas encore discuté, ni avec mon entourage ni avec mon club. Je pense qu'on va se réunir très prochainement pour voir. Mais je suis dans l'optique de rester à Caen et de bosser pour retrouver mon niveau et de cartonner en préparation pour être au top à la reprise du championnat.
Et pour ce qui est contrat, je laisse cela pour l'instant. Je laisse mon entourage et le club s'en occuper."
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 74x74_olivierduc](https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2012/11/64db955c-33ed-11e2-83bf-52540079b48c/74x74_olivierduc.jpg)
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Jonathan Rivierez : "Nous n'étions pas prêts à jouer ce maintien"
Suspendu contre Pau, Jonathan Rivierez va faire son retour à la compétition samedi 10 avril 2021 à Grenoble. Le défenseur central du SM Caen raconte ces dernières semaines.
Jonathan Rivierez devrait retrouver une place de titulaire samedi soir contre Grenoble. (:copyright:AC / Sport à Caen)
Par Aline ChatelPublié le 9 Avr 21 à 15:58
Jonathan Rivierez devrait récupérer une place de titulaire et le brassard de capitaine, samedi 10 avril 2021 à Grenoble. Le défenseur central du Stade Malherbe Caen, blessé en février et suspendu contre Pau lors du premier match coaché par Fabrice Vandeputte, reconnaît que son équipe n’était pas conditionnée pour jouer le maintien. L’éviction de Pascal Dupraz a facilité la prise de conscience…
Jonathan, comment avez-vous vécu ces dernières semaines ?
Jonathan Rivierez : Ça n’a pas été des semaines faciles. Il y a eu du changement, il y a aussi eu une remise en question de tout l’effectif. Il a vite fallu se remettre au boulot pour aborder les derniers matchs de la meilleure des façons.
Un changement de coach, généralement, rebat les cartes…
C’est exactement ça. Quand un nouveau coach arrive, ça chamboule tous les joueurs. Les premières séances sont différentes et on voit d’autres visages.
C’était frustrant d’être suspendu à ce moment-là ?
Oui, c’était vraiment difficile. Quand un coach arrive, on a envie d’être là d’entrée de jeu pour montrer ce qu’on sait faire et pour aider le collectif. Même si le coach nous connaît, on a envie de prouver.
Vous allez jouer votre maintien face aux équipes du top 5…
On veut montrer qu’on a ce niveau-là. Au niveau du classement, nous n’avons pas du tout les mêmes objectifs que ces clubs-là, mais sur les matchs allers nous n’avons pas perdu contre les gros du championnat, à part le Paris FC. On a fait des matchs plutôt corrects, même si on n’a pas gagné. On va essayer de les reproduire dès samedi contre Grenoble. Il faut qu’on obtienne le maintien le plus rapidement possible. Pour moi, ce sont comme des matchs de coupe.
Le club a longtemps parlé de montée avant de basculer en quelques semaines vers l’opération maintien. Cela a-t-il été difficile à accepter mentalement ?
Oui, ça a été difficile. Mais au fur et à mesure des semaines, on sentait qu’on n’était plus en course pour les cinq premières places. A partir de là, il faut vite se remettre en question. Nous n’étions pas prêts à jouer ce maintien. Maintenant, on est obligé de le jouer. On s’est préparé depuis deux semaines. On est prêt à relever ce défi.
Le limogeage du coach Dupraz a été un déclic dans la prise de conscience de la gravité de la situation ?
Oui, bien sûr. Quand on limoge un coach, ça montre que le groupe n’est pas assez solide sur le terrain. Ça nous a fait tous mal et prendre conscience qu’on joue le maintien.
Qu’avez-vous pensé du match de Brahim Traoré contre Pau ?
C’était un bon premier match, félicitations à lui. C’est un jeune qui a beaucoup de qualités, c’est pour cela qu’il est là. Il apporte encore de la fraîcheur et de la concurrence à ce groupe.
Beaucoup de jeunes ont joué dans cette équipe depuis le début de saison, deux trentenaires avaient été laissés en tribune contre Pau. Les « anciens » sont-ils piqués dans leur orgueil ?
On a envie de montrer qu’on est là. Le coach arrive, il connaît beaucoup de joueurs de la réserve donc il apporte cette fraîcheur. Aujourd’hui, on est tous en concurrence. Il y a des trentenaires qui sont sortis du groupe, mais il y a aussi des jeunes qui en sortent… C’est une remise en question et ça fait avancer tout le monde. La concurrence tire tout le monde vers le haut.
