[2020/2021]Revue de presse
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Football. SM Caen : fin de saison pour Hugo Vandermersch, gravement blessé au genou
Lors de la dernière séance d’entraînement, vendredi à Deauville, avant la réception d’Auxerre samedi (20 h) à d’Ornano, Hugo Vandermersch s’est gravement blessé au genou. Le latéral droit, l’un des joueurs les plus utilisés et les plus réguliers cette saison, ne reviendra pas sur les terrains avant l’exercice 2021-2022.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 MjAyMTA1NDgyMzE4NzM3ZTU0NDg0Njg1MGQxMGU1OWE4N2QyNWE?width=1260&focuspoint=48%2C34&cropresize=1&client_id=bpeditorial&sign=a856af9dd3c9da72f8273c9fcf5c49e0a3d654ef39abddd90ca867fbb1fd4ac9](https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/MjAyMTA1NDgyMzE4NzM3ZTU0NDg0Njg1MGQxMGU1OWE4N2QyNWE?width=1260&focuspoint=48%2C34&cropresize=1&client_id=bpeditorial&sign=a856af9dd3c9da72f8273c9fcf5c49e0a3d654ef39abddd90ca867fbb1fd4ac9)
Hugo Vandermersch ne rejouera pas cette saison avec le SM Caen.
C’est un gros coup dur pour le joueur comme pour le SM Caen. Hugo Vandermersch, l’un des rares joueurs indéboulonnables dans le onze de départ du Stade Malherbe cette saison, s’est gravement blessé au genou vendredi lors de l’entraînement à Deauville, à la veille de la réception d’Auxerre (samedi 20 h).
Le latéral droit de 21 ans, 31 matches joués et 2 227 minutes de temps de jeu lors de cet exercice 2020-2021, ne rejouera pas cette saison. Le communiqué du club précise que « le diagnostic établi par le docteur Cyril Bellot, médecin du club, sera complété par des examens qui seront effectués dès ce lundi à la Polyclinique du Parc ». Le joueur, de son côté, a salué tous les messages de soutien reçus, avant d’évoquer le match capital face à Auxerre.
Lors de la dernière séance d’entraînement, vendredi à Deauville, avant la réception d’Auxerre samedi (20 h) à d’Ornano, Hugo Vandermersch s’est gravement blessé au genou. Le latéral droit, l’un des joueurs les plus utilisés et les plus réguliers cette saison, ne reviendra pas sur les terrains avant l’exercice 2021-2022.
Hugo Vandermersch ne rejouera pas cette saison avec le SM Caen.
C’est un gros coup dur pour le joueur comme pour le SM Caen. Hugo Vandermersch, l’un des rares joueurs indéboulonnables dans le onze de départ du Stade Malherbe cette saison, s’est gravement blessé au genou vendredi lors de l’entraînement à Deauville, à la veille de la réception d’Auxerre (samedi 20 h).
Le latéral droit de 21 ans, 31 matches joués et 2 227 minutes de temps de jeu lors de cet exercice 2020-2021, ne rejouera pas cette saison. Le communiqué du club précise que « le diagnostic établi par le docteur Cyril Bellot, médecin du club, sera complété par des examens qui seront effectués dès ce lundi à la Polyclinique du Parc ». Le joueur, de son côté, a salué tous les messages de soutien reçus, avant d’évoquer le match capital face à Auxerre.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Le défi prioritaire désormais, faire barrage à Chambly
Perçus comme l’issue à éviter à tout prix une semaine en arrière, les barrages apparaissent désormais comme l’unique solution offerte à Malherbe (2 points de retards sur Pau, Dunkerque et Niort, 3 d’avance sur Chambly) de se maintenir. Cruel constat.
Sérieusement tancé par supporters, avant et après la rencontre, le Stade Malherbe n’avance toujours pas. | STÉPHANE GEUFROI
La situation comptable
Si Fabrice Vandeputte et ses joueurs répètent à l’envi que Malherbe s’en sortira par lui-même, les amoureux du club ont rapidement tourné leur regard vers ce qu’il se passait ailleurs, samedi soir. Une manière de faire devenue habituelle qui en dit long sur le peu de crédit accordé à cette équipe. « On connaît notre situation, on est prêts à aller au bout, sur les deux matches qui arrivent, voire en barrages », a prévenu Fabrice Vandeputte.
Ce week-end, comme les précédents, rien n’a tourné en faveur d’un Stade Malherbe apparu pourtant plus concerné et cohérent face à Auxerre (0-0), mais qui glisse irrémédiablement sur une pente savonneuse. Mené à la pause au Havre, Chambly et son gardien quadragénaire, Vincent Planté, ont renversé Le Havre (2-4). Pire encore, Dunkerque a réussi là où Malherbe avait échoué une semaine plus tôt en battant Sochaux (1-0, but à la 84e minute).
La situation au classement est devenue aussi limpide que délicate. Cinq équipes sont désormais concernées par le maintien, Malherbe espère en laisser deux derrière lui.
15. Pau (40 points, – 1 match, DB : -7) : va à Chambly (19e), va à Toulouse (3e), reçoit Valenciennes (8e).
16. Dunkerque (40 points, DB : -11) : va à Troyes (1er), reçoit Toulouse (3e).
17. Niort (40 points, DB : -22) : va à Amiens (10e), reçoit Guingamp (13e).
18. Caen (38 points, DB : -13) : va à Toulouse (3e), reçoit Clermont (2e).
19. Chambly (35 points, DB : -21) : reçoit Pau (15e), va au Paris FC (5e).
Les barrages, une aubaine ?
Inenvisageables il y a deux mois, redoutés il y a 10 jours, les barrages apparaissent désormais comme une aubaine. Comme le seul moyen de sauver les meubles. Malherbe en est clairement là aujourd’hui, à regarder davantage ce qu’il se passe derrière lui que devant. La faute à un calendrier coton (lire ci-dessous), mais surtout à sa dynamique épouvantable.
Sur la phase retour, seul Châteauroux (9 points), condamné depuis un long moment, présente un moins bon bilan que le Stade Malherbe (10 points, 1 victoire, 7 nuls 9 défaites). Durant cette période, Rodez et Pau ont grappillé 16 points de plus que lui, Dunkerque, 9, Chambly, 6 et Niort, 5.
Une descente aux enfers que l’intronisation de Fabrice Vandeputte n’a pas suffi à enrayer. Lors des six dernières journées, Malherbe a marqué autant de buts qu’il a pris de points (3). Trois unités, c’est autant que Niort, mais 5 de moins que Chambly six de moins que Dunkerque et Pau, ses adversaires directs, et surtout huit de moins que Guingamp, qui a su se sublimer au meilleur des moments.
Pour éviter les barrages, Malherbe devra a minima prendre deux points et espérer que le compteur de Niort reste bloqué à 40 unités. Ou réaliser un exploit face à Toulouse ou Clermont. Il finira 19e si Chambly, plombé par sa différence de buts, prend 4 points de plus que lui.
Le Toulouse de Patrice Garande en arbitre
Hasard du calendrier, Malherbe tentera de se donner de l’air à Toulouse, samedi, l’équipe entraînée par Patrice Garande. Un entraîneur qui en connaît un rayon sur les maintiens, qu’ils soient confortables ou tirés par les cheveux (5 en Ligue 1, entre 2014 et 2019). Une expérience qui, cette fois, ne sera d’aucune aide à Malherbe.
Plombé par la Covid-19, battu samedi au Paris FC (3-1), Toulouse a désormais quatre points de retard sur… Clermont, le 2e et dernier adversaire du SM Caen, et quatre matchs à disputer en l’espace de 11 jours. Après la réception de Malherbe, Garande défiera Pau et Dunkerque, le sifflet pour le maintien dans la bouche. La peur du vide s’est installée aux abords de d’Ornano. Elle pourrait s’éterniser jusqu’au 22 mai, date du match retour des barrages.
Perçus comme l’issue à éviter à tout prix une semaine en arrière, les barrages apparaissent désormais comme l’unique solution offerte à Malherbe (2 points de retards sur Pau, Dunkerque et Niort, 3 d’avance sur Chambly) de se maintenir. Cruel constat.
La situation comptable
Si Fabrice Vandeputte et ses joueurs répètent à l’envi que Malherbe s’en sortira par lui-même, les amoureux du club ont rapidement tourné leur regard vers ce qu’il se passait ailleurs, samedi soir. Une manière de faire devenue habituelle qui en dit long sur le peu de crédit accordé à cette équipe. « On connaît notre situation, on est prêts à aller au bout, sur les deux matches qui arrivent, voire en barrages », a prévenu Fabrice Vandeputte.
Ce week-end, comme les précédents, rien n’a tourné en faveur d’un Stade Malherbe apparu pourtant plus concerné et cohérent face à Auxerre (0-0), mais qui glisse irrémédiablement sur une pente savonneuse. Mené à la pause au Havre, Chambly et son gardien quadragénaire, Vincent Planté, ont renversé Le Havre (2-4). Pire encore, Dunkerque a réussi là où Malherbe avait échoué une semaine plus tôt en battant Sochaux (1-0, but à la 84e minute).
La situation au classement est devenue aussi limpide que délicate. Cinq équipes sont désormais concernées par le maintien, Malherbe espère en laisser deux derrière lui.
15. Pau (40 points, – 1 match, DB : -7) : va à Chambly (19e), va à Toulouse (3e), reçoit Valenciennes (8e).
16. Dunkerque (40 points, DB : -11) : va à Troyes (1er), reçoit Toulouse (3e).
17. Niort (40 points, DB : -22) : va à Amiens (10e), reçoit Guingamp (13e).
18. Caen (38 points, DB : -13) : va à Toulouse (3e), reçoit Clermont (2e).
19. Chambly (35 points, DB : -21) : reçoit Pau (15e), va au Paris FC (5e).
Les barrages, une aubaine ?
Inenvisageables il y a deux mois, redoutés il y a 10 jours, les barrages apparaissent désormais comme une aubaine. Comme le seul moyen de sauver les meubles. Malherbe en est clairement là aujourd’hui, à regarder davantage ce qu’il se passe derrière lui que devant. La faute à un calendrier coton (lire ci-dessous), mais surtout à sa dynamique épouvantable.
Sur la phase retour, seul Châteauroux (9 points), condamné depuis un long moment, présente un moins bon bilan que le Stade Malherbe (10 points, 1 victoire, 7 nuls 9 défaites). Durant cette période, Rodez et Pau ont grappillé 16 points de plus que lui, Dunkerque, 9, Chambly, 6 et Niort, 5.
Une descente aux enfers que l’intronisation de Fabrice Vandeputte n’a pas suffi à enrayer. Lors des six dernières journées, Malherbe a marqué autant de buts qu’il a pris de points (3). Trois unités, c’est autant que Niort, mais 5 de moins que Chambly six de moins que Dunkerque et Pau, ses adversaires directs, et surtout huit de moins que Guingamp, qui a su se sublimer au meilleur des moments.
Pour éviter les barrages, Malherbe devra a minima prendre deux points et espérer que le compteur de Niort reste bloqué à 40 unités. Ou réaliser un exploit face à Toulouse ou Clermont. Il finira 19e si Chambly, plombé par sa différence de buts, prend 4 points de plus que lui.
Le Toulouse de Patrice Garande en arbitre
Hasard du calendrier, Malherbe tentera de se donner de l’air à Toulouse, samedi, l’équipe entraînée par Patrice Garande. Un entraîneur qui en connaît un rayon sur les maintiens, qu’ils soient confortables ou tirés par les cheveux (5 en Ligue 1, entre 2014 et 2019). Une expérience qui, cette fois, ne sera d’aucune aide à Malherbe.
Plombé par la Covid-19, battu samedi au Paris FC (3-1), Toulouse a désormais quatre points de retard sur… Clermont, le 2e et dernier adversaire du SM Caen, et quatre matchs à disputer en l’espace de 11 jours. Après la réception de Malherbe, Garande défiera Pau et Dunkerque, le sifflet pour le maintien dans la bouche. La peur du vide s’est installée aux abords de d’Ornano. Elle pourrait s’éterniser jusqu’au 22 mai, date du match retour des barrages.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Jessy Pi touché à l'ischio, sa fin de saison est compromise
Sorti au milieu de la première mi-temps contre Auxerre, samedi 1er mai 2021, Jessy Pi souffre d'une blessure musculaire à l'ischio-jambier.
Jessy Pi déçu, forcément, après avoir été contraint de quitter ses partenaires dès la première mi-temps contre Auxerre. (:copyright:AC / Sport à Caen)
Par Aline Chatel - Actu.frPublié le 2 Mai 21 à 15:11
Une semaine après avoir déjà dû abandonner ses partenaires en raison d’une douleur à l’ischio-jambier, Jessy Pi a subi une rechute, samedi 1er mai 2021 devant Auxerre. Le milieu de terrain du Stade Malherbe Caen est sorti après 24 minutes de jeu pour la même raison. « C’est sûrement une élongation », avance son entraîneur Fabrice Vandeputte. Jessy Pi va devoir rester aux soins pendant quelques temps et devrait manquer, a minima, le déplacement à Toulouse samedi 8 mai 2021.
Par ailleurs, Johann Lepenant et Alexis Beka Beka, qui souffrent tous deux du Covid-19, passeront un nouveau test lundi 3 mai 2021. Il déterminera leur retour à l’entraînement. Pour rappel, Yacine Bammou, Yoël Armougom et désormais Hugo Vandermersch sont actuellement blessés.
Sorti au milieu de la première mi-temps contre Auxerre, samedi 1er mai 2021, Jessy Pi souffre d'une blessure musculaire à l'ischio-jambier.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Jessy-pi-blesse](https://static.actu.fr/uploads/2021/05/jessy-pi-blesse.jpg)
Par Aline Chatel - Actu.frPublié le 2 Mai 21 à 15:11
Une semaine après avoir déjà dû abandonner ses partenaires en raison d’une douleur à l’ischio-jambier, Jessy Pi a subi une rechute, samedi 1er mai 2021 devant Auxerre. Le milieu de terrain du Stade Malherbe Caen est sorti après 24 minutes de jeu pour la même raison. « C’est sûrement une élongation », avance son entraîneur Fabrice Vandeputte. Jessy Pi va devoir rester aux soins pendant quelques temps et devrait manquer, a minima, le déplacement à Toulouse samedi 8 mai 2021.
Par ailleurs, Johann Lepenant et Alexis Beka Beka, qui souffrent tous deux du Covid-19, passeront un nouveau test lundi 3 mai 2021. Il déterminera leur retour à l’entraînement. Pour rappel, Yacine Bammou, Yoël Armougom et désormais Hugo Vandermersch sont actuellement blessés.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Rupture du ligament croisé pour Hugo Vandermersch
Blessé au genou ce vendredi lors de l’ultime entraînement avant la réception d’Auxerre (0-0), Hugo Vandermersch, le latéral du Stade Malherbe Caen, souffre d’une rupture du ligament croisé. Il devrait être absent au moins six mois, soit jusqu’en novembre prochain.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 MjAyMTA1MjA5ZmMzZjVmOWM1ZDA0MTNlMjEwY2IxNGY5MTIwNjA?width=1260&focuspoint=50%2C50&cropresize=1&client_id=bpeditorial&sign=28a184b57901d70ae80449d8b1ef67defe6ff2bb4ebbf90cd79b12ab9e925702](https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/MjAyMTA1MjA5ZmMzZjVmOWM1ZDA0MTNlMjEwY2IxNGY5MTIwNjA?width=1260&focuspoint=50%2C50&cropresize=1&client_id=bpeditorial&sign=28a184b57901d70ae80449d8b1ef67defe6ff2bb4ebbf90cd79b12ab9e925702)
Hugo Vandermersch ne devrait pas revoir les terrains de Ligue 2 avant novembre prochain. | STÉPHANE GEUFROI
Le verdict est tombé pour Hugo Vandermersch. Le latéral de 21 ans, gravement blessé au genou ce vendredi à la veille de la réception d’Auxerre (0-0), souffre d’une rupture du ligament croisé.
C’est le joueur lui-même qui l’a annoncé sur ses réseaux sociaux. « Voilà le verdict est tombé, rupture du ligament croisé pour moi. Une épreuve de la vie que je vais devoir surmonter mais je suis déjà près à ça pour revenir encore plus fort pour mon club et les gens que j’aime ! », a-t-il écrit.
C’est évidemment un gros coup dur pour lui comme pour le SM Caen. Hugo Vandermersch était l’un des rares joueurs indéboulonnables dans le onze de départ (31 matches joués et 2 227 minutes de temps de jeu lors de cet exercice 2020-2021) dans cette saison galère qui voit le SM Caen pointer à la 18e place à deux journées de la fin.
Il devrait être absent pour six mois minimum, ce qui veut dire qu’il ne retrouverait pas les terrains avant novembre prochain.
En complément de cette annonce, Hugo Vandermersch a également tenu à remercier tous ceux qui le soutiennent : « J’ai la chance d’avoir des proches, des coéquipiers, des supporters et un club magnifique derrière moi qui me donne énormément de force ! Merci à tous pour vos messages depuis quelques jours qui me vont droit au cœur et qui m’ont aidé à me relever rapidement. »
Blessé au genou ce vendredi lors de l’ultime entraînement avant la réception d’Auxerre (0-0), Hugo Vandermersch, le latéral du Stade Malherbe Caen, souffre d’une rupture du ligament croisé. Il devrait être absent au moins six mois, soit jusqu’en novembre prochain.
Hugo Vandermersch ne devrait pas revoir les terrains de Ligue 2 avant novembre prochain. | STÉPHANE GEUFROI
Le verdict est tombé pour Hugo Vandermersch. Le latéral de 21 ans, gravement blessé au genou ce vendredi à la veille de la réception d’Auxerre (0-0), souffre d’une rupture du ligament croisé.
C’est le joueur lui-même qui l’a annoncé sur ses réseaux sociaux. « Voilà le verdict est tombé, rupture du ligament croisé pour moi. Une épreuve de la vie que je vais devoir surmonter mais je suis déjà près à ça pour revenir encore plus fort pour mon club et les gens que j’aime ! », a-t-il écrit.
C’est évidemment un gros coup dur pour lui comme pour le SM Caen. Hugo Vandermersch était l’un des rares joueurs indéboulonnables dans le onze de départ (31 matches joués et 2 227 minutes de temps de jeu lors de cet exercice 2020-2021) dans cette saison galère qui voit le SM Caen pointer à la 18e place à deux journées de la fin.
Il devrait être absent pour six mois minimum, ce qui veut dire qu’il ne retrouverait pas les terrains avant novembre prochain.
En complément de cette annonce, Hugo Vandermersch a également tenu à remercier tous ceux qui le soutiennent : « J’ai la chance d’avoir des proches, des coéquipiers, des supporters et un club magnifique derrière moi qui me donne énormément de force ! Merci à tous pour vos messages depuis quelques jours qui me vont droit au cœur et qui m’ont aidé à me relever rapidement. »
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Y a-t-il un problème Nicholas Gioacchini, dont le temps de jeu a fondu ?
Nicholas Gioacchini est resté en tribune lors de deux des trois derniers matchs de Caen. "C'est un choix", à chaque fois, justifié Fabrice Vandeputte.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Gioacchini](https://static.actu.fr/uploads/2021/04/gioacchini.jpg)
Nicholas Gioacchini n’a pas été retenu lors de deux des trois derniers matchs de Caen. (:copyright:AC / Sport à Caen)
Par Aline Chatel - Actu.fr
Publié le 4 Mai 21 à 22:02
Nicholas Gioacchini avait deux objectifs en début de saison : marquer un minimum de 15 buts et monter en Ligue 1. Neuf mois après les avoir exposés, l’attaquant du Stade Malherbe Caen est 18ème de Ligue 2 avec quatre réalisations à son actif. Pire, il n’a joué que trois des six derniers matchs de son équipe, pour une seule titularisation. Fabrice Vandeputte l’a même laissé deux fois en tribune lors des trois dernières journées.