Au moment où vous jouez le maintien et que toujours plus de jeunes intègrent le groupe, on attend les joueurs d’expérience…
La jeunesse apporte beaucoup de fraîcheur, nous on a l’expérience. J’ai connu des maintiens à la dernière journée, j’ai vécu des choses. J’essaie de transmettre ça aux plus jeunes. On a le groupe pour réussir. Maintenant, il faut le prouver sur le terrain.
Suspendu contre Pau, Jonathan Rivierez va faire son retour à la compétition samedi 10 avril 2021 à Grenoble. Le défenseur central du SM Caen raconte ces dernières semaines.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 4 Rivierez](https://static.actu.fr/uploads/2021/01/rivierez.jpg)
Par Aline ChatelPublié le 9 Avr 21 à 15:58
Jonathan Rivierez devrait récupérer une place de titulaire et le brassard de capitaine, samedi 10 avril 2021 à Grenoble. Le défenseur central du Stade Malherbe Caen, blessé en février et suspendu contre Pau lors du premier match coaché par Fabrice Vandeputte, reconnaît que son équipe n’était pas conditionnée pour jouer le maintien. L’éviction de Pascal Dupraz a facilité la prise de conscience…
Jonathan, comment avez-vous vécu ces dernières semaines ?
Jonathan Rivierez : Ça n’a pas été des semaines faciles. Il y a eu du changement, il y a aussi eu une remise en question de tout l’effectif. Il a vite fallu se remettre au boulot pour aborder les derniers matchs de la meilleure des façons.
Un changement de coach, généralement, rebat les cartes…
C’est exactement ça. Quand un nouveau coach arrive, ça chamboule tous les joueurs. Les premières séances sont différentes et on voit d’autres visages.
C’était frustrant d’être suspendu à ce moment-là ?
Oui, c’était vraiment difficile. Quand un coach arrive, on a envie d’être là d’entrée de jeu pour montrer ce qu’on sait faire et pour aider le collectif. Même si le coach nous connaît, on a envie de prouver.
« Des matchs de coupe »
Vous allez jouer votre maintien face aux équipes du top 5…
On veut montrer qu’on a ce niveau-là. Au niveau du classement, nous n’avons pas du tout les mêmes objectifs que ces clubs-là, mais sur les matchs allers nous n’avons pas perdu contre les gros du championnat, à part le Paris FC. On a fait des matchs plutôt corrects, même si on n’a pas gagné. On va essayer de les reproduire dès samedi contre Grenoble. Il faut qu’on obtienne le maintien le plus rapidement possible. Pour moi, ce sont comme des matchs de coupe.
Le club a longtemps parlé de montée avant de basculer en quelques semaines vers l’opération maintien. Cela a-t-il été difficile à accepter mentalement ?
Oui, ça a été difficile. Mais au fur et à mesure des semaines, on sentait qu’on n’était plus en course pour les cinq premières places. A partir de là, il faut vite se remettre en question. Nous n’étions pas prêts à jouer ce maintien. Maintenant, on est obligé de le jouer. On s’est préparé depuis deux semaines. On est prêt à relever ce défi.
Le limogeage du coach Dupraz a été un déclic dans la prise de conscience de la gravité de la situation ?
Oui, bien sûr. Quand on limoge un coach, ça montre que le groupe n’est pas assez solide sur le terrain. Ça nous a fait tous mal et prendre conscience qu’on joue le maintien.
« La jeunesse apporte la fraîcheur, nous l’expérience »
Qu’avez-vous pensé du match de Brahim Traoré contre Pau ?
C’était un bon premier match, félicitations à lui. C’est un jeune qui a beaucoup de qualités, c’est pour cela qu’il est là. Il apporte encore de la fraîcheur et de la concurrence à ce groupe.
Beaucoup de jeunes ont joué dans cette équipe depuis le début de saison, deux trentenaires avaient été laissés en tribune contre Pau. Les « anciens » sont-ils piqués dans leur orgueil ?
On a envie de montrer qu’on est là. Le coach arrive, il connaît beaucoup de joueurs de la réserve donc il apporte cette fraîcheur. Aujourd’hui, on est tous en concurrence. Il y a des trentenaires qui sont sortis du groupe, mais il y a aussi des jeunes qui en sortent… C’est une remise en question et ça fait avancer tout le monde. La concurrence tire tout le monde vers le haut.
Au moment où vous jouez le maintien et que toujours plus de jeunes intègrent le groupe, on attend les joueurs d’expérience…
La jeunesse apporte beaucoup de fraîcheur, nous on a l’expérience. J’ai connu des maintiens à la dernière journée, j’ai vécu des choses. J’essaie de transmettre ça aux plus jeunes. On a le groupe pour réussir. Maintenant, il faut le prouver sur le terrain.
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