Pour justifier cette décision, l’entraîneur caennais s’est contenté à chaque fois de cette petite phrase : « c’est un choix ». Un choix qui, de l’extérieur, peut surprendre. Certes, Nicholas Gioacchini réalise une saison moyenne, très éloignée de ses propres attentes. Mais n’est-ce pas le cas de tous les attaquants malherbistes ? À sa décharge, l’Américano-Italien n’a que rarement évolué à son poste de prédilection, en pointe. Bon an, mal an, il affichait malgré tout quatre buts et une passe décisive, sans oublier les généreux penaltys obtenus devant Grenoble et Le Havre, après 16 journées.
Depuis, son compteur est resté bloqué. Pascal Dupraz avait pourtant continué à lui accorder sa confiance. Alors que son temps de jeu s’était étiolé les semaines d’avant, marquées par un geste très dangereux sur le gardien de Chambly qui lui avait valu un carton rouge, l’ex-entraîneur caennais lui avait fait jouer quasiment l’intégralité de cinq de ses six derniers matchs. Après le limogeage de Pascal Dupraz, Nicholas Gioacchini avait été l’un des seuls à exprimer publiquement sa gratitude à son égard : « merci coach pour le respect, le soutien et l’opportunité que vous m’avez offert », pouvait-on lire en substance sur les réseaux sociaux.
À ce moment-là, « Niko » Gioacchini n’imaginait certainement pas être le grand perdant du changement d’entraîneur. Pourtant, alors que Fabrice Vandeputte l’avait titularisé dès qu’il avait pu à Grenoble, il l’a fait débuter sur le banc à Troyes et Sochaux au profit du néophyte Kévin Mbala. À domicile, c’est avec les joueurs non-retenus que le natif du Texas a regardé ses partenaires batailler devant Dunkerque et Auxerre. Est-ce la conséquence de quatre mois et demi de mutisme depuis son dernier but à Dunkerque le 18 décembre 2020 ? Ou de considérations relatives à des attitudes pas toujours au goût de tout le monde ?
Devenu international américain cette saison, Nicholas Gioacchini a changé de statut depuis son premier rassemblement. En novembre 2020, il avait fêté sa première titularisation par un doublé. Depuis, le jeune homme a été de nouveau convoqué à plusieurs reprises. Il a délivré une passe décisive contre la Jamaïque pour sa troisième cape, le 25 mars 2021. Nicholas Gioacchini avait ensuite été prié de revenir à Caen plutôt que d’aller en Irlande du Nord et de devoir se soumettre, à son retour, à une septaine. Le Stade Malherbe comptait manifestement beaucoup sur lui, alors même qu’il était suspendu le match d’après en Ligue 2.
Que s’est-il passé pour qu’il sorte ensuite du groupe, suivant une trajectoire inverse de celle qu’il mène en sélection ? Nicholas Gioacchini, qui ne cache pas ses ambitions de très haut niveau, espérait finir la saison en trombe dans la perspective du mercato estival. D’après Transfermarkt, le site référence dans ce domaine, la valeur marchande de l’attaquant de 20 ans est montée à 1,5 million d’euros.
Nicholas Gioacchini est resté en tribune lors de deux des trois derniers matchs de Caen. "C'est un choix", à chaque fois, justifié Fabrice Vandeputte.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Gioacchini](https://static.actu.fr/uploads/2021/04/gioacchini.jpg)
Nicholas Gioacchini n’a pas été retenu lors de deux des trois derniers matchs de Caen. (:copyright:AC / Sport à Caen)
Par Aline Chatel - Actu.fr
Publié le 4 Mai 21 à 22:02
Nicholas Gioacchini avait deux objectifs en début de saison : marquer un minimum de 15 buts et monter en Ligue 1. Neuf mois après les avoir exposés, l’attaquant du Stade Malherbe Caen est 18ème de Ligue 2 avec quatre réalisations à son actif. Pire, il n’a joué que trois des six derniers matchs de son équipe, pour une seule titularisation. Fabrice Vandeputte l’a même laissé deux fois en tribune lors des trois dernières journées.
Un simple « choix »
Pour justifier cette décision, l’entraîneur caennais s’est contenté à chaque fois de cette petite phrase : « c’est un choix ». Un choix qui, de l’extérieur, peut surprendre. Certes, Nicholas Gioacchini réalise une saison moyenne, très éloignée de ses propres attentes. Mais n’est-ce pas le cas de tous les attaquants malherbistes ? À sa décharge, l’Américano-Italien n’a que rarement évolué à son poste de prédilection, en pointe. Bon an, mal an, il affichait malgré tout quatre buts et une passe décisive, sans oublier les généreux penaltys obtenus devant Grenoble et Le Havre, après 16 journées.
Le grand perdant du changement de coach
Depuis, son compteur est resté bloqué. Pascal Dupraz avait pourtant continué à lui accorder sa confiance. Alors que son temps de jeu s’était étiolé les semaines d’avant, marquées par un geste très dangereux sur le gardien de Chambly qui lui avait valu un carton rouge, l’ex-entraîneur caennais lui avait fait jouer quasiment l’intégralité de cinq de ses six derniers matchs. Après le limogeage de Pascal Dupraz, Nicholas Gioacchini avait été l’un des seuls à exprimer publiquement sa gratitude à son égard : « merci coach pour le respect, le soutien et l’opportunité que vous m’avez offert », pouvait-on lire en substance sur les réseaux sociaux.
Pas de but en 2021
À ce moment-là, « Niko » Gioacchini n’imaginait certainement pas être le grand perdant du changement d’entraîneur. Pourtant, alors que Fabrice Vandeputte l’avait titularisé dès qu’il avait pu à Grenoble, il l’a fait débuter sur le banc à Troyes et Sochaux au profit du néophyte Kévin Mbala. À domicile, c’est avec les joueurs non-retenus que le natif du Texas a regardé ses partenaires batailler devant Dunkerque et Auxerre. Est-ce la conséquence de quatre mois et demi de mutisme depuis son dernier but à Dunkerque le 18 décembre 2020 ? Ou de considérations relatives à des attitudes pas toujours au goût de tout le monde ?
International, il a changé de statut cette saison
Devenu international américain cette saison, Nicholas Gioacchini a changé de statut depuis son premier rassemblement. En novembre 2020, il avait fêté sa première titularisation par un doublé. Depuis, le jeune homme a été de nouveau convoqué à plusieurs reprises. Il a délivré une passe décisive contre la Jamaïque pour sa troisième cape, le 25 mars 2021. Nicholas Gioacchini avait ensuite été prié de revenir à Caen plutôt que d’aller en Irlande du Nord et de devoir se soumettre, à son retour, à une septaine. Le Stade Malherbe comptait manifestement beaucoup sur lui, alors même qu’il était suspendu le match d’après en Ligue 2.
Une confiance en soi qui passe mal ?
Que s’est-il passé pour qu’il sorte ensuite du groupe, suivant une trajectoire inverse de celle qu’il mène en sélection ? Nicholas Gioacchini, qui ne cache pas ses ambitions de très haut niveau, espérait finir la saison en trombe dans la perspective du mercato estival. D’après Transfermarkt, le site référence dans ce domaine, la valeur marchande de l’attaquant de 20 ans est montée à 1,5 million d’euros.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Élus, actionnaires… Faire front dans la tempête
La situation sportive du SM Caen interpelle tout son environnement, y compris les élus de la ville, qui nouent une relation étroite avec la direction de Malherbe. Aristide Olivier, maire-adjoint chargé des sports, livre son regard sur des enjeux capitaux. Les actionnaires, qui de leur côté auraient déjà injecté une quinzaine de millions d’euros pour combler les dettes et l’absence de recettes du club, ont préparé l’avenir avec une perspective Ligue 2.
Le producteur de télé trouvillais Pierre-Antoine Capton, ici aux côtés du président Olivier Pickeu, est co-propriétaire du SM Caen avec le fonds d’investissement américain Oaktree. | STÉPHANE GEUFROI
Depuis la vente du SM Caen l’année dernière, le maire de Caen Joël Bruneau et son adjoint aux sports Aristide Olivier sont des interlocuteurs privilégiés et très réguliers du duo de co-propriétaires du club, composé du Trouvillais Pierre-Antoine Capton et du fonds d’investissement américain Oaktree, représenté par Vincent Catherine, un autre Normand. Les échanges, dixit les deux parties, sont « très fluides. »
Mais la situation sportive inquiète aussi les élus, forcément. « La ville a besoin de son club leader, et forcément, cela nous interpelle, dit Aristide Olivier. Malherbe est dans une situation compliquée mais pas désespérée, qui intervient dans un contexte intermédiaire de reconstruction du club. En ce sens, il est très important qu’il se maintienne, pour que le projet à plus long terme puisse se mettre en place. C’est le moment de se serrer les coudes, et je suis convaincu que le club parviendra à se sauver. »
Il en va de l’intérêt de tout un écosystème. « Tout le monde voit que c’est difficile depuis plusieurs années, reprend Aristide Olivier, mais personne ne s’attendait en début de saison à ce qu’on en arrive là. Je pense que le Stade Malherbe a besoin de reposer des fondations saines pour le futur, et celles-ci sont en train d’être travaillées. »
« Encore samedi dernier, j’ai vu au stade des actionnaires hyper investis »
Elles sont même bien avancées. Alors qu’un plan social, validé par la Direction du travail, va voir d’ici juin le départ d’une vingtaine de salariés en CDI, le secteur sportif doit également être restructuré, au niveau du staff pro (l’entraîneur d’Angers Stéphane Moulin est pressenti) comme du centre de formation. Le tout dans une perspective Ligue 2, alors que la situation économique de l’ensemble des clubs de foot pros est extrêmement difficile, avec le Covid et le fiasco Mediapro...
L’exemple de Bordeaux, qui vient d’être lâché par le fonds d’investissement américain King Street, inquiète-t-il les élus ? « Encore samedi dernier au stade d’Ornano, j’ai vu des actionnaires hyper investis, avec l’envie de maintenir le cap sur un projet ambitieux à moyen terme, répond Aristide Olivier. Je n’ai pas du tout le sentiment que le projet avec lequel ils sont arrivés ne sera pas encore celui de demain. » La présence de Pierre-Antoine Capton, qui détient 20 % des parts du club avec priorité de rachat sur les 80 % restantes, demeure aussi une caution solide.
La difficulté, pour ces actionnaires, est qu’ils n’ont fait jusqu’ici qu’éponger les dettes et compenser l’absence de recettes. Ils auraient déjà injecté, selon nos informations, près de 15 millions d’euros. Soit presque la totalité de l’investissement prévu au départ, qui devait se lisser sur deux ou trois ans.
En juin, la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) regardera en priorité les garanties financières qu’offriront les propriétaires de clubs, et à Caen ceux d’aujourd’hui ont les reins solides. Mais avant de faire les comptes, il faut accomplir le boulot sur le terrain.
La situation sportive du SM Caen interpelle tout son environnement, y compris les élus de la ville, qui nouent une relation étroite avec la direction de Malherbe. Aristide Olivier, maire-adjoint chargé des sports, livre son regard sur des enjeux capitaux. Les actionnaires, qui de leur côté auraient déjà injecté une quinzaine de millions d’euros pour combler les dettes et l’absence de recettes du club, ont préparé l’avenir avec une perspective Ligue 2.
Depuis la vente du SM Caen l’année dernière, le maire de Caen Joël Bruneau et son adjoint aux sports Aristide Olivier sont des interlocuteurs privilégiés et très réguliers du duo de co-propriétaires du club, composé du Trouvillais Pierre-Antoine Capton et du fonds d’investissement américain Oaktree, représenté par Vincent Catherine, un autre Normand. Les échanges, dixit les deux parties, sont « très fluides. »
Mais la situation sportive inquiète aussi les élus, forcément. « La ville a besoin de son club leader, et forcément, cela nous interpelle, dit Aristide Olivier. Malherbe est dans une situation compliquée mais pas désespérée, qui intervient dans un contexte intermédiaire de reconstruction du club. En ce sens, il est très important qu’il se maintienne, pour que le projet à plus long terme puisse se mettre en place. C’est le moment de se serrer les coudes, et je suis convaincu que le club parviendra à se sauver. »
Il en va de l’intérêt de tout un écosystème. « Tout le monde voit que c’est difficile depuis plusieurs années, reprend Aristide Olivier, mais personne ne s’attendait en début de saison à ce qu’on en arrive là. Je pense que le Stade Malherbe a besoin de reposer des fondations saines pour le futur, et celles-ci sont en train d’être travaillées. »
« Encore samedi dernier, j’ai vu au stade des actionnaires hyper investis »
Elles sont même bien avancées. Alors qu’un plan social, validé par la Direction du travail, va voir d’ici juin le départ d’une vingtaine de salariés en CDI, le secteur sportif doit également être restructuré, au niveau du staff pro (l’entraîneur d’Angers Stéphane Moulin est pressenti) comme du centre de formation. Le tout dans une perspective Ligue 2, alors que la situation économique de l’ensemble des clubs de foot pros est extrêmement difficile, avec le Covid et le fiasco Mediapro...
L’exemple de Bordeaux, qui vient d’être lâché par le fonds d’investissement américain King Street, inquiète-t-il les élus ? « Encore samedi dernier au stade d’Ornano, j’ai vu des actionnaires hyper investis, avec l’envie de maintenir le cap sur un projet ambitieux à moyen terme, répond Aristide Olivier. Je n’ai pas du tout le sentiment que le projet avec lequel ils sont arrivés ne sera pas encore celui de demain. » La présence de Pierre-Antoine Capton, qui détient 20 % des parts du club avec priorité de rachat sur les 80 % restantes, demeure aussi une caution solide.
La difficulté, pour ces actionnaires, est qu’ils n’ont fait jusqu’ici qu’éponger les dettes et compenser l’absence de recettes. Ils auraient déjà injecté, selon nos informations, près de 15 millions d’euros. Soit presque la totalité de l’investissement prévu au départ, qui devait se lisser sur deux ou trois ans.
En juin, la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) regardera en priorité les garanties financières qu’offriront les propriétaires de clubs, et à Caen ceux d’aujourd’hui ont les reins solides. Mais avant de faire les comptes, il faut accomplir le boulot sur le terrain.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Ligue 2. Caen à 57 % en barrages ?
Une étude menée par Opta pour la Ligue de football professionnel révèle que Caen a 57 % de chances de disputer les barrages de maintien.
Par Aline Chatel - Actu.frPublié le 8 Mai 21 à 15:51
Les Caennais de Yoann Court ont encore une infime chance de terminer… douzièmes ! (:copyright:AC / Sport à Caen)
À quelle place le Stade Malherbe Caen terminera-t-il la saison ? Seul le terrain le dira, après les deux dernières journées de Ligue 2, mais la Ligue de football professionnel a publié une étude prédictive à ce sujet. Opta, le spécialiste des statistiques dans le football, a fait ses calculs. Au regard des points déjà distribués et de ceux qui restent en jeu, Caen a théoriquement 57 % de chances de terminer à la 18ème place. C’est celle qu’il occupe actuellement. Les Caennais seraient alors contraints de disputer les barrages de relégation.
Néanmoins, tout espoir n’est pas perdu puisqu’ils ont aussi 34,5 % de chances de terminer au-dessus de cette 18ème place. Caen pourrait même, selon un invraisemblable concours de circonstances (0,2 % de chance !), finir… 12ème ! Quant à la relégation directe, elle menace à 8,3 %, contre 90,5 % côté Chambly.
Une étude menée par Opta pour la Ligue de football professionnel révèle que Caen a 57 % de chances de disputer les barrages de maintien.
Par Aline Chatel - Actu.frPublié le 8 Mai 21 à 15:51
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Court](https://static.actu.fr/uploads/2021/05/court.jpg)
À quelle place le Stade Malherbe Caen terminera-t-il la saison ? Seul le terrain le dira, après les deux dernières journées de Ligue 2, mais la Ligue de football professionnel a publié une étude prédictive à ce sujet. Opta, le spécialiste des statistiques dans le football, a fait ses calculs. Au regard des points déjà distribués et de ceux qui restent en jeu, Caen a théoriquement 57 % de chances de terminer à la 18ème place. C’est celle qu’il occupe actuellement. Les Caennais seraient alors contraints de disputer les barrages de relégation.
Néanmoins, tout espoir n’est pas perdu puisqu’ils ont aussi 34,5 % de chances de terminer au-dessus de cette 18ème place. Caen pourrait même, selon un invraisemblable concours de circonstances (0,2 % de chance !), finir… 12ème ! Quant à la relégation directe, elle menace à 8,3 %, contre 90,5 % côté Chambly.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Et un penalty de raté pour Malherbe 











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Re: [2020/2021]Revue de presse
Et on finira à 10 avec 2/0













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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Le gouffre s'ouvre sous les pieds caennais
Le scénario catastrophe se dessine encore un peu plus clairement pour le SM Caen après sa défaite contre Toulouse, samedi 8 mai 2021 (3-0).
Par Aline Chatel - Actu.fr
Publié le 9 Mai 21 à 0:37
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Weber-rivierez-oniangue-jeannot](https://static.actu.fr/uploads/2021/05/weber-rivierez-oniangue-jeannot.jpg)
Le Stade Malherbe n’a peut-être plus qu’un match à disputer en Ligue 2…
Si Chambly réalise un meilleur résultat que Caen lors de la dernière journée de Ligue 2, samedi 15 mai 2021, le Stade Malherbe sera relégué en National. On peine à y croire et c’est pourtant aussi limpide que cela.
Les Malherbistes ont de nouveau perdu gros, samedi 8 mai 2021, en s’inclinant lourdement à Toulouse (3-0). « On pensait bien faire tourner le destin en notre faveur. Malheureusement, on n’a pas encore ce petit brin de chance », regrette leur entraîneur Fabrice Vandeputte.
Une attaque toujours en berne
Un brin de chance ? Il faudrait certainement plus pour que Caen rompe sa spirale négative, lui qui a gagné seulement deux de ses 26 derniers matchs. Pendant une demi-heure, pourtant, on a pensé que les Normands étaient franchement mal payés. Leur entame de match méritait un meilleur sort, autour d’un Jeannot encore très actif.
Il a fallu un Dupé très inspiré pour que Toulouse ne prenne pas l’eau en première période. Caen a marqué trois buts sur ses sept derniers matchs. « Ça ressemble un peu à nos dernières sorties, estime Anthony Weber. On arrive à se procurer des occasions mais on n’arrive pas à les concrétiser. On est toujours à la merci de l’adversaire. »
De fait, Toulouse a fait basculer le match en marquant à la demi-heure de jeu après un grand pont d’Adli sur Rivierez et une conclusion de Dejaegere (1-0, 30′). Caen a pris un coup sur la tête mais aurait pu remettre les compteurs à égalité sur un penalty de Court dès la reprise du jeu en deuxième mi-temps.
Hélas, le gaucher a confirmé son long passage à vide du moment en trouvant le poteau. Derrière, Caen a essayé jusqu’à l’heure de jeu puis s’est totalement effondré.
Steeve Yago, qui se félicitait d’avoir trouvé un second souffle la veille en conférence de presse, s’est fait expulser après quelques mots doux à destination de l’arbitre. Et sur le coup-franc qu’il avait concédé, un improbable oubli défensif a permis à Bayo de crucifier Péan (2-0, 66′).
« Il y a eu des comportements qui peuvent s’expliquer par notre situation. Ils ne sont pas excusables, bien sûr, mais on peut le comprendre », juge Fabrice Vandeputte.
L’entraîneur malherbiste reste fidèle à son registre de protecteur quand le joueur en question a précipité la chute des siens de manière intolérable.
Le discours est résolument positif. « J’ai vu des joueurs qui se sont battus. En première mi-temps, on a poussé Toulouse dans ses derniers retranchements. Après, c’est l’enchaînement des buts qui est problématique, et surtout le fait de se retrouver à dix. » La Palisse n’a qu’à bien se tenir.
Difficile, pourtant, de trouver une branche à laquelle se rattacher. Les présumés cadres de cette équipe sont les premiers à la précipiter vers le fond.
Quand ce n’est pas Anthony Weber qui fait couler son équipe, c’est Jonathan Rivierez, totalement dépassé par les événements à Toulouse.
Devant, Alexandre Mendy erre tel un fantôme alors que Yoann Court n’a rien à voir avec le joueur qu’il était la saison dernière.
Dans ce contexte, les choix de Fabrice Vandeputte ont de quoi interpeller. Comment, par exemple, justifier l’entrée en jeu de Kévin Mbala, si loin du niveau requis en Ligue 2, quand Nicholas Gioacchini n’apparaît plus sur les feuilles de match ?
Extrêmement fragilisés sur le plan mental, les Malherbistes arrivent « au bout du bout » du championnat, pour reprendre l’expression de leur coach, au moment de préparer la réception de Clermont. « Il n’y a plus d’échappatoire, ce sera notre finale. »
Si Caen parvient à créer la surprise en dominant cette équipe qui devra probablement prendre les trois points pour assurer sa montée en Ligue 1, il y aura soit les barrages au bout, soit le maintien. Et ce serait clairement inespéré au regard de cette saison de la honte.
Le scénario catastrophe se dessine encore un peu plus clairement pour le SM Caen après sa défaite contre Toulouse, samedi 8 mai 2021 (3-0).
Par Aline Chatel - Actu.fr
Publié le 9 Mai 21 à 0:37
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Weber-rivierez-oniangue-jeannot](https://static.actu.fr/uploads/2021/05/weber-rivierez-oniangue-jeannot.jpg)
Le Stade Malherbe n’a peut-être plus qu’un match à disputer en Ligue 2…
Si Chambly réalise un meilleur résultat que Caen lors de la dernière journée de Ligue 2, samedi 15 mai 2021, le Stade Malherbe sera relégué en National. On peine à y croire et c’est pourtant aussi limpide que cela.
Les Malherbistes ont de nouveau perdu gros, samedi 8 mai 2021, en s’inclinant lourdement à Toulouse (3-0). « On pensait bien faire tourner le destin en notre faveur. Malheureusement, on n’a pas encore ce petit brin de chance », regrette leur entraîneur Fabrice Vandeputte.
Une attaque toujours en berne
Un brin de chance ? Il faudrait certainement plus pour que Caen rompe sa spirale négative, lui qui a gagné seulement deux de ses 26 derniers matchs. Pendant une demi-heure, pourtant, on a pensé que les Normands étaient franchement mal payés. Leur entame de match méritait un meilleur sort, autour d’un Jeannot encore très actif.
Il a fallu un Dupé très inspiré pour que Toulouse ne prenne pas l’eau en première période. Caen a marqué trois buts sur ses sept derniers matchs. « Ça ressemble un peu à nos dernières sorties, estime Anthony Weber. On arrive à se procurer des occasions mais on n’arrive pas à les concrétiser. On est toujours à la merci de l’adversaire. »
Des erreurs impardonnables
De fait, Toulouse a fait basculer le match en marquant à la demi-heure de jeu après un grand pont d’Adli sur Rivierez et une conclusion de Dejaegere (1-0, 30′). Caen a pris un coup sur la tête mais aurait pu remettre les compteurs à égalité sur un penalty de Court dès la reprise du jeu en deuxième mi-temps.
Hélas, le gaucher a confirmé son long passage à vide du moment en trouvant le poteau. Derrière, Caen a essayé jusqu’à l’heure de jeu puis s’est totalement effondré.
Steeve Yago, qui se félicitait d’avoir trouvé un second souffle la veille en conférence de presse, s’est fait expulser après quelques mots doux à destination de l’arbitre. Et sur le coup-franc qu’il avait concédé, un improbable oubli défensif a permis à Bayo de crucifier Péan (2-0, 66′).
Un discours toujours aussi positif
« Il y a eu des comportements qui peuvent s’expliquer par notre situation. Ils ne sont pas excusables, bien sûr, mais on peut le comprendre », juge Fabrice Vandeputte.
L’entraîneur malherbiste reste fidèle à son registre de protecteur quand le joueur en question a précipité la chute des siens de manière intolérable.
Le discours est résolument positif. « J’ai vu des joueurs qui se sont battus. En première mi-temps, on a poussé Toulouse dans ses derniers retranchements. Après, c’est l’enchaînement des buts qui est problématique, et surtout le fait de se retrouver à dix. » La Palisse n’a qu’à bien se tenir.
Des choix qui interpellent
Difficile, pourtant, de trouver une branche à laquelle se rattacher. Les présumés cadres de cette équipe sont les premiers à la précipiter vers le fond.
Quand ce n’est pas Anthony Weber qui fait couler son équipe, c’est Jonathan Rivierez, totalement dépassé par les événements à Toulouse.
Devant, Alexandre Mendy erre tel un fantôme alors que Yoann Court n’a rien à voir avec le joueur qu’il était la saison dernière.
Dans ce contexte, les choix de Fabrice Vandeputte ont de quoi interpeller. Comment, par exemple, justifier l’entrée en jeu de Kévin Mbala, si loin du niveau requis en Ligue 2, quand Nicholas Gioacchini n’apparaît plus sur les feuilles de match ?
Au bout du bout (et du rouleau)
Extrêmement fragilisés sur le plan mental, les Malherbistes arrivent « au bout du bout » du championnat, pour reprendre l’expression de leur coach, au moment de préparer la réception de Clermont. « Il n’y a plus d’échappatoire, ce sera notre finale. »
Si Caen parvient à créer la surprise en dominant cette équipe qui devra probablement prendre les trois points pour assurer sa montée en Ligue 1, il y aura soit les barrages au bout, soit le maintien. Et ce serait clairement inespéré au regard de cette saison de la honte.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Stade Malherbe Caen: le prix d'une descente en National la saison prochaine
Il y a l'orgueil des supporters, la fierté d'un club mais aussi la très dure réalité financière. Une descente en troisième division pour la saison 2021/2022 pourrait plonger le Stade Malherbe Caen dans de grosses difficultés, celles d'un club qui dévisse.
Alexandra Huctin - France 3 Normandie
Publié le 10/05/2021 à 18h44 • Mis à jour le 10/05/2021 à 19h13
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 609950e9aff5e_ballon_national-5310666](https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/oBQGigArg0NvbglIjxQXOGywr5k/600x400/regions/2021/05/10/609950e9aff5e_ballon_national-5310666.jpg)
Le Stade Malherbe Caen est face à son destin. Certes on le répète depuis des semaines, depuis la cascade de défaites. Mais cette fois, les caennais sont sportivement au bout et désormais tout se jouera samedi prochain contre Clermont.
S'il y a relégation, la terre va trembler sous le Stade d'Ornano. La déception sportive devra alors très vite laisser place au réalisme. Pour ne pas attendre la chute sans anticiper, essayons de comprendre l'enjeu : il est immense pour un club qui n'a pas quitté la sphère professionnelle depuis deux générations et qui est une réelle locomotive pour tout le football amateur régional.
Descendre en National, c'est retourner flirter de très près avec le monde amateur. Cette division un peu bâtarde mélange une poignée de clubs pro ou anciens pro (on y croise Orléans, Laval qui vient de perdre son statut pro ou Le Mans FC qui a tout connu, la gloire comme les déboires) noyée dans le monde amateur qui n'a jamais accédé à ce rêve la Ligue 2 et encore moins... la Ligue 1.
Ainsi, le Stade Malherbe Caen pourrait affronter directement l'US Avranches. "Un derby qui nous plaît bien mais qu'on préfère voir en coupe de France", assure Gilbert Guérin, l'emblématique Président de l'US Avranches.
Il y a malheureusement une malédiction, une dynamique pénalisante, pour les clubs de Ligue1 qui descendent en Ligue2 puis rapidement en National. Ils finissent souvent en National 2 .
Des exemples de clubs qui dévissent après une "grosse claque mentale", il y en a pas mal. Citons le Gazélec d'Ajaccio, Guinguamp. De grands clubs peuvent descendre sans relégation administrative. "C’est souvent dans le sportif qu'à un moment ça ne le fait plus ", soupire un observateur du football normand devant la descente aux enfers du Stade Malherbe Caen depuis trois ans.
De nombreux exemples montrent qu’une descente en N1 peut être fatale pour un club. Le Mans FC est dans tous les esprits, revenu en Ligue 2 en 2019 après 6 ans d’absence et un passage en division d’honneur (DH), championnat régional amateur. Cette année encore il se bat pour une montée en Ligue2.
Une descente au troisième échelon, c'est une claque également financière. Niveau recette, il faut s'habituer à faire avec beaucoup moins et tout le monde sait que le Stade Malherbe Caen vivait déjà au-dessus de ses moyens en Ligue 2.
Le président Pickeu à son arrivée l'avait lui-même déclaré aux médias.
La descente sera encore plus rude en National. Lui qui a restructuré le club, ces derniers mois, avec un plan de Sauvegarde de l'Emploi qui condamne déjà 20 postes dans l'administratif et la formation a t-il vu aussi loin qu'une descente en National? Ou faut-il craindre encore quelques conséquences supplémentaires.
Car, tout d'abord, fini ou presque les droits télé qui sont réduits à peau de chagrin. Canal Plus diffuse un ou deux match dans l'année, pas plus. Généralement pour des multiplexes de fin de saison plus fédérateurs.
Ainsi, la LFP attribue une aide annuelle aux clubs de National 1 qui n'a plus rien à voir avec les millions d'euros annoncé en Ligue 2 ou Ligue 1.
Cette aide, elle sera, par exemple, de 700 000 euros cette année pour le Stade Malherbe de Caen s'il descend en National, 350 000 les années suivantes. Le surplus de la première année permet d'absorber le choc. Le reste doit venir des fonds propres et des recettes possibles.
Oui mais quelles recettes ? La billetterie, tout d'abord, n'est pas d'une grande promesse : les affiches proposées dans cette troisième division sont moins alléchantes et entraînent naturellement moins de spectateurs.
Par ailleurs, depuis un an et demi, dans le contexte sanitaire, les supporters se sont éloignés des stades. Pas certain que tous reviennent pour un abonnement après une saison décevante.
On sait toutefois que le Stade Malherbe Caen peut compter sur un kop (club de supporters) fidèle qui parviendra peut-être à limiter les dégâts.
Le sponsoring maillot devient plus difficile à décrocher.
Les partenaires risquent fort de tourner les talons : certaines entreprises déjà affectées par la Covid-19 n'auront peut-être même plus les épaules, d'autres renégocieront largement leur participation vu le manque d'exposition. En effet, les matches ne sont plus filmés pour les grandes chaînes de télévision.
Ils sont en revanche visibles en streaming et replay, sur la télé web de la Fédération Française de Football.
Naturellement le club comptera plus encore sur le soutien des collectivités, mais elles aussi, dans le contexte du Covid, sont déjà fortement sollicitées. Pas évident d'imaginer que le football soit prioritaire. Alors que de forts enjeux économiques et sociaux les attendent.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 5edf8d4dad2d4_borelli-4397933](https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/gsnq9q3hHX-015Qfwc5Fe_RquuA/600x251/regions/2020/06/09/5edf8d4dad2d4_borelli-4397933.jpg)
Le merchandising sera moins évident, il se conjugue avec la déception des supporters. Et il n'y a plus vraiment de joueurs "vedettes"qui entraînent une vente de maillots. Il va falloir être inventif pour surprendre le public et le lot de fidèles supporters.
Le SMC le clame et haut fort : la qualité de son centre de formation est indéniablement sa grande force. En effet, celui-ci a atteint la septième place du classement français (sur trente), l'été dernier.
Seulement les jeunes qui ont une certaine côte pourront-ils rester si leur club évolue en National? Actuellement, des contrats pros sont proposés à ceux qui en n'avaient pas comme le gardien Sullivan Péan (21 ans) ou l'international français de 17 ans, Brahim Traoré.
Si le premier promet de rester, peut-on imaginer que le jeune prodige soit dans la même situation? Celui-ci est en train de signer son premier contrat professionnel pour permettre à son club de récupérer de l'argent sur un futur transfert. C'est du donnant-donnant.
"On sait très bien que tous les jeunes qui ont un peu de valeur seront vendus dans l'hiver selon le début de saison en National. Des deux côtés, les arguments s'entendent", poursuit un témoin éclairé du milieu. "Et cette perte des jeunes espoirs, c'est dommageable pour la suite."
Dans l'hypothèse d'une descente, le club conserve un statut pro mais limité à deux ans. En cas de non remontée directe, la fuite des jeunes est inévitable. Mieux vaut donc les vendre avant car ces derniers, en fin de saison, seront libres.
Dans cet échelon, le National, où se côtoient amateurs et professionnels, les budgets sont de tous les niveaux. Mais le Stade Malherbe Caen pourrait tabler autour de 5 millions d'euros pour être à la hauteur d'un club qui veut remonter :
Problème, une fois les 700 000 euros de la LFP versés, il faudra trouver un peu plus de quatre millions.
Le SMC peut-il compter sur ses fonds propres? Selon, nos sources, les caisses sont déjà vides. Le fond de pension américain qui détient 80% des parts et Pierre-Antoine Capton (20%) avaient prévu d'investir 15 à 20 millions d'euros en 3 ans.
Mais, tout serait déjà dépensé. Il a fallu payer les dettes à leur arrivée pour que la DNCG ne sanctionne pas le club.
15 millions d'euros déjà dépensés? En effet, après avoir acheté le club un peu plus de 2 millions d'euros, il a fallu payer les émoluments aux 4 entraîneurs passés en deux ans dont une pige exhorbitante lâchée à Rolland Courbis pour quelques mois de "conseils auprès de l'entraîneur", un directeur sportif de Ligue1 parti avant l'heure en CDI et un directeur général de renom licencié alors qu'il était, lui aussi, depuis longtemps, en CDI.
Reste aussi le transfert de Yacine Bammou estimé à 3 millions d'euros et son salaire, le plus gros du club. Il lui reste deux ans de contrat. Va-t-il les honorer en National ? Ce serait un grand luxe pour le Stade Malherbe.
Ainsi les transferts de joueurs cet été vont être déterminants pour l'avenir financier du club. Mais là aussi, le Stade Malherbe va pâtir du contexte : tous traversent une crise financière après le fiasco Médiapro et le manque de biletterie. Ils risquent donc d'être avares et peu demandeurs. Les départs vont pourtant être au centre des plans d'avenir.
Et tout cela sans compter la perspective d'une refonte totale des échelons en 2022/2023 qui certes fera peut-être évoluer le National vers un statut pro de Ligue 3 mais qui rendra encore plus difficile le retour vers la Ligue 2 et la Ligue 1, avec des niveaux réduits à 18 clubs, au-lieu de 20.
L'ultime question, concerne les actionnaires américains venus à Caen pour réaliser des affaires en Ligue 1. S'ils se retiraient, l'hypothèse d'un dépôt de bilan pourrait se rapprocher. Un scénario catastrophe qui ne laisse aucun choix : samedi contre Clermont, il faut gagner.
Il y a l'orgueil des supporters, la fierté d'un club mais aussi la très dure réalité financière. Une descente en troisième division pour la saison 2021/2022 pourrait plonger le Stade Malherbe Caen dans de grosses difficultés, celles d'un club qui dévisse.
Alexandra Huctin - France 3 Normandie
Publié le 10/05/2021 à 18h44 • Mis à jour le 10/05/2021 à 19h13
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 609950e9aff5e_ballon_national-5310666](https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/oBQGigArg0NvbglIjxQXOGywr5k/600x400/regions/2021/05/10/609950e9aff5e_ballon_national-5310666.jpg)
Ballon du championnat de National saison 2020/2021 • :copyright: Nicolas Claech/Maxppp
Le Stade Malherbe Caen est face à son destin. Certes on le répète depuis des semaines, depuis la cascade de défaites. Mais cette fois, les caennais sont sportivement au bout et désormais tout se jouera samedi prochain contre Clermont.
S'il y a relégation, la terre va trembler sous le Stade d'Ornano. La déception sportive devra alors très vite laisser place au réalisme. Pour ne pas attendre la chute sans anticiper, essayons de comprendre l'enjeu : il est immense pour un club qui n'a pas quitté la sphère professionnelle depuis deux générations et qui est une réelle locomotive pour tout le football amateur régional.
La claque "mentale" d'une descente en National
Descendre en National, c'est retourner flirter de très près avec le monde amateur. Cette division un peu bâtarde mélange une poignée de clubs pro ou anciens pro (on y croise Orléans, Laval qui vient de perdre son statut pro ou Le Mans FC qui a tout connu, la gloire comme les déboires) noyée dans le monde amateur qui n'a jamais accédé à ce rêve la Ligue 2 et encore moins... la Ligue 1.
Ainsi, le Stade Malherbe Caen pourrait affronter directement l'US Avranches. "Un derby qui nous plaît bien mais qu'on préfère voir en coupe de France", assure Gilbert Guérin, l'emblématique Président de l'US Avranches.
Il y a malheureusement une malédiction, une dynamique pénalisante, pour les clubs de Ligue1 qui descendent en Ligue2 puis rapidement en National. Ils finissent souvent en National 2 .
Des exemples de clubs qui dévissent après une "grosse claque mentale", il y en a pas mal. Citons le Gazélec d'Ajaccio, Guinguamp. De grands clubs peuvent descendre sans relégation administrative. "C’est souvent dans le sportif qu'à un moment ça ne le fait plus ", soupire un observateur du football normand devant la descente aux enfers du Stade Malherbe Caen depuis trois ans.
De nombreux exemples montrent qu’une descente en N1 peut être fatale pour un club. Le Mans FC est dans tous les esprits, revenu en Ligue 2 en 2019 après 6 ans d’absence et un passage en division d’honneur (DH), championnat régional amateur. Cette année encore il se bat pour une montée en Ligue2.
Moins de recettes, c'est inévitable
Une descente au troisième échelon, c'est une claque également financière. Niveau recette, il faut s'habituer à faire avec beaucoup moins et tout le monde sait que le Stade Malherbe Caen vivait déjà au-dessus de ses moyens en Ligue 2.
Le président Pickeu à son arrivée l'avait lui-même déclaré aux médias.
La descente sera encore plus rude en National. Lui qui a restructuré le club, ces derniers mois, avec un plan de Sauvegarde de l'Emploi qui condamne déjà 20 postes dans l'administratif et la formation a t-il vu aussi loin qu'une descente en National? Ou faut-il craindre encore quelques conséquences supplémentaires.
Car, tout d'abord, fini ou presque les droits télé qui sont réduits à peau de chagrin. Canal Plus diffuse un ou deux match dans l'année, pas plus. Généralement pour des multiplexes de fin de saison plus fédérateurs.
Ainsi, la LFP attribue une aide annuelle aux clubs de National 1 qui n'a plus rien à voir avec les millions d'euros annoncé en Ligue 2 ou Ligue 1.
Cette aide, elle sera, par exemple, de 700 000 euros cette année pour le Stade Malherbe de Caen s'il descend en National, 350 000 les années suivantes. Le surplus de la première année permet d'absorber le choc. Le reste doit venir des fonds propres et des recettes possibles.
Billetterie et sponsors s'effritent
Oui mais quelles recettes ? La billetterie, tout d'abord, n'est pas d'une grande promesse : les affiches proposées dans cette troisième division sont moins alléchantes et entraînent naturellement moins de spectateurs.
Par ailleurs, depuis un an et demi, dans le contexte sanitaire, les supporters se sont éloignés des stades. Pas certain que tous reviennent pour un abonnement après une saison décevante.
On sait toutefois que le Stade Malherbe Caen peut compter sur un kop (club de supporters) fidèle qui parviendra peut-être à limiter les dégâts.
Le sponsoring maillot devient plus difficile à décrocher.
Les partenaires risquent fort de tourner les talons : certaines entreprises déjà affectées par la Covid-19 n'auront peut-être même plus les épaules, d'autres renégocieront largement leur participation vu le manque d'exposition. En effet, les matches ne sont plus filmés pour les grandes chaînes de télévision.
Ils sont en revanche visibles en streaming et replay, sur la télé web de la Fédération Française de Football.
Naturellement le club comptera plus encore sur le soutien des collectivités, mais elles aussi, dans le contexte du Covid, sont déjà fortement sollicitées. Pas évident d'imaginer que le football soit prioritaire. Alors que de forts enjeux économiques et sociaux les attendent.
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 5edf8d4dad2d4_borelli-4397933](https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/gsnq9q3hHX-015Qfwc5Fe_RquuA/600x251/regions/2020/06/09/5edf8d4dad2d4_borelli-4397933.jpg)
Tribune Borelli, celle des supporters caennais. • :copyright: PHOTOPQR/OUEST FRANCE/Marc OLLIVIER
Le merchandising sera moins évident, il se conjugue avec la déception des supporters. Et il n'y a plus vraiment de joueurs "vedettes"qui entraînent une vente de maillots. Il va falloir être inventif pour surprendre le public et le lot de fidèles supporters.
La perte de ses jeunes pépites
Le SMC le clame et haut fort : la qualité de son centre de formation est indéniablement sa grande force. En effet, celui-ci a atteint la septième place du classement français (sur trente), l'été dernier.
Seulement les jeunes qui ont une certaine côte pourront-ils rester si leur club évolue en National? Actuellement, des contrats pros sont proposés à ceux qui en n'avaient pas comme le gardien Sullivan Péan (21 ans) ou l'international français de 17 ans, Brahim Traoré.
Si le premier promet de rester, peut-on imaginer que le jeune prodige soit dans la même situation? Celui-ci est en train de signer son premier contrat professionnel pour permettre à son club de récupérer de l'argent sur un futur transfert. C'est du donnant-donnant.
"On sait très bien que tous les jeunes qui ont un peu de valeur seront vendus dans l'hiver selon le début de saison en National. Des deux côtés, les arguments s'entendent", poursuit un témoin éclairé du milieu. "Et cette perte des jeunes espoirs, c'est dommageable pour la suite."
Dans l'hypothèse d'une descente, le club conserve un statut pro mais limité à deux ans. En cas de non remontée directe, la fuite des jeunes est inévitable. Mieux vaut donc les vendre avant car ces derniers, en fin de saison, seront libres.
L'apport des actionnaires déjà englouti
Dans cet échelon, le National, où se côtoient amateurs et professionnels, les budgets sont de tous les niveaux. Mais le Stade Malherbe Caen pourrait tabler autour de 5 millions d'euros pour être à la hauteur d'un club qui veut remonter :
Problème, une fois les 700 000 euros de la LFP versés, il faudra trouver un peu plus de quatre millions.
Le SMC peut-il compter sur ses fonds propres? Selon, nos sources, les caisses sont déjà vides. Le fond de pension américain qui détient 80% des parts et Pierre-Antoine Capton (20%) avaient prévu d'investir 15 à 20 millions d'euros en 3 ans.
Mais, tout serait déjà dépensé. Il a fallu payer les dettes à leur arrivée pour que la DNCG ne sanctionne pas le club.
15 millions d'euros déjà dépensés? En effet, après avoir acheté le club un peu plus de 2 millions d'euros, il a fallu payer les émoluments aux 4 entraîneurs passés en deux ans dont une pige exhorbitante lâchée à Rolland Courbis pour quelques mois de "conseils auprès de l'entraîneur", un directeur sportif de Ligue1 parti avant l'heure en CDI et un directeur général de renom licencié alors qu'il était, lui aussi, depuis longtemps, en CDI.
Reste aussi le transfert de Yacine Bammou estimé à 3 millions d'euros et son salaire, le plus gros du club. Il lui reste deux ans de contrat. Va-t-il les honorer en National ? Ce serait un grand luxe pour le Stade Malherbe.
Ainsi les transferts de joueurs cet été vont être déterminants pour l'avenir financier du club. Mais là aussi, le Stade Malherbe va pâtir du contexte : tous traversent une crise financière après le fiasco Médiapro et le manque de biletterie. Ils risquent donc d'être avares et peu demandeurs. Les départs vont pourtant être au centre des plans d'avenir.
Et tout cela sans compter la perspective d'une refonte totale des échelons en 2022/2023 qui certes fera peut-être évoluer le National vers un statut pro de Ligue 3 mais qui rendra encore plus difficile le retour vers la Ligue 2 et la Ligue 1, avec des niveaux réduits à 18 clubs, au-lieu de 20.
L'ultime question, concerne les actionnaires américains venus à Caen pour réaliser des affaires en Ligue 1. S'ils se retiraient, l'hypothèse d'un dépôt de bilan pourrait se rapprocher. Un scénario catastrophe qui ne laisse aucun choix : samedi contre Clermont, il faut gagner.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Patrice Garande : "Beaucoup de sympathie et de colère pour ce club"
Alors qu'il ne s'était pas étendu sur la situation du Stade Malherbe Caen avant la rencontre face à Toulouse, Patrice Garande a livré ses sentiments après son succès 3-0.
Par Aline Chatel - Actu.fr
Publié le 9 Mai 21 à 10:44
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Garande](https://static.actu.fr/uploads/2017/04/Garande.JPG)
L’ex-entraîneur du Stade Malherbe Caen espère le maintien du club en Ligue 2.
« C’est un club qui suscite chez moi beaucoup de sympathie et, compte tenu de ce qui est arrivé, beaucoup de colère. » Patrice Garande a livré le fond de sa pensée, samedi 8 mai 2021, à l’égard du Stade Malherbe Caen. Le technicien qui avait fait remonter Caen en Ligue 1 puis l’avait maintenu pendant cinq saisons, a jugé « anormal que ce club en soit là aujourd’hui » après la victoire 3-0 de Toulouse, qu’il coache depuis le début de la saison, face aux Malherbistes.
« C’est un beau club »
Patrice Garande se dit « touché » par la situation d’un club qui « ne [le] laissera jamais indifférent ». À Caen de 1995 à 1998 puis de 2005 à 2018, l’ancien avant-centre se rappelle des « années merveilleuses là-bas » et des amitiés qu’il a tissées.
"Je souhaite de tout cœur à ce club de s'en sortir, parce que c'est un club que j'aime et c'est un beau club. Il mérite dans un premier temps de rester en Ligue 2, et de jouer en Ligue 1 ensuite."
Patrice Garande
Ancien entraîneur du SM Caen
Pour lui, Caen a « évidemment les moyens de se sauver, c’est une certitude. Comme toujours dans ces moments-là, il faut amener beaucoup de sérénité autour des joueurs, il faut les laisser tranquilles. Ce n’est pas toujours le cas. » Patrice Garande comprend néanmoins la déception des supporters, « pas simplement à cause de cette saison-là ».
"Je ne vais pas dire que je les avais prévenus, mais quand j'étais parti, je leur avais souhaité d'être encore des supporters de Ligue 1 dans cinq ans. J'espère qu'ils se souviennent qu'ils ont eu des Féret, Rodelin, Santini, Delort, Kanté... Pourtant, même à ce moment-là, quelques fois, ils n'étaient pas satisfaits."
Quelques années plus tard, les supporters caennais tremblent devant la perspective d’une descente en National.
Alors qu'il ne s'était pas étendu sur la situation du Stade Malherbe Caen avant la rencontre face à Toulouse, Patrice Garande a livré ses sentiments après son succès 3-0.
Par Aline Chatel - Actu.fr
Publié le 9 Mai 21 à 10:44
L’ex-entraîneur du Stade Malherbe Caen espère le maintien du club en Ligue 2.
« C’est un club qui suscite chez moi beaucoup de sympathie et, compte tenu de ce qui est arrivé, beaucoup de colère. » Patrice Garande a livré le fond de sa pensée, samedi 8 mai 2021, à l’égard du Stade Malherbe Caen. Le technicien qui avait fait remonter Caen en Ligue 1 puis l’avait maintenu pendant cinq saisons, a jugé « anormal que ce club en soit là aujourd’hui » après la victoire 3-0 de Toulouse, qu’il coache depuis le début de la saison, face aux Malherbistes.
« C’est un beau club »
Patrice Garande se dit « touché » par la situation d’un club qui « ne [le] laissera jamais indifférent ». À Caen de 1995 à 1998 puis de 2005 à 2018, l’ancien avant-centre se rappelle des « années merveilleuses là-bas » et des amitiés qu’il a tissées.
"Je souhaite de tout cœur à ce club de s'en sortir, parce que c'est un club que j'aime et c'est un beau club. Il mérite dans un premier temps de rester en Ligue 2, et de jouer en Ligue 1 ensuite."
Patrice Garande
Ancien entraîneur du SM Caen
« Amener beaucoup de sérénité »
Pour lui, Caen a « évidemment les moyens de se sauver, c’est une certitude. Comme toujours dans ces moments-là, il faut amener beaucoup de sérénité autour des joueurs, il faut les laisser tranquilles. Ce n’est pas toujours le cas. » Patrice Garande comprend néanmoins la déception des supporters, « pas simplement à cause de cette saison-là ».
"Je ne vais pas dire que je les avais prévenus, mais quand j'étais parti, je leur avais souhaité d'être encore des supporters de Ligue 1 dans cinq ans. J'espère qu'ils se souviennent qu'ils ont eu des Féret, Rodelin, Santini, Delort, Kanté... Pourtant, même à ce moment-là, quelques fois, ils n'étaient pas satisfaits."
Quelques années plus tard, les supporters caennais tremblent devant la perspective d’une descente en National.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
L’article de bleu Normandie fait froid dans le dos mais met en lumière et noir sur blanc ce que l’on pensait tous... ce n’est pas seulement une descente en National qui se joue; c’est la vie ou la mort du club tout bonnement.
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Oscar Wilde
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Clairement, il se pourrait que le club disparaisse. On en est pas encore là mais ça fait partie des scénarii qui se profilent.
Qui l'eut cru...la recette immonde a bien prise : faut dire que les ingrédients pourris étaient réunis dans le même plat indigeste (Sergent et sa clique).
Qui l'eut cru...la recette immonde a bien prise : faut dire que les ingrédients pourris étaient réunis dans le même plat indigeste (Sergent et sa clique).
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Ce qui est affreux c’est de se dire que d’un côté on a jamais été aussi mal en point alors que pourtant, un beau dessein de profile avec Capton, Pickeu et Moulin. Seulement, pour que le projet se réalise, il faut un maintien en L2 et on a du mal à le croire possible...
Allez Paris FC !
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Je pense raisonnablement que Paris va gagner samedi.
Attention aux barrages : ça joue ce soir en Nat :
Le Mans fait une remontada terrible au classement. Il est entrain d'enchainer une 5è victoire ce soir après avoir claqué des buts à profusion ces dernières journées.
Franchement, aller jouer au MMA....les boules, ça vous rappelle rien ??
De plus sur la dynamique du moment aie aie aie...
Attention aux barrages : ça joue ce soir en Nat :
Le Mans fait une remontada terrible au classement. Il est entrain d'enchainer une 5è victoire ce soir après avoir claqué des buts à profusion ces dernières journées.
Franchement, aller jouer au MMA....les boules, ça vous rappelle rien ??
De plus sur la dynamique du moment aie aie aie...
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Oui je vois ça ! Néanmoins Villefranche s’accroche à sa 3e place. Allez au Mans en barrage ce serait terrible...
Quoique dans notre état, je ne crois pas qu’une équipe vaille mieux qu’une autre, on sera médiocre quoiqu’il en soit..
Quoique dans notre état, je ne crois pas qu’une équipe vaille mieux qu’une autre, on sera médiocre quoiqu’il en soit..
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Narval' a écrit:Oui je vois ça ! Néanmoins Villefranche s’accroche à sa 3e place. Allez au Mans en barrage ce serait terrible...
Quoique dans notre état, je ne crois pas qu’une équipe vaille mieux qu’une autre, on sera médiocre quoiqu’il en soit..
On sera fixé Samedi soir(tout sera plié L2 & Nat)
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Re: [2020/2021]Revue de presse
Le Mans a gagné et Villefranche a fait un nul....
On va aller tout droit au MMA....
Je rectifie !!!!!!!!!!!!!!!
Dans les arrêts de jeu, Villefranche en a planté un 3e et Cholet a égalisé contre Le Mans...INCROYABLE renversement ds les arrêts de jeu !!
St Brieuc 2-3 Villefranche Beaujolais
Cholet 2-2 Le Mans
VB conforte sa 3e place ce soir.
Un nul leur suffit pour accrocher le barrage samedi.
On a eu chaud...
On va aller tout droit au MMA....
Je rectifie !!!!!!!!!!!!!!!
Dans les arrêts de jeu, Villefranche en a planté un 3e et Cholet a égalisé contre Le Mans...INCROYABLE renversement ds les arrêts de jeu !!
St Brieuc 2-3 Villefranche Beaujolais
Cholet 2-2 Le Mans
VB conforte sa 3e place ce soir.
Un nul leur suffit pour accrocher le barrage samedi.
On a eu chaud...
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Nasser Larguet ne viendra pas à Malherbe
Le directeur du centre de formation de l'Olympique de Marseille, annoncé prématurément à Caen (Calvados) en vue de la saison prochaine, ne retrouvera pas Venoix.
Nicolas Claich - Actu.fr
Publié le 11 Mai 21 à 18:05
Directeur du centre de formation de l’Olympique de Marseille, Nasser Larguet poursuivra sa mission la saison prochaine, et ne rejoindra donc pas le SM Caen (Calvados). Archives
L’annonce était prématurée. Début mars 2021, alors qu’il occupait le banc de l’Olympique de Marseille (Ligue 1) après le départ d’André Villas-Boas et en attendant l’arrivée de Jorge Sampaoli, Nasser Larguet avait vu son nom avancé avec assurance, par plusieurs médias, comme futur directeur du centre de formation du Stade Malherbe Caen (Calvados).
Un poste qu’il avait déjà occupé à deux reprises (1998 – 2002 puis juin – septembre 2014), et dans lequel il avait laissé de très souvenirs.
Ce que certains espéraient n’aura finalement pas lieu. Début mai 2021, après avoir échangé avec ses dirigeants, Nasser Larguet nous a confirmé qu’il poursuivrait le projet entamé depuis deux ans au sein du club olympien.
Le SM Caen est donc toujours en quête d’un directeur pour son centre de formation, dont le fonctionnement pourrait être amené à évoluer, dans le cadre du plan d’économie souhaité par les dirigeants.
Le directeur du centre de formation de l'Olympique de Marseille, annoncé prématurément à Caen (Calvados) en vue de la saison prochaine, ne retrouvera pas Venoix.
Nicolas Claich - Actu.fr
Publié le 11 Mai 21 à 18:05
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Img-8117](https://static.actu.fr/uploads/2021/05/img-8117.jpg)
L’annonce était prématurée. Début mars 2021, alors qu’il occupait le banc de l’Olympique de Marseille (Ligue 1) après le départ d’André Villas-Boas et en attendant l’arrivée de Jorge Sampaoli, Nasser Larguet avait vu son nom avancé avec assurance, par plusieurs médias, comme futur directeur du centre de formation du Stade Malherbe Caen (Calvados).
Un poste qu’il avait déjà occupé à deux reprises (1998 – 2002 puis juin – septembre 2014), et dans lequel il avait laissé de très souvenirs.
Un projet à poursuivre
Ce que certains espéraient n’aura finalement pas lieu. Début mai 2021, après avoir échangé avec ses dirigeants, Nasser Larguet nous a confirmé qu’il poursuivrait le projet entamé depuis deux ans au sein du club olympien.
Le SM Caen est donc toujours en quête d’un directeur pour son centre de formation, dont le fonctionnement pourrait être amené à évoluer, dans le cadre du plan d’économie souhaité par les dirigeants.
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Re: [2020/2021]Revue de presse
SM Caen. Tous unis derrière Malherbe
Samedi 15 mai 2021, le Stade Malherbe Caen jouera le match le plus important de son histoire. Laissons la colère de côté pour soutenir ce club que nous aimons tant.
Par Aline Chatel - Actu.frPublié le 12 Mai 21 à 12:10
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Supporters-bleu](https://static.actu.fr/uploads/2019/11/Supporters-bleu.jpg)
L’heure est grave pour Malherbe. C’est le moment où jamais de faire front pour sauver l’institution. (:copyright:Sport à Caen)
Le Stade Malherbe Caen traverse la crise la plus périlleuse de son histoire. Près de 40 ans après sa dernière accession en deuxième division, le club auquel tant de Bas-Normands s’identifient depuis des décennies est sous la menace d’une relégation en National dont les conséquences seraient désastreuses.
Il serait facile de maudire, une fois de plus, les erreurs et l’incompétence ayant mené Malherbe au bord de l’abîme. Mais aujourd’hui, nous n’avons plus envie de tirer sur une ambulance déjà criblée de balles.
Parce que Malherbe nous a fait vibrer, parce que Malherbe nous a rendus fiers, parce que Malherbe nous fédère, parce que Malherbe, quoi qu’on en dise, est notre club, la colère doit céder la place au soutien avant le match décisif contre Clermont et les possibles barrages qui suivront.
Ensemble, il faut sauver Malherbe. Pas pour ceux qui l’ont tiré vers le bas ; ils ne sont que de passage et l’histoire les oubliera vite. Il faut sauver Malherbe pour les émotions qu’il a générées, pour le partage qu’il doit continuer d’engendrer, pour chacun d’entre nous qui avons grandi avec lui, pour le rayonnement de notre ville et de notre région, pour toutes celles et ceux dont l’emploi dépend de ce club…
Malgré la déception et la rancœur, si légitime soient-elles, le moment est venu de faire front derrière nos couleurs. Allez Malherbe !
#UnisPourMalherbe
Samedi 15 mai 2021, le Stade Malherbe Caen jouera le match le plus important de son histoire. Laissons la colère de côté pour soutenir ce club que nous aimons tant.
Par Aline Chatel - Actu.frPublié le 12 Mai 21 à 12:10
![[2020/2021]Revue de presse - Page 6 Supporters-bleu](https://static.actu.fr/uploads/2019/11/Supporters-bleu.jpg)
L’heure est grave pour Malherbe. C’est le moment où jamais de faire front pour sauver l’institution. (:copyright:Sport à Caen)
Le Stade Malherbe Caen traverse la crise la plus périlleuse de son histoire. Près de 40 ans après sa dernière accession en deuxième division, le club auquel tant de Bas-Normands s’identifient depuis des décennies est sous la menace d’une relégation en National dont les conséquences seraient désastreuses.
Il serait facile de maudire, une fois de plus, les erreurs et l’incompétence ayant mené Malherbe au bord de l’abîme. Mais aujourd’hui, nous n’avons plus envie de tirer sur une ambulance déjà criblée de balles.
Parce que Malherbe nous a fait vibrer, parce que Malherbe nous a rendus fiers, parce que Malherbe nous fédère, parce que Malherbe, quoi qu’on en dise, est notre club, la colère doit céder la place au soutien avant le match décisif contre Clermont et les possibles barrages qui suivront.
Ensemble, il faut sauver Malherbe. Pas pour ceux qui l’ont tiré vers le bas ; ils ne sont que de passage et l’histoire les oubliera vite. Il faut sauver Malherbe pour les émotions qu’il a générées, pour le partage qu’il doit continuer d’engendrer, pour chacun d’entre nous qui avons grandi avec lui, pour le rayonnement de notre ville et de notre région, pour toutes celles et ceux dont l’emploi dépend de ce club…
Malgré la déception et la rancœur, si légitime soient-elles, le moment est venu de faire front derrière nos couleurs. Allez Malherbe !
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